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Article:
Fmi : Mission capitale au Cameroun |
Nombre de messages:
12 |
Pages:
1 |
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LES BIENS MALS ACQUIS DE MR .BIYA |
Auteur : |
FREEMAN |
Date : |
24/03/2009 15:08 |
LES BIENS MALS ACQUIS DE M: biya
paul biya, président du cameroun
depuis près de 27 ans(qui vient de modifier la constitution pour briguer un énième mandat, malgré de violents mouvements de contestation ) il aurait lui aussi passablement investi en suisse, notamment dans l’immobilier,où il possèderait ,peut être,un important parc immobilier(clinique et peut être bijouteries,...) selon un de nos informateurs.
sa fortune s'élèverait,peut être, à près de ...10 milliards de $$$(selon une enquête d'american inteligent et aussi reuiters). on sait qu’il passe plus de temps à genève qu'ailleurs, et qu’il est un excellent client de l’hôtel intercontinental : herbert schott, ancien directeur de l’établissement de luxe, peut en témoigner.
les recherches étant en cours il serait bon de les poursuivre sans trop ébruiter
la discrétion étant un outil de prédilection .
peter brigger, président de " hydromine " est le gérant occulte de la fortune de paul biya
quant à peter brigger, nos recherches on retrouvé l’individu beaucoup plus en suisse qu’aux etats-unis, en dehors des contributions politiques qu’il verse aux candidats présidentiels et aux partis politiques américains.
il en est ainsi, entre autres, des 14.190 dollars qu’il a donnés au parti libéral en 2004/2005 - ce qui est une énorme contribution politique aux etats-unis -, ou encore les 2.300 dollars qu’il amenait hydromine à contribuer pour john edwards en juillet 2007.
il faut noter que les contributions politiques aux etats-unis sont des tickets d’accès, achetés par les corrupteurs lors des campagnes électorales, pour l’entrée à la maison blanche si jamais le candidat financé venait à être élu. ce que font des individus comme paul biya, c’est de financer tous les candidats sérieux, afin d’augmenter ses chances de tomber sur le bon. les dictateurs africains sont habitués à faire de tels investissements sur la scène politique française ; certains comme biya et bongo le font activement aujourd’hui sur la scène politique américaine.
en suisse, peter brigger est connu comme un agent immobilier spécialisé dans la location de luxueux appartements de vacance aux riches. son adresse est : haus birke, 3925 grächen. téléphones : 0041 (0)27 956 25 64 et 0041 (0)27... . son web site: www.birke.ch.vu
quand on sait que le président camerounais est l’un des plus grands consommateurs mondiaux des appartements de luxe de suisse, il en découle que paul biya serait un client de longue date de peter brigger.
et quand on recoupe cette information avec une autre qui, dans les bottins new-yorkais, classe hydromine dans le secteur des « financial planning consultants » [consultants financiers], l’on déduirait également que peter brigger gère et/ou représente les intérêts financiers de paul biya.
quand on sait que delaware est l’État idéal pour créer une entreprise aux activités flous, notamment les entreprises off-shore et de blanchissement d’argent, la manière cavalière dont l’entreprise hydromine inc a été créée en août 2004 - sans objet social précis – démontre d’avantage que peter brigger est utilisé comme un individu écran.
l’on notera enfin que paul biya a tiré peter brigger de son chapeau magique exactement après la brouille avec son premier homme de main étranger, qu’il avait raté de faire assassiner, à savoir l´ingénieur conseil italien massimo campailla. la plainte de ce dernier, réclamant des dédommagements de 1.050 milliards de fcfa à l’État du cameroun, était déposée en 2004 au tribunal de luxembourg. massimo se plaint alors que paul biya lui a abusivement retiré le marché de l’exploitation exclusive de la bauxite de ngaoundal et minim martap. la création, la même année, de hydromine aux etats-unis en dit long.
