alors que la compétition vient de mettre la clé sous le paillasson. Et ayant consacré le sacre du Sénegal, mais aussi la très bonne deuxieme place de nos lionnes, qui sont de ce faite qualifiées pour Rio 2016. Mais ce qui préoccupe aujourd'hui le camerounais lamda c'est l'histoire de prime. une fois de plus les Primes.
Par Redaction dominique moukalla
On pensait les vieux démons tués. On passait que les personnes en chargent de gerer les affaires du pays en avaient assez d'avoir honte et de traîner dans leur folle gabegie le pays tout entier. Que nenni.
On a vu une équipe de basket camerounaise soudée, valeureuse, ayant fait mieux que les hommes dans la meme discipline. Mais vraiment où va le pays ?
Pourquoi c'est toujours les mêmes qui souillent le pays et restent impunis. A l'heure où vous lisez cette article, elles sont à mêmes le sol dans les couloirs de l'hotel mont FEBE. Ne se nourrissant plus que part des personnes touchées par la situation.
Joint au téléphone, le secrétaire général de la Fédération camerounaise de basket-ball (Fécabasket) Camille Njoh Ekiti condamne la « façon dont la revendication est faite ». Il accuse les joueuses d’avoir « ameuté la population ». Il fait savoir que le montant de 2 millions avait été décidé longtemps avant la compétition qui s’est terminé hier et que les joueuses en étaient informées. Il trouve la somme offerte importante et estime que les joueuses reçoivent même deux fois plus d’argent que leurs encadreurs. M. Njoh Ekiti ajoute que la Fécabasket n’est pas concernée par cette affaire de primes, mais plutôt l’Etat qui s’en occupe.
Cette nouvelle affaire de primes survient plus de quatre mois après celle qui a mis en scène courant juin 2015 l’équipe nationale féminine A. revenues de la Coupe du Monde de football, elles avaient exigé le paiement de leurs primes dans leur intégralité alors que les autorités sportives projetaient d’y prélever 16% à reverser à l’administration fiscale. Avant cet épisode d’autres ont marqué la vie d’autres sélections camerounaises faisant du pays de Roger Milla la risée du monde entier.
A peine nommé, le nouveau ministre a du pain sur la planche.