Gérées par le Laboratoire santé hygiène mobile (LSHM), ces structures gouvernementales feront des dépistages gratuits aux populations.
Elles mèneront des activités de laboratoire d'analyses biologiques de routine, d'expertise, de contrôle de la qualité et de recherche opérationnelle.
Le LSHM entend ainsi se positionner comme un laboratoire de référence pour le diagnostic des maladies émergentes ou re- émergentes, des pathologies virales mais aussi servir de maillage au réseau de laboratoires existant sur l'ensemble du territoire, a expliqué l'administrateur du projet, François-Xavier Mbopi Kéou.
Les activités de recherche opérationnelle et de formation sur la biologie iront en direction des techniciens de laboratoire, des personnels de U2m et des biologistes de niveau universitaire.
Elles poursuivront les programmes de Santé existant, notamment dans le domaine de l'infection du VIH/SIDA, des hépatites virales, des infections sexuellement transmissibles (IST), de la tuberculose et du paludisme, a précisé le Dr Mbopi Kéou.
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