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Pouvoir : qui dirige vraiment le Cameroun ?
(30/07/2006)
Un internaute s'est posé la question de savoir qui gouvernait réellement le Cameroun. Sur un propos simple et limpide, il parcourt des pans de notre société pour tenter de répondre à cette question.
Par Mouyabi
Note : Le point de vue et les informations dont il est fait état tout au long de cet article n'engagent que leur auteur.

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"Savez-vous que si j'opine de la tête, demain vous n'êtes plus ? "

Cette phrase fut prononcée par le président Camerounais Paul Biya en réponse à une question embarrassante posée par le journaliste de la CRTV, Eric Chinje, lors d'un interview accordé en direct au chef de l'Etat camerounais. Le président Camerounais voulait sans doute signifier à son interlocuteur qu'en étant le pouvoir personnifié au Cameroun, il pouvait très honnêtement faire la pluie et le beau temps. Changer un journaliste aussi compétent soit-il avec un imbécile, anéantir la compétence, casser les initiatives, briser toutes les tentatives de vérité sur la gestion du patrimoine camerounais.

Si la réponse, aussi surprenante soit-elle, donnée par le président Camerounais à la question embarrassante posée par le journaliste impose une certaine conclusion sur l'évidence de l'exercice du pouvoir, elle amène néanmoins les esprits critiques à se poser la question de savoir qui détient réellement le pouvoir au Cameroun?

A cette question plusieurs alternatives :

1. La France qui nomme les dirigeants Camerounais pour protéger ses intérêts, truque les élections à sa guise pour les maintenir en place, ponctionne les richesses de ce pays sans aucune vergogne etc.

2. Les grands commerçants Bamiléké qui détiennent l'économie camerounaise et qui peuvent à tout moment la faire chanceler et mettre le pouvoir camerounais en péril?

3. L'entourage du chef de l'Etat qui se gave sur son dos et qui le berne avec de jolis compliments pour le maintenir en place en cachant soigneusement la misère et le mécontentement du peuple?

4. La Rose-croix et la Franc-maçonnerie qui sont les vrais moteurs de ces grandes machines à ponctionner l'Afrique et qui ont pour but de trouver des hommes malléables et de les gaver avec des miettes alors que par derrière, le pays sera pillé avec ou sans leur consentement?

5. Le peuple puisque les Etats sont dits démocratiques?

6. L'armée qu'il faut constamment choyer pour éviter de la prendre à rebrousse-poil et essuyer un coup d'Etat militaire?

7. Le chef de l'Etat enfin, chef du gouvernement, premier sportif, Grand Maître des Ordres Nationaux (République du Cameroun) ; Grand-Croix de la Légion d’Honneur (République Française) ; Great Commander of the Medal of St-George (Royaume Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord) ; Grand-Croix de classe exceptionnelle (République Fédérale d’Allemagne) ; Grand Collier de l’Ordre du Ouissam Mohammadi (Royaume du Maroc) ; Great Commander of the Order of Nigeria (République Fédérale du Nigeria) ; Grand-Croix de l’Ordre National du Mérite (République du Sénégal) ; Commandeur de l’Ordre National Tunisien ; Docteur Honoris Causa de l’Université du Maryland (U.S.A.) ; Professeur Honoraire de l’Université de Beijing (République Populaire de Chine) ; Lauréat du prix du CEPS (Edition 1998) etc.




L'Influence de la France

La France tire-t-elle toujours les ficelles ?
La France tire-t-elle toujours les ficelles ?
Au vu de ces quelques exemples, peut-on dire qui détient réellement le pouvoir dans un pays comme le Cameroun? A titre de rappel, le "grand Amour" entre le Cameroun et la France date de la première guerre mondiale lorsque ce pays passe sous protectorat Français après la défaite de l'Allemagne. Puis ensuite sous la tutelle Française après la deuxième défaite allemande. Depuis lors, la France grâce aux espions et au système qu'elle a mis en place dans les pays africains, veillent jalousement sur ses intérêts.

