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Jean-Marc Soboth - Ma part de vérité sur l'Affaire Vincent Fouda/Génération 2011
(30/03/2010)
Jean Marc Soboth s'est exprimé en tribune libre sur la polémique qui enfle dans l'affaire de Vincent Fouda, candidat annoncé aux présidentielles 2011.
Par Jean Marc Soboth
Cher Tous,

C’est sur l’insistance de collègues
que je me décide à livrer ma part de vérité dans cette affaire qui m’oppose à Vincent Fouda (Génération 2011), laquelle a été traitée plutôt comme une querelle chez certains. Un candidat à la succession de Paul Biya a, lui-même, écrit un article sous un pseudonyme sur moi…

Je souhaite indiquer ici que je le fais contre l’avis de beaucoup, dont mon épouse qui, toutes ces années, a subi la détestable réalité du combat syndical au Cameroun, celle qui vaut aujourd’hui à un Louis Sombes d’être méprisé de tous : une histoire ou l’on vivote et vit d’expédients alors que de l’autre côté, des collègues touchent des salaires, parfois conséquents, des collègues qui, de surcroît, vous insultent au quotidien…

Mon épouse m’a dit, au téléphone, pour me dissuader : « Qu’est-ce qu’on n’a pas encore dit de toi ici? Que tu es pédé, espion, ivrogne, escroc, mauvais journaliste, et que ton père était un criminel… Tu n’as rien tiré de toute cette longue affaire pendant des années. Tu ne changeras rien au Cameroun. Cette fois-ci, cela ne changera rien, que tu réagisses ou pas ».

Elle a en partie raison. Parce que lâché par tous, elle s’est endettée auprès de ses amies, dont l’épouse de quelqu’un de bien connu dans le monde des médias, pour que je quitte le Cameroun. Une de ses amies qui travaille à Orange Cameroun m’a dit un jour : « Si ta femme était une vraie femme, tu l’aurais perdue depuis des années ».

Je vais donc m’exprimer ici au nom et en respect à tous ceux des confrères qui me connaissent et savent ma franchise.

Avant de partir définitivement, je suis passé par moult péripéties. D’abord ce procès des journalistes suite au débat de juin 2008 sur STV2. A la première audience le 12 janvier 2010, je n’ai pas été assigné à comparaître alors que mon nom figurait sur le rôle de l’affaire comme les autres.

A la demande de Maître Emmanuel Pensy, le procureur de la République a promis de le faire dans le cadre d’une procédure qu’il a dite parallèle. Quelle est-elle? Je ne sais pas. J’ai lu dans Le Popoli plus tard que j’avais finalement été cité à comparaître. Je ne sais ou cette citation m’a été signifiée puisque je ne suis pas trouvable.

Toujours est-il que, qu’en présence de Anani Rabier Bindji (phone : 99 82 54 02 - Canal 2 International), je m’en suis pris, avec une certaine rudesse, à Me Nana Tchoua à son cabinet à Bali, les accusant de m’avoir impliqué dans une affaire ou j’avais été oublié, au moins pour un temps, par la Justice. Il me répond (en présence de Bindji) : « Tu es inculpé et à chaque fois tu es appelé à la barre. Seulement, tu n’as pas reçu citation comme prévenu, c’est juste une question de procédure à se stade ». En droit judiciaire – pour le peu que j’en sais -, cette explication est limpide. En fait, il n’existe aucun procès-verbal contre moi, n’ayant pas déféré à la police lors des auditions. Je n’ai même jamais été identifié, comme l’avoue la police. Or, c’est le préalable à toute citation, qui doit comporter même les informations sur les deux parents.

Parlant de procès-verbal justement, le provincial de la police judiciaire, Vincent Minkoa Ngah, qui a reçu instructions écrites du délégué général à la sûreté nationale (Dgsn), Edgard Alain Mebe Ngo’o – qui, lui en a reçu directement du Vice-premier ministre, ministre de la Justice, Amadou Ali - pour engager des poursuites judiciaires contre nous reconnaît n’avoir pu mettre la main sur Jean-Marc Soboth (voir documents en fichiers joints). Et promet de le faire. Au moment ou les collègues défèrent à la PJ pour les auditions, chacun d’entre eux revient en effet optimiste, me dire d’y aller, que j’y suis attendu tel ou tel jours à telle ou telle heure, qu’il s’agira juste d’une simple causerie de trois à quatre heures. Manassé Aboya (77 70 69 55) me parlera d’un dossier qui va être classé immédiatement et me mettra même en garde sur le fait que « les policiers sont très rancuniers. Ils finiront par te coincer ! ».

