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Article: Transport ferroviaire : La Camrail s'investit dans l'environnement
Nombre de messages:  7
Pages:  1  
 
   Un pas de plus
Auteur : Le-1-des-1
Date : 25/03/2009 12:49


Bravooo, Mon pays essaye d'evoluer...

Felicitation au grouppe

Le-1-des-1
   Cool
Auteur : lafrik1
Date : 25/03/2009 13:14

S'ils peuvent raccourcir le temps de trajet entre les grandes villes du camer(douala,yaoundé,édéa,maroua,etc).

Mettre en place le tgv.

Quand on pense à tous les morts ,ce qui sont en train de mourir et ceux qui mourront encore sur l'axe douala yaoundé,ca peut conduire à une réflexion plus poussée sur l'option ferroviaire.

Imaginez douala-yaoundé en 1h30?
   camrail bolloré, pollueur, doit payer.
Auteur : talles
Date : 25/03/2009 13:23

Où est le train voyageur que Camrail devait mettre sur les rails au Cameroun?.

Le journal "Bebela" déclare que toute la somme d'argent pour l'achat de ce train (locomotive et wagons) avait été perçue par Bolloré de Camrail depuis fort longtemps.

Au lieu de nous donner des moyens de déplacement décents de Dla à Ydé et jusqu'à Ngaoundéré, vous nous abroutissez avec l'environnement.

Vous etes une catastrophe naturelle, le pire des pollueurs psychique et physique que le cameroun n'ait jamais eu.
   COMMENT LES AFRICAINS SE FONT BERNER
Auteur : FREEMAN
Date : 25/03/2009 14:45

RESSEAUX ET AFFAIRISME


L’activisme ou selon, l’affairisme de la Franc-Maçonnerie française en Afrique revient chaque jour un peu plus brutalement dans les chroniques journalistiques dédiées à l’actualité des faits politiques vite occultés du continent. A la fin du mois de juillet 2004, c’est le Congo-Brazzaville du président Sassou N’Guesso réputé franc-maçon, qui selon l’édition Internet du quotidien Libération*, se voyait amputé de quelques centaines de millions de francs CFA, au profit de la Grande Loge Nationale Française [GLNF] et de son grand-maître Jean-Charles Foellner. Rumeurs, épiphénomène, pratique huilée de captation, pillage en association…? Le Congo-Brazzaville, du reste, se sort difficilement d’une guerre civile fratricide qui l’a laissé exsangue, et compte sur ses ressources pétrolières et sur les financements extérieurs pour retrouver une vitalité perdue…

Sur fond de querelle interne et de guerre de successions à la GLNF, un courrier anonyme envoyé à plusieurs maçons éminents, s’apparentant à une photocopie, et sur papier à en tête de la République du Congo-Brazzaville, fait état d’un ordre non motivé du ministre congolais des Affaires étrangères au trésorier payeur général, lui intimant de remettre 250 millions de francs CFA, soit 380 000 euros au grand-maître de la Grande Loge nationale française. L’information a été démentie par la GLNF qui a déposé une plainte au pénal.

Si rien ne permet en l’état d’établir les faits, les récentes sorties publiques des présidents gabonais et congolais, invités d’honneur aux grands événements de ces obédiences maçonniques dont ils sont devenus maîtres dans leurs extensions africaines, accrédite l’idée de relations incestueuses, opaques voire mafieuses entre franc-maçonnerie et pouvoir politique africain. Cette charge morale pèse d’autant plus sur les acteurs des relations françafricaines que les récentes affaires de corruption, de détournements de fonds publics, d’abus de biens sociaux ayant ébranlé la crédibilité du monde politique français ont souvent été considérées comme des affaires franc-maçonnes, ou au moins à fortes implications maçonniques : Elf, l’ARC, entraves à la justice en PACA et sur les dossiers sensibles…

Il n’en va pas différemment de l’analyse des infrastructures relationnelles qui permettent la déterritorialisation des capitaux africains, les captations de l’aide au développement, la corruption des élites des pays africains, l’implantation prédatrice des multinationales. Autant de réseaux tentaculaires appelés françafrique, ou autrement, où l’ombre de la Franc-Maçonnerie française plane indubitablement, aux yeux de commentateurs politiques de différents bords.