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AH OUI |
Auteur : |
FLEVE |
Date : |
24/03/2009 15:25 |
FREEMAN
MERCI POUR LE TRAVAIL COURAGE ET CONTINU DE NOUS INFORMER QUE DIEU TE PROTEGE |
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RDPC :LE PARTI DE L´ENFER |
Auteur : |
FREEMAN |
Date : |
24/03/2009 18:03 |
*** r.d.p.c : l´anniverssaire de l´horeur ***
>>>> Mis en selle par Elf, de l’aveu même de l’ex-PDG d’Elf Loïc Le Floch-Prigent, Paul Biya avait succèdé en 1982 au dictateur Ahidjo, qui avait lui été mis en place par Jacques Foccart. Indétrônable, Biya et son pati rdpc bénéficie du savoir-faire en manipulation électorale de la France depuis 27 ans, qui voit en lui un rempart contre les partis anglophones(sdf), pour se faire réélire à chaque scrutin…
Peu importe la répression exercée contre les journalistes(njawé), militants démocrates ou chefs traditionnels. Car le pays offre aussi de belles possibilités de profits à des groupes français influents, comme :
total, Rougier , lafarge ,orange, pmuc sgbc ou Bolloré.
Aujourd´hui ce parti fête honteusement les 24 ans d´une dictature repressive et sans pitié comme une population affamée.
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où es-tu Noir Fier ? |
Auteur : |
ngongan |
Date : |
24/03/2009 18:39 |
Fier d'être Noir,
Mon cher,Un de mes profs aux cours d'éthique et d'esthétique disait à propos de la beauté humaine, lors de sa première rencontre avec des étudiants noirs que nous étions, dans le groupe d'étude de 1ière année, à cette Université de Vladivostok en République Socialiste Soviétique de la Fédération de Russie:
"Un noir c'est comme la poche ventrale d'un Kangourou, qui maintien l'humanité au chaud en laissant encore apparaître l'orgueil fragile de l'homme Blanc".
Moi, je te dis ceci:
Je comprends toutes tes souffrances de la présence de Biya et co au "Cameroun".
Les autres comme nous, souffrons par ce que vous, vous souffrez.
Vous souffrez et vous voulez vous donnez le pouvoir ou le devoir de nous demander de souffrir avec vous. non!
Biya maintient ton corps au chaud: ton pays.
Reviens à tout moment au Cameroun, tu trouveras tes parents, tes grand parents chez eux, dans leur village, dans leur maison, sans gardien de nuit, sans chien de garde, peut être avec la chaleur actuelle en zone tropicale, couchés au dehors, profitant de l'effet Biya; le vent du bonheur rafraîchissant.
Il vous maintient au chaud.
Et grâce à ça, vous osez sortir vos têtes afin de regarder à gauche à droite et émettre de petits sons, bien sur, pour annoncer votre présence.
C'est normal mon cher Fier, c'est çà exister.
Un jour un homme passa sous un arbre en hiver glacial et neigeux. Il remarqua un oisillon tombé sûrement d'un nid de cet arbre.Il le pris et le déposa à coté d'une bouse de vache bien chaude.Le petit oiseau se croyant bien portant car au chaud, se mis à piaffer et à émettre de petits cris de bonheur.Un loup passant non loin de là perçu les sons, vint à coté et l'avala.
Ma leçon pour toi et tes semblables?
Tu es si intelligent pour suivre mon regard et comprendre que je préfère l'hiver glacial de M. Biya comme vous le dite que la chaleur d'une vie à coté d'une bouse de vache meme chaude.
Elle ne nous sécurisera pas.
Loin de là, je ne suis pas lâche.
Que penses tu encore de ça, mon cher Noir Fier?