Mais je n’ai pas oublié le précédent d’il y a quelques années avec le Colonel Ndam Mama, chef d’escadron de la Région de Gendarmerie du Littoral sous le secrétaire d’Etat Rémi Ze Meka. Les gendarmes qui me cherchaient pendant des jours à la rédaction avaient promis une gentille audition dans leur bureau. Mais tout s’est terminé au milieu de la nuit, grâce à la pression médiatique internationale, alors que j’étais assis à même le sol dans une cellule infecte sans lumière, ni matelas. Henriette Ekwe (99 67 27 68) avait bien prévenu Séverin Tchounkeu (77 61 55 66) sur cette éventualité, lui qui pensait comme certains collègues de Cartes sur Table.

J’ai donc opté – et l’ai dit aux autres, dont Alex Azebaze (99 83 34 57) et Aboya – pour la stratégie du téléphone fermé et de la résidence mobile comme le provincial l’écrit si bien dans son rapport. « Que l’on vienne donc m’arrêter chez moi! », répétais-je, irrité, à Aboya.


Les choses vont très rapidement après le débat dominical à Canal Presse sur Canal 2 International du 10 février 2010. Ce que je crois être un débat intellectuel dérive par la suite à une série de menaces de gens qui affirment, entre autres, que je suis payé par les Bamiléké (entres autres) pour m’attaquer au régime. Mon épouse (96 83 24 69) pourra vous raconter ce qu’elle a vécu à son niveau à domicile en mon absence…

Toujours est-il qu’entre temps, des personnes très bien informées de mon voisinage à Makèpè me préviennent en présence de témoins sur ce qu’on va me faire la peau… « On va d’abord chercher à te rassurer. Il faut que tu disparaisses même pour deux mois de la ville ». Je suis peut-être têtu, mais pas sourd et con.

C’est sur ces entrefaites que je me dis qu’il faut partir de Douala au moins. Profitant, entre autres déplacements, d’un bout de visa canadien dans lequel il reste juste cinq jours de validité, j’entreprends de quitter le Cameroun « pour un temps » – Un grand ami qui vit à Ouagadougou m’avait dit un jour : « Dans votre condition, vous devez toujours avoir un visa en cours de validité… En cas de déflagration, vous serez les premiers visés! » Problème, mon hôte au Canada est à Paris en France, puisque le voyage que nous avions envisagé à Montréal vers le milieu de l’année a été annulé avec l’arrivée de l’hiver et son déplacement subséquent.

Je cherche donc des relais au Canada. Un ami très connu au Cameroun installé à Toronto se débine pour ne m’offrir que « deux ou trois jours » de séjour chez lui. Ma cousine, Jacqueline Man-Simbé (retournée depuis au Cameroun le 07 mars 2010 – phone : 99 25 77 87), ex députée de la Kadey à l’Assemblée nationale (ou j’ai souvent été à la Cité Verte avec de nombreux confrères de Yaoundé, dont Francky Bene) elle, est de passage à Montréal mais envisage de retourner début mars 2010.

C’est ma principale aubaine. Mais bientôt, arrivé à Longueuil, son hôte local dit ne pouvoir m’accorder que six jours supplémentaires pour aller ailleurs « Parce qu’il ne faut pas que les voisins remarquent qu’il héberge des gens chez lui ». Qui plus est des Africains. Au total, je compte moins de 20 000 francs Cfa en poche et je ne peux rien faire. Je suis plus qu’indésirable chez tous pour la simple raison que je n’ai pas d’argent.