Sous la férule de réseaux, clubs, sectes, fraternités concurrents ou partenaires en prédation, tout se passe comme si l’immobilisme politique africain, couplé à une accentuation et une diversification des stratégies de pillage de toutes ressources africaines susceptibles d’exploitation à valeur ajoutée, constituaient le terrain d’entente contre le plus grand nombre, des maçonneries et des élites africaines en demande d’appuis extérieurs discrets, secrets.

Or l’exportation de capitaux africains par les élites africaines via ou au bénéfice de la Franc-Maçonnerie et autres structures occultes ne fait partie d’aucun agenda politique de quelques forces politiques que ce soit, oppositions comprises [?]. Dit autrement, les politiques africains qui n’envisagent le devenir de leurs pays et nations que par le prisme de la mendicité à l’aide et à l’investissement étranger, sont des myopes invétérés devant les sorties massives de capitaux locaux opérées par l’entremise de détournements, de prévarications, de maçonneries maffieuses, de saccages économiques !

D’un autre côté, on ne voit pas poindre à l’horizon une réflexion profonde et stratégique, au-delà de l’incantation, sur l’incrustation, l’interpénétration, la mue en nature consubstantielle du pouvoir africain et des structures occultes, fermées, extérieurs à l’Afrique et poursuivant leurs buts propres et logiques hégémoniques. Ceci souligne une dimension encore plus assombrissante et inquiétante sur la volonté des Africains à réellement prendre la mesure des enjeux de leur avenir.

Lire pour une perspective franco-française et axée sur les enjeux internes à la GLNF http://www.liberation.fr/page.php?Article=227294

Agni Blé

source: Afrikara.com

Kontrar...
   LA POLITIQUE DE LA FRANCE EN AFRIQUE
Auteur : FREEMAN
Date : 26/03/2009 17:22

*** À QUAND LA RUPTURE......? ***



>>> RAPPEL de " la politique francaise en Afrique " :

- certains dictateurs africains ne tiennent que grâce au soutien de la France

- ces dictatures ne sont pas démocratisables (on ne peut rien attendre d’elles).

- il est du devoir des citoyens français, sans pour autant faire de l’ingérence, de dénoncer le rôle de la france dans le maintien de ces régimes qui attentent gravement aux droits de l’homme.

il s’agit donc d’exprimer un rejet ferme de la dictature (qui est une forme d’esclavage) et des discours qui tendraient à faire d’elle un modèle politique pour l’Afrique.


>>>> les dictateurs amis de la France !

Depuis les années soixante, la France confisque l’indépendance de ses anciennes colonies africaines en y maintenant un système d’exploitation clientéliste et néocolonial.

Mise en place de dictateurs (complicité de coups d’État, fourniture d’armes et de mercenaires), soutien politique, économique et militaire à ces régimes, silence face aux exactions et crimes qu’ils perpètrent, validation d’élections truquées, sont encore aujourd’hui les activités de prédilection de la diplomatie française en afrique. les exemples les plus marquants nous sont donnés par le togo de eyadéma, le tchad d’idriss déby, le congo de sassou n’guesso, sans oublier le gabon d’omar bongo, le cameroun de paul biya, la mauritanie, djibouti, etc.

Il est grand temps d’exprimer notre ras-le-bol de ces régimes françafricains, non seulement parce que certains d’entre eux sont dans le peloton de tête de l’“indice des gouvernements inhumains”, mais surtout parce que leur perpétuation écrasante ne tient le plus souvent qu’à un fil : le câble diplomatique, sécuritaire et financier qui les relie à l’Élysée.

Il ne s’agit donc pas ici de se substituer aux opinions publiques africaines, sur lesquelles repose le destin collectif des États concernés, mais, en tant que citoyens français, de dénoncer ce renoncement de nos gouvernants aux principes démocratiques universels. la france doit rompre les liens organiques établis avec les États bandits africains. c’est le préalable nécessaire au développement des forces démocratiques dans ces pays !