Cela passe dans la pratique à la mise en place des Hommes qui obéissent au doigt et à l'œil et qui exécutent les ordres qui arrivent de Paris. Certains des Hommes qui dirigent l'Afrique possèdent une double nationalité. Dans le cas du Cameroun, la formation des premiers intellectuels africains en Europe dans les années 60 va s'accompagner d'une naturalisation. Les citoyens Africains vont se sentir lier à La France. C'est aussi le cas des hommes comme Omar Bongo au Gabon, Eyadema au Togo, de Biya au Cameroun, mais aussi de certains grands directeurs d'entreprises étatiques comme Niat Njifendji(ancien directeur de la SONEL), Obou Feugue (ancien directeur de la SNEC) etc.

Cette pieuvre composée de cadres au dessus du pouvoir œuvre dans le sens qu'exige la France et se gave copieusement au passage. Ainsi, pour prendre le cas de l'ancien Président de la SNEC (société nationale des eaux du Cameroun), Obou Feugue y a été directeur pendant plus de 40ans, sa longévité ne s'expliquant pas que par ses compétences mais aussi par ses appuis français. Notamment, les marchés conclus avec l'entreprise française Schlumberger qui livre à la SNEC tous les compteurs d'eau dont elle a besoin. Il y a là un filon à exploiter. L'homme n'hésite pas et perçoit une commission sur chaque appareil posé.

Dans un esprit fraternel avec son frère d'Etoudi, il finance les campagnes présidentielles en donnant des grandes enveloppes et en enfonçant l'entreprise d'Etat. Non seulement cela, il créée toutes les entreprisses de sous-traitance de la SNEC et restera même après sa mort président de la SNEC. Le président de la république n'a aucun pouvoir sur lui. Lorsque celui-ci veut le rappeler à l'ordre après ses nombreux écarts (achat d'appartements privés à Paris, construction de châteaux etc.), il appelle Paris et, Paris réagit pour préserver ses intérêts via Obou Feugue et, Biya plie aux ordres de Paris, se montre docile comme un agneau qu'il est au yeux des Français. Du premier lion indomptable, il se fait docile comme un petit chien et arbore son habit préféré : celui d'un vrai tigre en papier.

Obou Feugue, Niat Njifendji, ne sont pas les seuls dans ce cas. Ils sont nombreux chez nous, les grands serviteurs de la France, notamment la majorité des ministres et des grands directeurs de l'époque d'Ahidjo.

Le pouvoir Economique

L'illustre homme d'affaires Fotso Victor
L'illustre homme d'affaires Fotso Victor
Un peuple au dessus du lot au Cameroun, ce sont les Bamiléké. Un peuple travailleur, conservateur des traditions se retrouve très honnêtement au-dessus des autres groupuscules ethniques qui constituent ce pays de 15 millions d'âmes. Issus de l'Ouest du pays, les Bamilékés sont un peuple dynamique qu'on retrouve aujourd'hui disséminés un peu partout, dans tous les recoins du pays.

Pendant que beaucoup d'autres Camerounais se complaisaient dans le jeu des apparences, ils ont pris le pari fou de se lancer dans le commerce. Les premières générations qui arrivent dans les provinces du centre et du Sud, du Littoral et autre, achètaient les terrains pour des bouchées de pains aux autochtones qui eux se contentent de vouer un culte aux apparences et à l'alcool. Parallèlement, ils prospèraient dans le petit commerce en ouvrant de petites échoppes capables de répondre aux besoins indispensables des populations.