La seule personne qui, il faut le reconnaître, m’offre spontanément l’hospitalité c’est Vincent Fouda. Lui il vit à Québec, la capitale de la province francophone. J’ai entendu parler de lui pour la première fois chez Bertrand Owono Ndi, le directeur du personnel du Port autonome de Douala. Mais Owono Ndi, déjà sympathisant de sa mouvance Génération 2011, avoue ne pas le connaître personnellement. Je prends donc contact, entre autres, avec lui via Facebook. Je suis très satisfait. Je pourrais même l’appuyer à Génération 2011, me suis-je mis à rêver. Il réagit positivement.

Mais il y a un autre fait. En transit à Bruxelles dans un double vol de Brussels Airlines à destination de Toronto, j’ai fait une rencontre fort curieuse. Quelques jeunes commissaires de police se rendant à Toronto également m’y abordent. Ils m’ont reconnu spontanément, d’autant que l’un d’entre eux dit être Maka de Doumé à l’Est et connaîtrait assez bien ma famille. J’ai cru à leur vue qu’ils me sont destinés, ou qu’ils sont en mission compte tenu du contexte préparatoire à la présidentielle de 2011. J’avertis Fouda que je tiens toujours en très haute estime, mais je lui dis qu’en fin de compte ils ne sont pas une menace. D’autant qu’ils me disent qu’ils viennent pour la première fois au Canada, sont originellement étudiants à l’Institut supérieur de management public (Ismp) de Yaoundé. Ils sont à l’institut avec un confrère et ami, Georges Elong Etondè de La Dépêche Économique… Ce dernier m’avait déjà dit qu’il s’était inscrit à l’Ismp…

A Toronto ou j’ai débarqué, j’ai en tout et pour tout 150 dollars US, sans point de chute précis a priori. A Longueuil/Montréal chez ma cousine, je suis presque à la porte plus tard, l’ai-je indiqué précédemment, en peu de temps parce que « Ici en Amérique du nord, prétend-on, ce n’est pas comme en Afrique. On n’aide personne ».

Ou aller donc? Vincent Fouda m’offre de venir chez lui dans une semaine. Je suis très touché par l’offre qui ne coure pas les avenues ici. Mais, coup de théâtre : tous les Camerounais que je rencontre me mettent en garde de manière radicale contre toute perspective de rencontre avec lui. Les alarmes vont dans tous les sens : de l’agent du système Biya à certains détails du genre : « C’est lui qui t’appelle ou te prend en chat sur Internet, mais il enregistre les conversations » - j’apprendrai plus tard à mes détriments qu’il enregistre même les messages instantanés… Un Camerounais connu à Montréal se veut plus radical : « Je suis désolé de devoir te dire que si tu le rencontres, cela risque d’être ta plus mauvaise rencontre ici au Canada. Et tu le regretteras pendant tout ton séjour ».

Je trouve tout cela un peu excessif. En plus il est Ewondo comme ma mère! La fibre sentimentale. Je suis toutefois prudent; je ne sais même pas prendre le métro. C’est à un point ou je suis obligé de m’esquiver les premiers jours ou l’on doit se rencontrer et ne plus me rendre chez lui à Québec. J’ai aussi remarqué que la mouvance qu’il représente ne semble, concrètement, se résumer qu’à lui seul, ou pas à grand monde.

En tout état de cause, je me résouds sur son insistance à le rencontrer. Après tout, c’est moi qui l’ai voulu; de plus, il est le seul dans tout le Canada à m’avoir offert l’hospitalité, même si entre-temps j’ai pu, par la seule grâce de Dieu, trouver un coin dans la zone dite Côte-Vertu pour un mois supplémentaire. Il me reçoit donc chez son épouse dans la banlieue de Montréal. Tout se passe bien même si je le trouve compliqué comme personnage à l’abord. Et là, nous avons des discussions politiques simples et intéressantes en marge d’un repas préparé par son épouse. Surtout, il me donne des conseils judicieux et uniques sur les perspectives juridiques de mon séjour. Je lui avoue ma surprise : « On m’a pourtant dit de me méfier de toi… » Il n’y répond pas. On.

