Les jours de Laurent Gbagbo en tant que président – sortant, prétendant ou autoproclamé, au choix – sont comptés. En effet, après avoir progressé dans les villes, les rebelles – pro-Ouattara, forces républicaines, au choix cette fois-ci encore – auraient d’après de nombreuses sources donné l’assaut au palais où se réfugiait celui-ci, lâché d’après l’AFP et Reuters par près de 50.000 policiers, gendarmes et militaires.
Un ultimatum avait été donné par Guillaume Soro, premier ministre d’Alassane Ouattara, et ex-rebelle lors du coup d’état raté de 2002, à Laurent Gbagbo pour se rendre. Cet ultimatum n’ayant pas été respecté, l’assaut a donc été donné.
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