Ayant courbé l’échine face aux lions indomptables sur le score de quatre buts à un lors du dernier match du barrage en vue de la qualification au mondial brésilien, la Tunisie devrait attendre 4 ans pour espérer disputer le mondial, comme le Cameroun en 2006.
Mais seulement, voulant coûte que coûte aller au Brésil, la Tunisie est à son deuxième recours contre le Cameroun pour pouvoir passer sur tapis vert.
Après avoir été déboutés par la Fifa sur le fait que Matip et Choupo-Moting n'étaient pas elligibles ayant déjà joué avec les espoirs allemanbds, ils attaquent maintenant sur le fait qu'ils ne seraient pas Camerounais, du moins ne seraient pas en règle avec l’administration. La Fifa a donc somméainsi aux autorités camerounaises de produire sous 48 h les dossiers des deux joueurs, joueurs ayant disputé la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud et de nombreux autres matchs.
la riposte camerounaise
Ainsi donc, on a appris de source introduite à la FECAFOOT, que hier lundi à midi les dossiers des concernés avaient été envoyés. Le secrétaire général du comité de normalisation de la FECAFOOT, s’est même prêté a un commentaire « [i ils contestent la nationalité camerounaise de nos deux joueurs. Ils se basent sur un article de loi de notre constitution. L’ignorance de la loi camerounais en fait foi, parce que s’il avait lu plus loin, ils aussi lu que la déchéance de nationalité ne peut se faire que par décret présidentiel, de plus, s’ils avaient encore mieux examiné ce texte, ils y auraient aussi lu que la déchéance ne concerne pas les camerounais d’origine.
Pour la répudier, il faudrait passer devant un tribunal compétent. Ces deux joueurs sont d’origine, car nés de parent camerounais. Et la loi dit que ‘’toute personne né de parent camerounais est camerounais’’. Est-ce qu’un Alleand s’appellerait Choupo Moting ou Matip Job ? ».
Il poursuivra d’ailleurs que « [i De notre côté nous sommes entrain de préparer notre contre-attaque, nous allons produire une lettre de dénonciation parce que eux-mêmes ne sont aussi en règle qu'ils veulent nous faire croire.»
Rendez vous donc le 28 janvier, jour du délibéré
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