Grâce à la grande fraternité qui les unit et aux tontines, ils ont augmenté leur puissance financière et ont quadrillé petit à petit tous les secteurs économiques. De la génération des premiers pionniers qui faisait figure de clowns, de part des habillements loufoques et le manque de goût dans l'aspect vestimentaire, la nouvelle génération BCBG est en majorité composée de cadres supérieurs sortis des grandes écoles de commerce et de Gestion des Etats-Unis et d'Europe. Il est très logique aujourd'hui qu'avec le savoir-faire occidental, ils aient transformé les petites entreprises familiales en de vrais empires financiers. C'est le cas des empires Kadji et Fotso. Il faut également noter, malheureusement, que certaines fortunes ont été bâties sur le sang (Famlah) et la drogue (résine de canabis).

Une chose est certaine, ils sont les seuls à utiliser leur fortune pour investir au Cameroun et faire avancer le pays, alors que ceux qui sont en politique, n'ayant pas la conscience tranquille, ont choisi de thésauriser les fonds en Europe ou aux Etats-Unis. Si aujourd'hui ses grands financiers qui ont su quadriller le pays dans tous les secteurs économiques décidaient de renverser le pouvoir, il ne faudrait pas grand-chose : juste retirer les fonds des banques, fermer les boutiques et arrêter la production de denrées vivrières. En mettant Fotso Victor comme membre influant du RDPC, Biya a reconnu le danger qui le guettait et a accepté de se soumettre. Malheureusement pour Biya, car il a donné l'opportunité à Fotso de s'initier à la politique et se s'absoudre des obligations de douanes et d'impôts, et de fait, de multiplier sa fortune par 10, voire par 100. A malin, malin et demi. Repousser une échéance est une chose, mais mettre un terme à la poussée des Bamilékés n'est que pure illusion. L'homme qui voulait opiner du doigt plie devant plus fort et se reconnaît-il incapable face au pouvoir de la puissante vague Bamiléké?

Le pouvoir de la mouvance présidentielle


Il est bien connu que lorsqu'un président est nommé en Afrique, c'est d'abord sa famille qui est à l'honneur, son village, sa tribu, son clan. Beaucoup d'individus intéressés, mus par le pouvoir, vont lier des relations pour faire partie de la mouvance présidentielle. Ce sont ces personnes à qui on accorde les marchés publics parce qu'ils connaissent untel, qu'ils sont de la famille du président, qu'ils sont des amis des amis, ou des connaissances des connaissances du président etc. Le problème ne se pose pas en tant que tel quant à savoir à qui on confie les marchés car, il faut bien les confier à quelqu'un. Mais il se pose dans la mesure où ces hommes qui sont dans le sillage du pouvoir racontent des balivernes au chef de l'Etat qui a déjà beaucoup de mal avec les Français, avec ses adversaires politiques et autres, et qui est obligé de vivre comme un reclus pour se mettre à l'abri d'un potentiel coup d'Etat. Ces gens de peu de vertu vont considérer le président comme un Dieu, lui passer la crème, exécuter ses moindres désirs, baisser leur froc s'il le faut, le soudoyer quelques fois. Bref, des gens sans consistance, sans personnalité, leur chance est là. Ils doivent s'enrichir au maximum tant que le président est en place.

Lorsque pourtant, le monarque passe par des moments difficiles car le peuple manifeste son mécontentement, ils sont là pour le ragaillardir avec des balivernes mais, par derrière, ils mettent en place des systèmes répressifs inhumains et inimaginables pour ramener les moutons dans les rangs. Il faut sauver le président, non en fait, il faut sauver leur pompe d'alimentation. Ces gens sont souvent les pires ennemis du peuple. Ils sont obnubilés par la richesse, les apparences, les honneurs et le pouvoir. Il est inutile de citer des noms ici mais ils se reconnaîtront. Quelque part, le pouvoir n'appartient-il pas à ces hommes de l'ombre?

