Pour accueillir le couple présidentiel, le comité d’accueil était constitué de plusieurs personnalités.
On retrouvait ainsi à l’entrée du pavillon d’honneur, le Premier ministre, chef du gouvernement, Ephraim Inoni, le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence, Jean- Marie Atangana Mebara, le directeur du Cabinet Civil de la présidence de la République, Jean-Baptiste Beleoken, et le premier vice-président de l’Assemblée nationale, Hilarion Etong.
On notait également la présence du secrétaire général du Comité central du RDPC, Joseph Charles Doumba, du ministre secrétaire général adjoint de la présidence de la République, Philemon Yang, du délégué général à la Sûreté nationale, Edgard Alain Mebe Ngo’o, du directeur général de la Recherche extérieure, Bienvenu Obelabout, du gouverneur de la province du Centre, Francis Fai Yengo, du préfet de la Mefou et Afamba, Jacques Obate et du délégué du gouvernement auprès de la Communauté de Yaoundé, Gilbert Tsimi Evouna.
Peu après son installation au salon du pavillon d’honneur, le président de la République a reçu en audience, le Premier ministre, chef du gouvernement et le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République. Ces deux personnalités étaient également présentes au bas de la passerelle, en compagnie du premier vice-président de l’Assemblée nationale, pour dire au revoir au couple présidentiel. C’est à 12 heures que le Boeing 767-300 de la CAMAIR transportant à son bord le couple présidentiel, a décollé de la piste de l’aéroport de Yaoundé-Nsimalen, sous une météo favorable.
Le président Paul Biya prendra part du 14 au 16 septembre, au sommet de l’Organisation des Nations Unies à New York, en compagnie d’une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement. Ce sera, affirme-t-on déjà, le plus grand rassemblement de chefs d’État et de gouvernement jamais organisé. Il s’agit tout à la fois de célébrer le soixantième anniversaire des Nations Unies, de faire le bilan des engagements pris lors du Sommet du Millénaire en 2000 et, surtout, de lancer une réforme centrée sur l’accroissement du nombre de membres du Conseil de sécurité et sur la transformation des structures dépendant actuellement de la Commission des droits de l’homme.
Source: Cameroon Tribune, Martin ZAMBO
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