>>>> nous demandons :

- l’arrêt de la coopération militaire et des ventes d’armes en direction des régimes répressifs et/ou agressifs

- la mise en place de mécanismes stricts de contrôle de l’aide et de garantie de son non-détournement, l’octroi d’une part plus significative au renforcement de la société civile dans les pays africains, la mise en place d’un audit parlementaire permanent sur ces thèmes

- la fin de l’envoi d’ambassadeurs « validateurs » d’élections truquées

- le « service minimum » de relations diplomatiques avec les régimes qui ne procèdent pas d’une élection démocratique

- la levée de l’ambiguïté sur la nature officielle ou personnelle des relations entretenues avec les dictateurs africains

- la fin de l’impunité des crimes politiques et économiques

- la réforme de la politique d’asile en faveur des populations exilées de pays réputés peu respectueux des droits de l’homme.

- la reconnaissance de la nullité de la dette odieuse contractée par des régimes dictatoriaux.

""" pétition adressé à l’elysée.....""


source: "" le site de survie ""http://www.survie-france.org/
   LA POLITIQUE DE LA FRANCE EN AFRIQUE
Auteur : FREEMAN
Date : 26/03/2009 17:50

*** À QUAND LA RUPTURE......? ***



>>> RAPPEL de " la politique francaise en Afrique " :

- certains dictateurs africains ne tiennent que grâce au soutien de la France

- ces dictatures ne sont pas démocratisables (on ne peut rien attendre d’elles).

- il est du devoir des citoyens français, sans pour autant faire de l’ingérence, de dénoncer le rôle de la france dans le maintien de ces régimes qui attentent gravement aux droits de l’homme.

il s’agit donc d’exprimer un rejet ferme de la dictature (qui est une forme d’esclavage) et des discours qui tendraient à faire d’elle un modèle politique pour l’Afrique.


>>>> les dictateurs amis de la France !

Depuis les années soixante, la France confisque l’indépendance de ses anciennes colonies africaines en y maintenant un système d’exploitation clientéliste et néocolonial.

Mise en place de dictateurs (complicité de coups d’État, fourniture d’armes et de mercenaires), soutien politique, économique et militaire à ces régimes, silence face aux exactions et crimes qu’ils perpètrent, validation d’élections truquées, sont encore aujourd’hui les activités de prédilection de la diplomatie française en afrique. les exemples les plus marquants nous sont donnés par le togo de eyadéma, le tchad d’idriss déby, le congo de sassou n’guesso, sans oublier le gabon d’omar bongo, le cameroun de paul biya, la mauritanie, djibouti, etc.

Il est grand temps d’exprimer notre ras-le-bol de ces régimes françafricains, non seulement parce que certains d’entre eux sont dans le peloton de tête de l’“indice des gouvernements inhumains”, mais surtout parce que leur perpétuation écrasante ne tient le plus souvent qu’à un fil : le câble diplomatique, sécuritaire et financier qui les relie à l’Élysée.

Il ne s’agit donc pas ici de se substituer aux opinions publiques africaines, sur lesquelles repose le destin collectif des États concernés, mais, en tant que citoyens français, de dénoncer ce renoncement de nos gouvernants aux principes démocratiques universels. la france doit rompre les liens organiques établis avec les États bandits africains. c’est le préalable nécessaire au développement des forces démocratiques dans ces pays !

>>>> nous demandons :

- l’arrêt de la coopération militaire et des ventes d’armes en direction des régimes répressifs et/ou agressifs

- la mise en place de mécanismes stricts de contrôle de l’aide et de garantie de son non-détournement, l’octroi d’une part plus significative au renforcement de la société civile dans les pays africains, la mise en place d’un audit parlementaire permanent sur ces thèmes

- la fin de l’envoi d’ambassadeurs « validateurs » d’élections truquées

- le « service minimum » de relations diplomatiques avec les régimes qui ne procèdent pas d’une élection démocratique

- la levée de l’ambiguïté sur la nature officielle ou personnelle des relations entretenues avec les dictateurs africains

- la fin de l’impunité des crimes politiques et économiques

- la réforme de la politique d’asile en faveur des populations exilées de pays réputés peu respectueux des droits de l’homme.

- la reconnaissance de la nullité de la dette odieuse contractée par des régimes dictatoriaux.

""" pétition adressé à l’elysée.....""


source: "" le site de survie ""http://www.survie-france.org/

Kontrar...
   A quoi ca sert
Auteur : MATHIAS
Date : 27/03/2009 08:45



Freeman, si l'on enlève tout ce qui est hors sujet dans ta longue bafouille, il ne reste plus rien ... La prochaine fois parles nous du combat pour la sauvegarde des poissons morts en mer ?
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