Cible de toutes les attaques, Jean Jacques LENGUE MALAPA qui succède à lui-même à la tête de la Mairie de Douala 1er et candidat à ladite élection, fait l’objet d’une cabale médiatique visant à remettre en cause son honorabilité. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes.
Elu maire de Douala 1er le 25 février 2020 conformément à la loi, Jean-Jacques LENGUE MALAPA à été désigné à l’unanimité, sans concurrents et sans oppositions aucunes de ses pairs. Il brigue sa troisième mandature consécutive à la tête de l’exécutif communal de Douala 1er. C’est dire combien il a la confiance, le respect de ses pairs sans qui il n’aurait pas pu bâtir une carrière aussi dense et aussi riche.
C’est un grand moteur, une locomotive. Charismatique, travailleur opiniâtre, Jean -Jacques LENGUE MALAPA est un homme de caractère. Et la ville de Douala a besoin d’un homme de cet acabit.
Faut-il le rappeler au sein du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), il a commencé comme militant puis Président du comité de base, ensuite Président de Sous-ection et à ce jour Président de Section. Un parti au sein duquel il a fait toutes ses classes. Tenez, sur les 218 conseillers municipaux qui constituent le corps électoral de l’élection de ce 3 Mars, le maire MALAPA, sans prétention aucune, est en mesure de mettre un prénom sur presque chaque visage.
Au moment où le Cameroun passe du système de délégué du gouvernement à celui de Maire élu, a-t-on besoin d’un autre que du maire le plus expérimenté, pour bâtir la plus grande mairie d’Afrique Centrale ? Douala est la ville république où chacun doit se sentir chez lui ; c’est la ville de tous les possibles où chacun peut saisir sa chance.
Au moment où le Cameroun bouillonne, on a besoin de faire une évolution rassurante et maîtrisée et non une révolution hasardeuse. Les chantiers à Douala sont nombreux : L’heure n’est donc pas à l’improvisation. La ville de Douala a besoin de quelqu’un qui sait descendre et qui sait monter, qui sait aller manger le foufou et le eru dans les gargotes ; et qui a la capacité de gérer les projest qui attendent la ville. Le Maire Jean-Jacques LENGUE MALAPA a toujours su montrer son ouverture, son dynamisme et sa simplicité dans la diversité.
Ils iront jusqu'à vous parler d’une prétendue indélicatesse avec la justice foulant au pied le principe sacro-saint de la présomption d’innocence. Il n y a rien de plus normal pour un gestionnaire de la fortune publique que de rendre compte de sa gestion devant la justice quand cela s’impose.
Ils iront encore plus loin, en voulant nous embarquer dans un micro tribalisme arguant que le Maire MALAPA n’est pas un autochtone de Douala. En effet, né d’une mère issue d’une famille de référence à DEIDO, LENGUE MALAPA a grandi à NGODI - AKWA. EWODI de par son père, il partage un ancêtre commun avec les Douala.
Il va sans doute dire que les fossoyeurs de la République habillés en tenue de service au sein du RDPC veulent se servir de la Ville de Douala comme tremplin politique alors qu’ils n’ont pas su/pu gérer la fortune issue d’un héritage familial largement sponsorisé par l’ancien régime. D’autres , dans le même registre, profitent des lambris dorés pour placer leurs affidés alors qu’ils n’ont aucune assise politique dans leur terroir d’origine.
Dès lors, il faut toujours se méfier des spectateurs qui ont regardé les extraits d’un film et qui prétendent y avoir joué un rôle alors qu’il n’en est rien.
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