Auparavant, on est allé chercher du pain dans un magasin Costco, un commerce qui, m’a-t-il dit, était réservé aux fonctionnaires. Là je suis censé bénéficier des tarifs intéressants. Je choisis des vêtements au passage que je paie de ma poche, dans sa facture. Mais ce n’est pas ce qu’il m’avait promis. Les vêtements coûtent trop chers et mon portefeuille en a encaissé un coup fatal. Mais je ne bronche pas. Je ne suis pas ici le Soboth du Cameroun…

Il me dit n’avoir jamais entendu parler de moi avant. C’est curieux pour quelqu’un qui dit connaître le Cameroun. Il dit également beaucoup de faits quasiment inexacts sur le personnel politique à Yaoundé. Ici, c’est presque normal. Entre-temps, je l’ai repris, souvent durement, sur la maladresse de son initiative de dénonciation à l’égard des jeunes commissaires de police en stage à l’École nationale de l’administration publique du Québec. Je lui dis – et écris - qu’en qualité de journaliste, je me sens touché et mortifié dans ma déontologie parce que je sais qu’ils ne sont pas venus pour lui – je pense qu’à ce niveau, il a dû modifier le contenu de mes messages… instantanés qu’il a enregistrés. J’ai aussi compris spontanément comme une incompatibilité d’humeur quasiment automatique avec lui.

Mais il y a un dénouement à toute l’affaire. Il aurait demandé à… Manassé Aboya Endong qui je suis. Aboya lui a dit, en l’occurrence, ne pas savoir que Jean Marc Soboth a quitté le pays – Aboya est allé le répéter à mon coiffeur au Cameroun, si besoin est, je vous passerais son contact. Ce n’est pas faux! Mais c’est ici le vrai point de rupture avec Fouda.

Tout le monde sait que je connais Aboya. Comme ma poche. A Douala, tout le monde sait qu’on avait toujours été ensemble, partout… J’ai rencontré Aboya en 1986 quand je suis arrivé à l’université de Yaoundé. Je sais presque tout de lui et de sa famille, et me refuse à en parler dans une sorte de politique de terre brûlée... Je me contente d’affirmer que j’ai été l’un des humbles relecteurs de sa thèse de doctorat en science politique soutenue à l’université François Rabelais de Tours en France sous feu le Pr. Roger Gabriel Nlep.

On avait ensemble le projet de Africa Top Secret qui émanait d’une idée que j’ai reçue de Augustin Tamba à Yaoundé. C’est finalement lui qui a apporté l’argent. En qualité de directeur de la rédaction désigné par lui et payé à 100 000 francs Cfa/mois, j’ai quitté le projet parce qu’il a refusé de mettre sur pied un actionnariat. J’ai dit qu’à mon âge, je n’avais pas l’intention de devenir un employé qu’on chasserait dès que le projet serait viable. Aboya m’a donné des milliers de pages de documents sur l’affaire Albatros. Et je lui dois aujourd’hui d’être parmi les journalistes qui en savent le plus long. Il m’a beaucoup soutenu, en plusieurs années, au plan alimentaire et familial. Il a voulu avec insistance que je devienne franc-maçon comme lui, mais j’ai décliné l’offre.

Mais Aboya a des côtés très négatifs. Il ne lésine pas souvent sur les moyens pour arriver à ses fins. De ce qui me revient, compte tenu de notre rupture, il n’a plus jamais tari d’invectives à mon égard au Cameroun. Et Vincent Fouda lui a donné une occasion en or. Je sais de quoi je parle. Aboya sait que je n’ai jamais mis les pieds soit à la Dgsn ou dans un quelconque autre service spécial. C’est lui qui m’avait permis de sauver ma tête dans l’affaire du soi-disant coup d’Etat manqué à travers la rumeur sur le décès du chef de l’Etat, Paul Biya à Genève en 2003 en expliquant simplement au Directeur général de la recherche extérieure (Dgre), Bienvenu Oubelabout, que cette histoire qui parcourait les bulletins d’informations était infondée. Il m’a ensuite demandé d’appeler pour expliquer le problème. C’était judicieux.

