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Article: Cybercafés: Pourquoi cette lenteur?
Nombre de messages:  8
Pages:  1  
 
   Manque de coherance
Auteur : Frank Evina
Date : 23/04/2005 18:57

Le marche de l internet au Cameroun prouve simplement le mank d organistion totale dans ce ke lon peut faire dans notre pays.
Pour revenir a l internet, il ya pas d entente entre les differents acteurs qui y interviennent, ca part depuis le haut pour arriver juskau plus petit client.
On devrait de 1: REunir tout les providers et asseoir une politik de fourniture de l outil kon respectera (Prix et debit) Kit a chacun d user des technik supplementaires pour attirer des clients vers lui, mais deja avec la base et la coherence ki existe sur le marche ca aide a tout le monde de rendre un bon service.
Ces meme resolutions qui affecterons le cote cyber.

Il y aurait tellement a dire sur l internet dans notre pays car il ya tant a faire.

En 1 mot je dirai ORGANISATION
   bonne declaration!
Auteur : man!
Date : 26/04/2005 14:28

c'est tres bien dit frero! puis faut pas oublier que la qualite des micro-processeurs comme la memoir de la ram des oridis influencent pas mal dans la rapidite de certaines operations! donc cyber cafe:TENEZ VOS CAISSES AJOURNEES!!!
   amateurisme & malhonnetété
Auteur : Ernestpriso
Date : 29/04/2005 11:52

Amateurisme et malhonnêteté
dANS NOS CYBERS

La question des cybercafés dans nos villes pose en effet un double problème lié à l’amateurisme des promoteurs & à leur malhonnêteté. Beaucoup viennent dans le milieu parce qu’il permet de se faire assez rapidement de l’Argent et par conséquent trichent avec leur abonnement. Au delà des capacités machines qui laissent très souvent à désirer, force est de constater que nos Cybers sont des lieu de tricherie. On y multiplie des poste de travail pour espérer gagner plus ; on vous fait miroiter des prix défiants toute concurrence …sachant que le temps pour réaliser une connexion va réduire votre gain espéré à zéro.

Dans notre contexte de pays émergeant soucieux de déduire la fracture numérique, il serait souhaitable que les Pouvoirs Publics prennent en main ce problème d’accès au Net & activent davantage leur politique liée aux NTIC. Pour ce faire ils doivent prendre de mesures visant à baisser à la fois les prix du téléphone, des équipements informatiques et des abonnements... bref toutes les dispositions de nature à baisser les coûts y relatifs./-
   Comment jouer sur les tarifs et améliorer la qualité de service en utilisant l'investissement public?
Auteur : Francis Ntongo
Date : 01/05/2005 22:27

Comment jouer sur les tarifs et améliorer la qualité de service en utilisant l'investissement public?

L’accès à l’information est essentiel à plusieurs titres :

1. L’ouverture du pays sur l’extérieur, ce qui lui permet d’être au fait des évolution dans un contexte de globalisation : Mutations Culturelles, Politiques, économiques, scientifiques, et technologiques.

2. Le développement économique induit par la croissance des échanges commerciaux et financiers découlant des transactions bancaires et commerciales en ligne.

3. « L’éveil » académique et intellectuel, rendus possibles par l’accès aux bases de données des réseaux universitaires internationaux (Lorsque que cet accès est gratuit) et aux nombreuses autres sources offertes par Internet.

Ce média est un véritable outil de création de valeur ajoutée, et donc de la richesse. Mais, l’immaturation du marché des télécoms local, les facteurs de pauvreté, d’éducation, la sous informatisation des entreprises publiques comme privées et leur faible taux de connexion, associés aux investissements colossaux nécessaires pour établir un business dans ce domaine, rendent les schémas concurrentiels qui prévalent dans les pays avancés, et qui bénéficient aux consommateurs finaux, inopérants.

Le facteur « pauvreté » est déterminant. Il est illusoire d’envisager un boom populaire dans le marché des télécoms si les investisseurs ne ciblent les couches populaires, en assouplissant leurs politiques tarifaires. Par ailleurs, si le Cameroun est l’un des pays africains (Afrique Noire) où le niveau d’éducation est le plus élevé, le nombre d’étudiants ayant accès à l’université reste très bas (Environ 50000-60000 ?). Hors, c’est cette population qui la plus susceptible de faire usage d’Internet, ainsi que le corps enseignant et les chercheurs bien entendu. Il est aussi à noter que les entreprises présentent des taux d’informatisation et de connexion très bas. Je tire cette conclusion du fait que la plupart des grandes entreprises publiques, et la grande majorité des PME ne sont pas présentes sur la toile, et n’offrent pas un accès Internet automatique à leurs employés. Les facteurs relevés ci-dessus, jouent bien entendu sur le niveau de la demande en connexion Internet et par conséquent sur les tarifs pratiqués par les opérateurs. En effet, l’étroitesse de l’assiette clientèle, qui fige les coûts unitaires à un niveau élevé, rend les financements hautement risqués, et détermine probablement la raideur des retours sur investissement. De plus, le marché des télécoms national étant relativement jeune (La chute effective du monopole d’ INTELCAM - Nouvellement CAMTEL- date d’il y’a quelques années seulement), l’offre reste donc elle aussi limitée, ce qui a pour effet d’empêcher une réelle compétition entre les fournisseurs d’accès. Cette situation est plus contrastée au niveau des distributeurs (Cybercafés essentiellement), de plus en plus nombreux, et donc de plus en plus concurrentiels. Cependant les pratiques telles que la surconsommation de la bande passante disponible stigmatisée dans l’article de Bonabéri.com (http://www.bonaberi.com/article.php?aid=940), qui dégradent la qualité du service rendu à l’utilisateur final, montrent bien la nécessité qu’ils ont de rentabiliser rapidement leur investissement.

