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Article:
Ebolowa : Les populations dénoncent la Communauté urbaine |
Nombre de messages:
3 |
Pages:
1 |
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loooooooool |
Auteur : |
ngone bulu |
Date : |
12/05/2009 09:19 |
Ainsi pour partir dans mon village now ,je vais d'abord me perdre et fair un tourisme inutile. si vou sle faîtes et que plus tard celà serve réellement le developpement et urbanisation de la ville .........ok.
Mais Mr n'oublions pas de règler le problème des agents de police et gendarmeries qui sur ces routes là ne font pas leur job et surtout cette histoire de mettre 10 personnes dans une voiture dans nos gares routières.Et ce ci pour le gain rapide et payer VOS AGENTS.
Merci dde la part d'une jeune ressortissante de l aroute de la tomate |
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A ngone bulu |
Auteur : |
ngongang |
Date : |
14/05/2009 18:34 |
Non ma chère Ngone bulu,
Ce n'est la "route de la tomate".
"Njong ngoto", c'est la route de "ngoto zambe" m'a dit un jour un ami issu de cette route.
En effet m'avait-il dit, c'est de cette route qu'est venu le premier missionnaire blanc protestant américain, qui a donné plus tard l'EPC.
"Njong ngoto", c'est la route de la bonne nouvelle, la route bénite par l'Eglise Presbhytérienne Américaine", qui est parti de Kribi (Talla), en passant par Adjap Yessok où est issue ma cinquième femme, par Efoulan, près d'Akom 2, puis par Adoum Essakoé et enfin, ils se sont installés à Enongal Boulou à Ebolowa, où avaientt régné un certain docteur GOOD, puis un certain Dr FREEMANN et comme docteur indigène, John BOULA MFOUM EBEZOM, grand chirugien de tous les temps. C'est une paranthèse.
Donc ma chère belle soeur de "Njong ngoto (Zambe)", ce n'est pas la route de la tomate comme tu le prétends, mais la route de l'évangilisation du Cameroun par le Sud, de Kribi (venant du Gabon) par Ebolowa.
Bien sur, les populations riveraines de cette localité (ADOUM), qui se voient éloignées du "devellopement" devraient avoir tord de le faire.
Car le develloppement à la camerounaise ne devrait pas beaucoup inquiéter les initiés car celui-ci apporte tous les maux et tous les vices possible de la vie dans nos cités.
Les populations d'ADOUM ESSAKOé gagneraient à garder leur village idemne et loin de ce developpement sans prospective (logique du renouveau obligeant), ce qui garderait propre ce village typique BULU près d'Ebolowa.
Les villages BULU se perdent en repère malheureusement de nos jours dans le Sud cameroun.
La tradition BULU avec.
Ce type a servi à quoi aux BULU pendant ses 26 ans de règne sans partage, sans conseils?
Qu'est ce qu'un marché, un stationnement ou un abattoir peut apporter comme developpement?
La saleté, la misère, les bars et les chambres de passe,les dépravations de moeurs, les souries, les mouches, les urines, les agressions noctures, les pollutions sonores, visuelles etc.
Voilà ce que veulent ces patriarches?
Le délegué du gouvernement d'Ebolowa les fait du bien peut-etre par ignorance de part et d'autre.
Le SUD a-t-il besoin de çà ?
Le SUD attend des routes bitumées, reliant toutes les capitales départementales de cette région et dont "njong ngoto zambe" bénéficierait.
Pauvre sud cameroun.
Que leur présente-t-on depuis 26 ans ? |
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À Ngongang |
Auteur : |
ngone bulu |
Date : |
22/05/2009 23:52 |
Merci pour l'histoire sur l'orignine du nom de la route de la tomate vu je me suis permise de traduire les mots que je lis.Et quand aux attentes des populations locales depuis 26 ans, ca c'est un autre problème. |
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