Forum Bonaberi.com

[missexe]

yeuch lundi c'est trop loin ma'a, je meurs d'envie de connaitre la suite.... j'ai mm abandonne mon Marc Levy today que pour te lire
_________________
la nuit tous les chats sont gris sauf les bagantés

[missexe]

[Diamond Princess]

[hyllona]

[missexe]

[Diamond Princess]

Chapta treize Le bonus pour le weekend

AG se tournait et se retournait dans son lit, exaspérée de ne pouvoir trouver le sommeil. Elle se leva ducouptement. Un bol de lait chaud lui ferait du bien. Elle enfila un peignoir et des mules, et passa dans sa toute petite cuisine.

Tandis le lait chauffait, elle jeta un coup d’œil sur les murs. Elle les avait fait repeindre quelques temps auparavant, et ils étaient déjà marqués par l’humidité, avec de larges plaques grises çà et là. Il aurait fallu refaire complètement la peinture, mais son propriétaire se révélait étonnamment lent lorsqu’elle lui faisait des demandes concernant ce genre de travaux.
Elle remplie la tasse du lait chaud, tourna la cuiller, et attendit. Elle entendait encore la musique à l’étage du dessus. Missexe devait jubiler à la perspective d’aller vivre à l’etranger, plus précisément en Guinée Equatoriale... Elle avait finalement réussi à obtenir ce qu’elle voulait. Son père avait cédé. Pourquoi ? C’était un mystère. Avait-elle eu un rôle dans ce revirement ? Quoi qu’il en soit, elle considérait à présent que sa relation avec Missexe était terminée. Elles s’étaient à peine dit deux mots après qu’elle avait suggéré qu’elle était frigide. Finalement, elle ne pouvait que se réjouir de cette séparation. Leur amitié reposait sur des bases fausses. la jeune femme s’était servie d’elle. Comme elle s’était servi de son père. Opportuniste, intéressée, sans scrupule, Missexe n’était en définitive qu’un personnage falot et immature que l’on pouvait quitter sans regret.

D’Angelo, lui, était quelqu’un d’infiniment plus intéressant. « D’Angelo » ! Elle songea qu’elle venait de penser à Mbinda Man en l’appelant par le sobriquet que toutes les presses lui attribuaient. Comment était-ce possible, alors qu’elle l’avait rencontré en tout et pour tout deux fois ? Et l’on ne pouvait pas dire que ces deux rencontres avaient été des réussites !
Assise devant la petite table de la cuisine, elle avalait son lait par petites gorgées, plongée dans ses pensées.

« Mbinda Man n’est pas un homme pour moi », pensa-t elle. D’abord, il est riche, beaucoup trop riche. Ensuite, il est trop sûr de lui, trop directif, trop arrogant. Et, enfin, il est trop mignon…yeuch ! Comment se faisait il qu’il se soit intéressé à une fille comme elle ? Cela la dépassait. Avait-il voulu jouer avec ses sentiments ? Ou avait il cherché une distraction, un jour où les cours de la Bourse s’étaient révélés moroses ? Pourquoi s’était il déplacé jusqu’au restaurant où elle travaillait ? Certes, c’était son chauffeur qui l’y avait conduit, mais cela supposait tout de même, à la base, un intérêt, tout au moins une certaine curiosité…
Elle passa machinalement une main dans ses cheveux défaits, incapable de résoudre l’énigme Mbinda Man. Comment un homme tel que lui pouvait il trouver un quelconque intérêt à une jeune femme aussi modeste, aussi banale qu’elle ?