Puisque la fixation des prix est en théorie libre, la seule manière pour le gouvernement (« L’Etat ») de jouer sur les prix est de remplir ses fonctions régaliennes en matière d’accès à l’information et à la connaissance. Il peut pour cela utiliser à bon escient les organes qui sont sous son autorité immédiate (CAMTEL, ART), et concrétiser les promesses faites par le président de faciliter l’accès à aux nouvelles technologies de l’information en dynamisant le rythme et l’ampleur des investissements publics via l’ Agence Nationale des Technologies de l’Information et de la Communication (ANTIC). La quelle des ces deux propositions répond la mieux aux problématiques locales, et serait susceptible d’avoir un impact significatif sur le niveau des tarifs et sur qualité de service?


1. Les Organes Gouvernementaux utilisés à bon escient

a. CAMTEL

Il est surprenant que CAMTEL, qui propose un service à très bonne qualité de service (QoS) en mettant à la disposition de ses clients (Entreprises, Distributeurs…) des connexions par fibre optique à la toile, pratique des tarifs très élevés. Au lieu de s’aligner ainsi sur les méthodes de gestion adoptées par les opérateurs privés, l’entreprise étatique pourrait montrer l’exemple en réduisant ses tarifs. Mais cette structure étant gérée comme une entité commerciale, elle doit avoir des contraintes comptables (cash-flow...) liées au coût élevé des investissements qui peuvent expliquer une telle politique tarifaire. Par ailleurs, la libéralisation du secteur, et les règles de la concurrence, rendent une incitation par le biais de subventions publiques théoriquement et fondamentalement anticoncurrentielle.

b. ART (Agence de Régulation des Télécoms)

Cette agence publique a la charge de veiller au respect de la concurrence dans le marché des télécoms, et d’assurer un développement équilibré, pour le bien du consommateur et pour une croissance sectorielle soutenue génératrice in fine de richesse et d’emploi. L’ART à la possibilité d’amener les opérateurs (Fournisseurs d’accès) à réduire leurs tarifs, ou d’ailleurs de les y contraindre de manière mécanique en jouant sur les « barrières à l’entrée », notamment les frais de licence, ce qui aura pour effet d’accroître le nombre d’opérateurs, et donc l’offre, améliorant ainsi le ratio en faveur de la demande. J’ignore pourquoi de telles mesures ne sont pas prises. Seule une étude approfondie permettrait de mieux comprendre la situation.

c. ANTIC (Agence Nationale des Technologie de l’Information et de la Communication)

La promotion des NTIC dans les écoles, les lycées et les Universités publiques et privées par cet organisme d’état permettra aussi d’accroître l’offre publique, au-delà de sa mission régalienne qui est : « le renforcement des capacités nationales en matière de lutte contre la pauvreté, en créant des conditions favorables pour l’accès des groupes vulnérables, notamment des jeunes aux opportunités créées par la globalisation. Ceci, à travers les Technologies de l’Information et de la Communication, qui permettent un accès accru à l’information, à la création des réseaux, aux formations, et à la valorisation de tous les secteurs de la vie publique » (United Nation Development Programme, http://inet01.cm.undp.org/ict.htm).


En conclusion, CAMTEL ne peut plus jouer un rôle de catalyseur ou de moteur dans la baisse des tarifs puisqu’elle subit les mêmes contraintes comptables et financières que ses concurrents du privé. Mais en accroissant en volume l’investissement publique dans les NTIC pour donner accès au plus grand nombre (populations défavorisées, étudiants, employés des entreprises publiques), et en stimulant le marché des télécoms en jouant sur les leviers de modulation de la concurrence via l’ART, le gouvernement exercera une pression indirecte et efficace sur les opérateurs, puisque les lieux d’accès à Internet seront plus nombreux, et l’assiette clientèle sera plus étendue. De telles mesures permettront une baisse des tarifs et une augmentation de la qualité de service. En claire il faut une politique publique plus volontariste.

Enfin, il serait intéressant d’analyser les politiques de prêt pratiquées par les banques pour des investissements sectoriels, qui peuvent elles aussi jouer un rôle déterminant dans l’équation.

Francis Ntongo
Ingénieur Télécoms - Ecole Centrale Electronique (Paris, 2001-2004)
Master of Science in Air Transport Management -CNS ATM Systems- (Londres, 2004-2005)








   Mon Blog online
Auteur : Ntongo Francis
Date : 01/05/2005 22:54

http://francisntongo.myblogsite.com/blog
   ASSEZ AVEC TES PUBS LE GENI!!!!
Auteur : C
Date : 02/05/2005 16:26

nous savons deja qui t'es pas besoin de le rappeler chaque fois putin!!! assez assez assez! le site est devenu un lieu pour publicites gratis?!!! dis ce que tu as a dire puis....rien!
   site pas mal francis...
Auteur : ww
Date : 02/05/2005 16:33

assez bien structure par rappot a d'autres sites camerounais! du courage dans les activites! bonne chance!
   proveder au cameroun projet
Auteur : georges
Date : 22/06/2005 22:41

je suis camerounais qui travail avec une compagnie canadiene qui cherche des investissuers ou un investisseur pret a installer une base satelitaire au cameroun pour etre proveder d'une connetion internt voir meme telephone a grande vitesse. pour le projet contact moi sur notre site www.newcourtafrica.com , cas nous avons les solutio pour la regularites du haut debit a grande vitesse au cameroun
contact info@newcourtafrica.com
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