En effet depuis mardi dernier, le baccalauréat de l’enseignement secondaire session de juin 2006 est lancé sur toute l’étendue du territoire national. Ce diplôme marque la fin du parcours d’un vaillant élève dans le milieu des enseignements secondaires et lui permettra de s’initier au nouveau monde estudiantin.
Par Casimir Wandhzi
Anicet Njanjo
En effet depuis mardi dernier, le baccalauréat de l’enseignement secondaire session de juin 2006 est lancé sur toute l’étendue du territoire national. Ce diplôme marque la fin du parcours d’un vaillant élève dans le milieu des enseignements secondaires et lui permettra de s’initier au nouveau monde estudiantin. Il est dirigé depuis 8 ans aujourd’hui par l’OFFICE DU BACCALAUREAT DU CAMEROUN ; cette année les candidats sont estimés à plus de 47.000 élèves. Selon les informations recueillies auprès des candidats sur la question de savoir : quelles impressions ont-ils par rapport au 2 premières journées de l’examen ?
La cour vide du lycée bilingue de Bonaberi pendant les épreuves
Il en est ressorti que le niveau des épreuves est abordable et elles ont été conçues pour les élèves moyens. Ainsi d’après Mr Anicet NJANJO (voir photo), élève en classe de Terminales D au Lycée Polyvalent de Bonaberi, « l’examen est au niveau de l’élève moyen », pour Mr Stéphane TCHAMGOUE élève en classe de Terminale D « les journées sont assez bien dans l’ensemble et l’organisation est parfaite. De plus les épreuves ne sortent pas de l’ordinaire ». Selon Mlle Annie NLATE « les épreuves sont au niveau d’un élève moyen, mais le plus difficile est de vaincre la pression et le stress de l’examen ».
Parlant des épreuves nous pouvons relever que celles – ci sont d’actualité, tel est le cas d’un des sujets proposés au candidats de la série C en Philosophie « l’AFRIQUE a-t-elle besoin de la philosophie pour se développer ? », ce sujet fera l’objet d’un éventuel débat sur le forum de notre site dans les jours à venir. Maintenant il ne reste plus qu’à souhaiter bonne chance aux nombreux candidats.