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LA MARCHE SUR TOUT LE CONTINENT |
Auteur : |
IL NOUS FAUT UN MOIS POUR NOUS LIBEREZ |
Date : |
24/03/2009 19:40 |
le grand complot contre l´afrique ****
>>>>>> on que sait très bien les maladies qui prolifèrent en afrique de nos jours n´ont jamais été anodines :
.sida
.ébola
.choléra
.paludisme
.typhoide
.épathites
le but et de ce complot a toujours été de ne faire de l´afrique ""qu´un réservoir de matières prémieres "".
les hopitaux en afrique sont "" des escadrons de la mort "".
mais dieu veille........!
nous n´oublions pas "" la castration des noirs "" qui s´est faite par les arabes en afrique du nord, en mauritanie, en iran , en syrie et irak pendant 13 siècles......!
jacouille
Spain qui sont-ils? des miserables aventuriers!
pensent-ils que le peuple africain
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PAUL BIYA ET LE RESTE DOIVENT QUITTEZ LE CAMEROUN |
Auteur : |
AFRIQUE COMMENCE TA MARCHE MAINTENANT |
Date : |
24/03/2009 22:37 |
il ferait mieux de rentrer chez lui et continuez à laisser violer les sœurs africaines qui sont au vatican.
il a déjà eu un premier signal, à part les personnes qui sont payées pour ce genre d'évènement il n'y avait pratiquement personne pour attendre ce membre la jeunesse hitlérienne.
rentres chez toi, quant à vous franco suisse et le pire des dix provinces qui dirigent mon pays, ceci est un avertissement de plus, le peuple ne peut plus être distrait.
fuyez! il est encore temps, bientôt il sera trop tard.
FMI CRIMES DICTATURES PILLAGE DE NOS RESSOURCES DESSORDRE ETC... |
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reveille toi mr ngongan |
Auteur : |
sette |
Date : |
25/03/2009 05:04 |
Mr Ngongan me rappelle ce nivellement vers le bas qui prend accention chez nous,n'est-t-il pas vrais que mr Biya est le plus democrate d'afrique centrale... ou encore n'est pas faux qu'on soufre de probleme alimentaire au cameroun lorsqu'on regarde ce qui se passe ds le Darfour? te tel exemple la CRTV ns en fait present tous les jours...Mr Ngongan!! reveille-toi.ns somme au 21eme siecle...je sais que t'es pas si naif que t'en a l'air.au lieu de te plaire du fait que tu ne soit pas le plus moribond de la classe;demande-toi plutot comment ceux qui sont de l'autre cotè on fait. |
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Quel idiot ce ngongan |
Auteur : |
Kabena |
Date : |
25/03/2009 08:47 |
Quel imbécile ce ngongan. Quel c.o.n |
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la blablathérapie |
Auteur : |
ngongan |
Date : |
25/03/2009 11:28 |
kaba,
Merci de ton invective mais faites nous changer le monde.
Vos bla bla sont une forme de thérapie pour vous. Contentez-vous en, grace à ce support.
Imbécile, con, c.o.n, Kabana ou kabena, usez de tout.
Le Cameroun, c'est nous. Aucune théorie sociale, fondée sur tout ce que vous devez imaginer, n'en changerait.
Les biens mal acquis de M. Biya ?, N'importe quoi. Et si c'était le cas, Où est le mal?
Si les géniteurs de YMF et de Gilbert K. ont pu avoir ce qu'ils ont depuis que l'autre est là, combien de fois ce gérant d'Hommes, de Biens, d'un Etat ?
Perdez temps et énergies, rien ne vous "sauvera". kabeyené.
Heureusement, tout est au conditionnel, à l'imparfait, à votre imagination fertile de cette afrique en miniature: faites du bruit.
Vous en n'avez pas encore fait assez. |
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ngongan a raison |
Auteur : |
sita |
Date : |
25/03/2009 11:38 |
BIYA EST BON, TRES BON, IL EST MIEUX.
Pour le président congolais Denis Sassou-Nguesso, « il est tout à fait injuste que l'Afrique ne soit pas associée au sommet du G20 à Londres ».