L'influence du pouvoir des Sectes

La Rose Croix au Cameroun...
La Rose Croix au Cameroun...
Difficile de faire une séparation au Cameroun entre la France, la Rose-croix et la Franc-maçonnerie. Et pourtant, il le faut bien car ces mouvements ne sont pas seulement français, mais se retrouvent dans presque tous les pays au monde. Si la façade officielle de ces mouvements propose de se pencher sur les problèmes d'ordre philosophique, il se trouve par ailleurs que ces mouvements sont des antres du pouvoir. Ces sectes sont les endroits où on forme des sujets à une fraternité indéfectible avec l'occident. Ces sectes travaillent dans l'ombre, décident des nominations, dirigent les pays Africains. Lequel de ces sous-fifres qui se dit détenteur du pouvoir, membre de la rose-croix ou de la Franc-maçonnerie peut aller à l'encontre des principes de la secte au nom des intérêts supérieurs de son peuple?

Dans le dos d'Ahidjo, le postier devenu président, la rose-croix a monté un coup d'Etat et remplacé le postier par le premier ministre alors membre de la rose-croix. Le Grand-maître Titus Edzoa sera dans le coup et verra sa carrière aller en flèche. De simple médecin, il devient médecin particulier du chef de l'Etat et ensuite, gravit 10 par 10 les échelons pour se retrouver secrétaire général à la présidence de la république, préparé ainsi pour succéder au président actuel. Selon les milieux autorisés, la Rose-croix détiendrait le pouvoir au Cameroun pendant 30 ans. Ces 30 ans ayant été prévus comme suit : 15 ans étaient réservés à Biya et 15 ans à Titus Edzoa. Le pouvoir étant ce qu'il est, Paul Biya doublera Edzoa Titus en accordant des enveloppes plus importantes à la rose-croix et recevera un sursis grâce à la protection d'un autre grand-maître Camerounais Banayé Mpéké chargé de contrer les actions de Titus. Pour se débarrasser de celui qui frappe à la porte pour demander la place qu'il pense lui revenir, Biya l'envoie en prison et le ressort uniquement sous la pression des mouvements sectaires. Aujourd'hui en résidence surveillée, Titus attend-t-il son heure, ou alors, a-t-on définitivement choisi de mettre à la touche un homme qui au sommet de son art avait réussi à faire du chef de l'Etat son toutou, était appelé à le mettre sur la touche et était devenu un danger permanent ? Alors, celui qui opine de la tête pourra-t-il à jamais acheter et doubler éternellement la rose-croix?

Le pouvoir Militaire

Le général Asso Emane
Le général Asso Emane
En Afrique, si on ne possède pas la bombe atomique mais des kalachnikov et des généraux abouliques et séniles au service de la France, on a un cocktail détonnant qui peut à tout moment faire boum pour celui qui le maîtrise. La France a su mettre la main dessus. Ainsi, pour changer des systèmes quand on en perd tout contrôle, la France dispose dans les armées Africaines de militaires envoyés dans le cadre de la coopération, qui agissent comme de parfaits espions et qui savent trouver par où prendre un "dictateur" hardi devenu encombrant. Il suffit alors de maquiller la scène sous l'aspect d'un soldat qui perd la tête, prend avec lui une partie de l'armée pour qu'on assiste à l'irréparable, que le sang coule et que le pays pleure ses enfants.

Le 11 avril 1986 reste encore une date mémorable pour les Camerounais. Le chef de l'Etat Paul Biya, alors jeune président inexpérimenté, est victime d'un coup d'Etat de la part d'Ahidjo qu'il a poussé vers la sortie pour servir la Rose-croix. Après une histoire cousue de fil blanc sur la maladie du postier, il se rend compte de la supercherie une fois hors du système. Cependant, disposant des hommes à lui dans l'ancienne garde républicaine, Ahidjo lance un putsch militaire qui se solde par un échec. Mais le bilan est lourd pour les familles : des morts par milliers. Cette occasion est unique et permet des règlements de comptes, un bain de sang fratricide au nom du pouvoir. Aux lendemains de ce triste évènement, une figure de proue des évènements du 6 Avril 1986 devenue général, Asso Emane, goûte aux joies du pouvoir, se prend au jeu, en veut toujours plus et se retrouve impliqué dans la préparation d'un coup d'Etat contre celui qui a fait d'un simple officier, un général dans un temps record. Face à ce qu'on prend comme une trahison à Etoudi, il est écarté de ses fonctions pour ne garder qu'un titre de général purement honorifique. Il profite pour écrire un livre choc sur l'absence de fermeté du chef d'Etat et surtout sur son absence de main mise sur le pouvoir.