la première relation qu’elle avait vécue, juste après ses dix-neuf ans, avait été un véritable fiasco. L’homme , un certain Waddle qu’elle fréquentait dirigeait un supermarché dans le centre ville. Il lui avait assuré qu’il était divorcé et qu’il vivait seul. Mais, au bout de trois mois, AG s’était rendu compte de la triste réalité : Waddle était marié, père de deux enfants, et menait une vie familiale somme toute assez heureuse. AG n’avait été pour lui qu’une distraction, une roue de secours dans son existence. Après cette amère expérience, AG n’avait pas cherché à rencontrer d’autres hommes. Sa solitude ne lui pesait nullement. Elle avait quitté l’université et, suivant les conseils de son amie Bess, elle avait commencé à travailler au restaurant Poisson Braisé.
Six ans après, elle était toujours là, et heureuse d’y être, sachant que, dans la vie, il n’est pas indispensable d’être millionnaire ou ingénieur en aéronautique pour être heureux. « Je suis utile, moi aussi, et j’ai des responsabilités dans le modeste univers qui est le mien », se disait elle parfois.
Elle entendit des coups sourds qui résonnaient au plafond, chez Missexe. Mais à quoi s’amusait elle donc à 4 heures du matin ?
Elle décida d’en avoir le cœur net et monta à l’étage du dessus. Elle sonna de manière appuyée à la porte de Missexe. Lorsqu’elle ouvrit la porte, son visage s’illumina.
— Ma chérie ! Quel bonheur de te revoir ! Entre donc…
— Mais qu’est-ce que tu fabriques ? Tu fais un bruit d’enfer ! Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tu empêches tout le monde de dormir.
— Je suis heureuse c’est tout
— C’est pour ça que tu déranges tout le monde ? marmonna-t elle, vexée. Il ne t’est pas venu à l’esprit que ta musique empêche un certain nombre de gens de dormir ! Des gens qui doivent se lever tôt, le matin, pour aller travailler !
— Je suis désolé, ma chérie, mais je… Oh, pendant que j’y pense, est-ce que je peux te demander de parler moins fort ? Il y a dans la chambre un mec… Italien est tellement sensible… Peux-tu faire un peu moins de bruit ?
AG hocha la tête en riant,décidément...Pardon qu’elle aille au plus vite en au pays d’Obiang Nguéma, et bon débarras ! Une fois Missexe disparue, elle pourrait enfin retrouver de bonnes nuits de sommeil.
— Je voulais te dire, aussi, AG…, reprit Missexe d’un ton humble. Je suis tout à fait désolée pour ce que je t’ai dit l’autre jour. C’était très injuste, je le sais. Mais j’étais si déçue par l’échec de ta tentative auprès du vieux…
— Il n’est pas vieux ! s’écria AG, indignée. Quelle vilaine expression !
— Je l’admets. Il faut avouer que, pour quarante-deux ans, il ne se débrouille pas mal…
« Je lui en aurais plutôt donné trente-cinq », se dit AG, un sourire rêveur aux lèvres.
— En tous les cas, il a l’air très jeune, ajouta AG. On ne dirait pas qu’il est ton père.
— Tu prends sa défense, maintenant ?
— Je ne prends la défense de personne. D’ailleurs, ton père n’a pas besoin qu’on le défende. Il est suffisamment solide.
Sous un ton un peu plus doux, Missexe dit
— Il faut que tu viennes me voir, quand je serai installée en Guinée.
— Pourquoi pas, répondit elle d’un ton vague. On verra…
Comme elle s’apprêtait à tourner les talons, elle reprit d’une voix nette :
— Oh, Missexe… J’oubliais…
— Oui, ma chérie ?
— Dans les jours qui viennent, et avant ton départ, pourras-tu baisser le niveau sonore, chez toi ?
— Tout ce que tu veux ! C’est promis, assura-t elle avant de l’embrasser sur la joue.
Tandis qu’AG descendait l’escalier, elle frotta sa joue, machinalement…

[hyllona]

bon week end la sis'!
repose bien les doigt, les yeux, les pieds, le cerveau.... et reviens finir notre roman
t'es trop forte! respect
_________________
only by grace we can enter!

[Queen B]

Hein?!! Que j'ai fait quoi ac BK?
_________________
Go girl!! Keep smiling to life.Un jr j'irais vivre en Théorie; car en Théorie tt se passe bien.

[missexe]

[Queen B]

[euryale8]

[Queen B]

Yeuy
_________________
Go girl!! Keep smiling to life.Un jr j'irais vivre en Théorie; car en Théorie tt se passe bien.

[Mbindaman]

L'endroit où on combo arrive kand pardon?!
_________________
I'm not going to rape her, I'm going to fuck her...
I've been all over the world, and everywhere I go people tell me about the true Gods. They all think they found the right one. The one true God is what's between a woman's leg...

[afreaka]

[euryale8]

[Mbindaman]

[missexe]

[Mbindaman]

[missexe]

[hyllona]