LE FIGARO: La visite du président Sarkozy à Brazzaville marque-t-elle un tournant dans les relations entre le Congo et la France ?
Denis SASSOU-NGUESSO: Les relations entre nos deux pays, tout le monde le sait, ont un caractère historique ; qu'il s'agisse des relations économiques, culturelles et humaines. Déjà, nous parlons ici le français, nous appartenons à la francophonie. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, quand la France était occupée par l'Allemagne, le général de Gaulle avait fait de Brazzaville la capitale de la France libre. Nos relations sont profondes, et appelées à un avenir important. Il n'y a pas de tournant à avoir. Je suis très heureux de recevoir le président Sarkozy pour parler du développement et de l'approfondissement des liens entre nos deux pays.
Les critiques formulées contre la «Françafrique», c'est-à-dire les liens particuliers entre la France et un certain nombre de dirigeants africains, ces critiques vous inquiètent-elles ?
Personnellement ça ne m'inquiète nullement. Je ne vois aucun mal à ce qu'il y ait des rapports étroits entre la France et l'Afrique. Dans le cas du Congo, les relations, je vous l'ai dit, sont très anciennes et elles vont s'intensifier avec des intérêts et des avantages mutuels. Et, voyez-vous, il n'y a pas de base militaire française au Congo. En 1997, au début de la guerre civile, les troupes françaises sont intervenues pour évacuer les Français et les Européens. Nous avons favorisé cette évacuation en neutralisant l'aéroport. Et dès l'évacuation terminée les troupes françaises se sont retirées. Donc nous ne comprenons pas qu'on puisse parler de rupture. La France a des relations avec les dirigeants africains. Elles peuvent être amicales. Mais lorsque des dirigeants européens ont des relations amicales avec des dirigeants américains ou asiatiques cela paraît normal.
Pourquoi cela serait-il interdit avec les dirigeants africains, pourvu que ces relations soient fondées sur l'intérêt mutuel de la France et de l'Afrique ?
Plusieurs ONG vous reprochent, à vous-même et à votre famille, de détenir plus de cent comptes bancaires en France et une vingtaine de résidences dans la région parisienne. Qu'avez-vous à répondre ?
D'abord permettez-moi de dire qu'il y a de la part de ces ONG une volonté manifeste de nuire. Les ONG agissent de concert avec les «fonds vautours», ces fonds anglo-saxons qui rachètent à vil prix les dettes des Africains et qui, ensuite, se font rembourser au centuple par les États.
Mais pourriez-vous en revenir aux faits Monsieur le Président ?
Très volontiers. Je suis en mesure de vous dire en ce qui me concerne, président Sassou-Nguesso, que je n'ai personnellement aucun compte en banque en France ; et je demande donc aux banques françaises qui détiendraient des comptes à mon nom de les publier dans la presse. Je donne cette autorisation aux banques. Quant aux appartements et aux maisons, je n'ai pas à me justifier, mais je le fais bien volontiers puisque vous me le demandez. Tous les Congolais savent que j'ai un petit appartement avec un salon et deux chambres, avenue Rapp dans le VIIe à Paris. Un appartement et non pas tout l'immeuble comme voudraient le faire croire certaines photos parues dans la presse. Je possède par ailleurs une maison au Vésinet que j'ai acquise en 1983 pour abriter mes enfants qui faisaient leurs études en France. Cette maison qui jouxte la voie ferrée a été rénovée plusieurs fois depuis vingt-cinq ans. C'est autour de ces deux biens que s'organise tout ce vacarme.
Monsieur le Président, vous avez répondu sur vous, mais pas sur vos enfants.
Mes enfants sont majeurs, ils sont mariés et ont eux-mêmes des enfants. Leur vie n'est pas la mienne et ils l'organisent comme ils l'entendent. À l'instar de nombreux Congolais hommes d'affaires, commerçants et chefs d'entreprise , ils possèdent des biens immobiliers en France. Je ne vois pas pourquoi on pourrait considérer comme un délit de ma part que certains de mes enfants détiennent tel ou tel bien en France, comme des centaines d'autres citoyens congolais.