Dans ce cas, Biya a su opiner de la tête, mais, peut-il jurer qu'il tient en main toute l'armée Camerounaise? Il est obligé de maintenir en place de vieux généraux qui sont les piliers de son système et des complices de choix mais il arrivera un moment où il faudra bien les changer. Et là on verra ce qu'on verra.

Le pouvoir du Peuple bafoué

J'aurais aimé ne pas avoir à écrire ce chapitre car j'ai trop mal à cause de la duperie dont sont victimes les hommes et les femmes à qui on fait gober tout ce qu'on veut. Le mot est lancé : démocratie. Tout le monde ne jure plus que par ce vocable. Incroyable mais vrai! Un petit pays comme le Cameroun au nom d'une démocratie fictive compte à lui seul près d'une centaine de partis politiques. Au lieu de s'unir pour se sortir de la misère, les citoyens sont divisés dans les partis où les individus adhèrent par affinité tribale. 50 ans après les indépendances, on parle de démocratie (le pouvoir du peuple) mais en réalité, on a reculé de 50ans car on conçoit encore l'avenir d'un pays, d'une nation à travers le regard et l'appartenance ethnique et tribale. Les occidentaux mus par un racisme viscéral vis-à-vis des Nègres ont coutume de dire que ces nègres ne sont pas encore descendus de l'arbre. En ce sens, ils ont entièrement raison. Tant que les enfants mangeront dans les poubelles, tant que l'illettrisme fera partie de notre lot quotidien, tant que très peu de mesures seront prises en matière de santé publique, tant que le prochain ne sera pas au centre des préoccupations de ceux qui détiennent le pouvoir, une chose est certaine, le retard que nous avons à juguler ne le sera jamais. Car, le travail collectif, l'Unité, la fraternité, sont des gages pour le développement. La démocratie doit servir le peuple. Elle ne doit pas être qu'un mot vide de sens et un paravent pour le self-service d'une poignée d'individus malveillants. Il est évident que le président de la république possède dans les pays africains un droit de vie et de mort sur ses concitoyens, mais en réalité, est-ce que cela est synonyme de pouvoir?


Les Hommes qui disposent d'un peu de jugement voient très clairement que le vrai pouvoir est une sorte de nébuleuse insaisissable qui ne peut être entre les mains d'un seul Homme. Le vrai pouvoir est divin, un mystère. Le vrai pouvoir est Le POUVOIR de l'Amour de ses semblables mais en aucun cas l'art de se laver les mains dans le sang de ses concitoyens, d'engager et de se sortir vainqueur des épreuves de force sans intérêts. Le vrai pouvoir est un don.

On peut renvoyer un journaliste qui ne fait que son travail; mais en agissant de la sorte, on affiche surtout une étroitesse d'esprit qui frise le ridicule extrême. Le vrai pouvoir est de savoir résister à l'oppresseur, de savoir dire non à l'occident, de pouvoir prendre les décisions qui marquent l'histoire. Le vrai pouvoir porte la marque de l'AMOUR des pauvres, des démunis, des sans voix, des affamés, des malades et des bons à rien. Le vrai pouvoir ne se situe pas derrière l'évidence du mot Pouvoir mais bien au contraire, à un niveau supérieur que seuls les grands esprits comprennent : ceux qui ne confondent pas liberté avec faire ce que je veux, pouvoir avec faire ce que je veux quand je veux !!

Source : IciCemac


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