Et, dans cette autre affaire, je n’ai plus été arrêté comme l’aurait prédit le médecin-colonel du chef de l’Etat à Mvomeka’a, d’après ce qui m’en avait été rapporté par un témoin oculaire, haut responsable de la Presby en présence de David Nouwou (99 95 67 06), rédacteur-en-chef du quotidien La Nouvelle Expression. Aboya seul connaît tout ce monde : Jean-Baptiste Béléoken, Mebe Ngo’o, Rémy Ze Meka…Dans mon parcours, il m’a beaucoup nui également, mais je ne vais pas en parler ici.

Qu’à cela ne tienne, ce qui devait arriver à Yaoundé arriva. Des confrères me saisissent récemment en urgence. Que se passe-t-il? Un confrère de Mutations, « le même qui te déteste tant, raconte à Yaoundé à qui veut l’entendre que tu es arrivé au Canada à la tête d’une délégation de commissaires de police. Et que toute la diaspora vit déjà sous la terreur. On a même déjà commencé à arrêter des gens. Surtout, il semble qu’on tient cette information d’Aboya ».

A priori, je ne sais même pas, à ce moment-là, ou sont ces jeunes commissaires au Québec ou je souffre du froid comme on souffre d’une maladie. J’apprendrai plus tard, via un texte de Vincent Fouda sur Internet, qu’ils étaient effectivement en stage à l’Enap de Québec et qu’ils ont reçu leurs attestations de fin de formation au cours d’une cérémonie solennelle en présence du Haut-commissaire camerounais à Ottawa.

Je les ai rencontrés par hasard quelque temps après, ces commissaires, dans le métro qui allait à la station Snowdon; leur collègue de l’Est a voulu m’inviter à un restaurant camerounais qui se trouve à proximité pour me raconter. J’ai décliné l’offre. Ils m’ont relaté la misère médiatique qu’ils ont subie. J’étais, je l’avoue, tout honteux parce que je savais en avoir été à l’origine et que, je le crois toujours, ce qu’ils ont vécu est mensonger.

Pour revenir à ce confrère de Mutations, ceux qui m’ont saisi me disent qu’il faut faire quelque chose rapidement. « C’est tout le crédit que tu as passé le temps à bâtir qui est à nouveau en train de voler en éclats! » Mon épouse à qui je l’ai dit m’a demandé de laisser tomber et de « penser que tu as une famille ici qui n’arrive pas à joindre les bouts ». Mais j’ai vu venir la cabale. C’est typiquement le style Aboya.

Il sait bien qu’une histoire bidon de commissaires que dirigeaient de haute main le terrible Jean-Marc Soboth en pleine Amérique du Nord va être relayée sans vérification par le confrère de Yaoundé qui, par le passé, avait déjà diffusé sur ma vie privée et celle de mon défunt père, sans aucun scrupule, tant d’allégations mensongères. A un point ou on était passé à deux doigts d’un procès de confrère à confrère avec Me Hermès William Ndjeng (99 97 34 59) – qui détient jusqu’aujourd’hui des copies desdits textes. Et Aboya, entre autres, m’avait toujours rappelé qu’il me détestait à mort : « Tu ne peux rien faire pour changer sa haine contre toi, me disait-il ».

Il fallait faire une clarification. J’ai pris contact avec un ami d’une Université ici pour suggérer la relation de toute la vérité dans cette affaire. Mais on ne peut pas faire d’omelette sans casser les œufs. Je n’avais nullement l’intention d’éteindre la mouvance Génération 2011 de Vincent Fouda, mais de dire la vérité, une vérité qui, sous d’autres cieux, serait plus qu’évidente pour un misérable journaliste qui n’arrivait pas à payer son loyer au Cameroun.

Confraternellement.

Jean Marc Soboth - Adviser (Reserve) to the Executive Committee International Federation of Journalists (IFJ) - Steering Committee Member, Federation of Africa Journalists (FAJ) - First Secretary, Cameroon Journalists' Trade Union, CJTU / Syndicat National des Journalistes du Cameroun, SNJC - Full Member of IFJ - Affiliate to Commonwealth Journalists Association, CJA - Headquarters at : Akwa Bd Ahmadou Ahidjo (near Lipacam)
P.O. Box: 5580 Akwa Douala - Rep of Cameroon - Phone : + 237 9 996 90 37 - Fax : + 237 3 342 66 29



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