La crise économique mondiale frappe durement l'Afrique. De quels moyens disposez-vous pour tenter d'y faire face, et qu'attendez-vous de la communauté internationale ?
La crise mondiale bancaire et financière touche maintenant l'économie réelle ; et naturellement tous les secteurs en crise entraînent une chute du prix des matières premières. Or, en Afrique, la plupart des économies sont assises sur la vente des matières premières et donc ce sont nos pays qui prennent les coups les plus durs. Je ne vois pas comment les pays africains pourraient, seuls, faire face à cette situation. Il faut impérativement rechercher des solutions globales. On dit volontiers en Afrique «lorsque les éléphants se battent, ce sont les petites herbes sous leurs pattes qui meurent». C'est le cas aujourd'hui des économies africaines.
Le problème de la dette des pays africains n'a toujours pas été réglé, attendez-vous des solutions du sommet du G20 à Londres ?
D'abord il est tout à fait injuste que l'Afrique ne soit pas associée au sommet de Londres. Quant à ce problème de la dette, c'était déjà un sujet de débat lorsque je présidais ans après, on l'organisation de l'Unité africaine en 1986-1987. Plus de vingt n'a toujours pas annulé la dette des pays les plus pauvres. Alors que ces dettes sont totalement provisionnées. Le FMI a mobilisé des centaines de millions d'euros en quelques jours pour sauver l'Islande sans le moindre engagement de ce pays. Pourquoi l'Afrique est-elle sujette à une telle discrimination ? L'Afrique demande simplement l'égalité de traitement, c'est un problème de justice.
Votre mandat va se terminer dans quelques mois. Quel bilan portez-vous sur votre action de ces dernières années, notamment en termes économiques et d'action sociale et éducative ?
En 1997, quand j'ai repris en main les affaires de ce pays, Brazzaville était détruite, le chemin de fer de Pointe-Noire à Brazzaville était à l'arrêt. Le pays était sans institution, le système éducatif ne fonctionnait plus ; aucune banque ne marchait et la plupart les magasins et des marchés étaient fermés ; l'insécurité régnait dans tout le pays. Aujourd'hui notre pays a retrouvé la paix et la sécurité. Vous pouvez vous y promener partout sans danger. Nous avons remis en route les institutions de la république. Nous avons reconstruit le pays. Même si tous les problèmes ne sont pas réglés nous avons retrouvé le chemin de la croissance. Les fonctionnaires sont payés régulièrement. Cette année en pleine période de crise, notre budget prévoit 9 % de croissance. Nous avons entrepris de reconstruire nos infrastructures : routes, ports, aéroports, barrages, télécommunications.
Quels sont pour vous les grands enjeux des années à venir pour le Congo et plus généralement pour le continent africain ?
Le Congo doit réussir le projet de l'intégration économique régionale ; nous ne pouvons vivre isolés sans coopérer avec nos voisins. Il faut que nous poursuivions le développement de nos infrastructures. Mais il convient aussi de développer l'agriculture et l'agro-industrie, de résoudre les problèmes d'éducation et de santé et d'attacher une importance particulière à la formation professionnelle. Nous avons besoin d'hommes et de femmes qualifiés. Notamment pour endiguer le chômage des jeunes. Aujourd'hui, seulement 2 % de nos 42 millions d'hectares de terres cultivables sont mis en valeur. Grâce à la mécanisation et à la formation, il nous faudra passer de 2 % à 15 % et pourquoi pas à 30 % de terres cultivées. Il n'y a vraiment aucune raison de désespérer. Une amélioration de la condition de nos quatre millions d'habitants est à portée de main.
Serez-vous candidat à un nouveau mandat présidentiel ?
Je n'ai pas encore pris ma décision. Mais il est vrai qu'un grand nombre d'organisations politiques et sociales lancent des appels en faveur de ma candidature. Je poursuis ma réflexion.
Quelle garantie allez-vous offrir pour que cette campagne électorale respecte le pluralisme et la stricte égalité entre les candidats ?
Aujourd'hui, il y a plus de cent partis politiques au Congo qui sont totalement libres. Il n'y a aucune entrave au fonctionnement de ces partis. La loi garantit la liberté de la presse et aucun journaliste n'est en prison pour délit d'opinion. Et si vous lisez la presse congolaise, vous constaterez qu'elle est à 99 % dans l'opposition avec des critiques très sévères et, à mon avis, excessives. Le pluralisme est garanti au Congo. Une demi-douzaine de candidats à l'élection se sont déjà déclarés. L'organisation des élections est confiée à une commission indépendante où siègent des représentants de la majorité, de l'opposition et de la société civile. C'est la loi et elle sera respectée. Un décret organise la révision des listes électorales avec participation à tous les niveaux de la majorité, de l'opposition et des représentants de la société civile. L'élection sera ouverte et libre, en présence d'observateurs de la communauté internationale. Rien ne leur sera caché.
Pour terminer, Monsieur le Président, je voudrais revenir sur les relations entre la France et le Congo qui ont une longue tradition de coopération. Êtes-vous prêt à continuer à faire de la France un de vos partenaires privilégiés en offrant une place de choix aux entreprises françaises dans votre pays ?
C'est bien ainsi que les choses se passent déjà. Il suffit que les entreprises françaises expriment leur volonté d'investir au Congo. Nous travaillons depuis plusieurs décennies avec Total pour le pétrole et pour le gaz. Et une petite partie, une toute petite partie des profits de Total vient du Congo. C'est une entreprise française, la SGE, qui construit la deuxième piste de l'aéroport de Brazzaville et qui travaille à la réfection de la voirie de notre capitale. Sogeco, une filiale de Bouygues, est en charge de l'électrification de notre territoire, le tout sur fonds propres du Congo. Et enfin, Bolloré a remporté le très important appel d'offres du terminal de conteneurs de Pointe-Noire. Nous souhaitons développer la présence d'entreprises françaises au Congo. Notre volonté est totale. La balle est dans le camp des opérateurs français.
VOIIILA.
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LES RESEAUX QUI PILLENT L´AFRIQUE |
Auteur : |
FREEMAN |
Date : |
25/03/2009 14:55 |
**** Resseaux, Impunité et Affairisme en Afrique ***
>>>> L’activisme ou selon, l’affairisme de " la Franc-Maçonnerie française " en Afrique revient chaque jour un peu plus brutalement dans les chroniques journalistiques dédiées à l’actualité des faits politiques vite occultés du continent. A la fin du mois de juillet 2004, c’est le Congo-Brazzaville du président Sassou N’Guesso réputé franc-maçon, qui selon l’édition Internet du quotidien Libération*, se voyait amputé de quelques centaines de millions de francs CFA, au profit de la Grande Loge Nationale Française [GLNF] et de son grand-maître Jean-Charles Foellner. Rumeurs, épiphénomène, pratique huilée de captation, pillage en association…? Le Congo-Brazzaville, du reste, se sort difficilement d’une guerre civile fratricide qui l’a laissé exsangue, et compte sur ses ressources pétrolières et sur les financements extérieurs pour retrouver une vitalité perdue…
Sur fond de querelle interne et de guerre de successions à la GLNF, un courrier anonyme envoyé à plusieurs maçons éminents, s’apparentant à une photocopie, et sur papier à en tête de la République du Congo-Brazzaville, fait état d’un ordre non motivé du ministre congolais des Affaires étrangères au trésorier payeur général, lui intimant de remettre 250 millions de francs CFA, soit 380 000 euros au grand-maître de la Grande Loge nationale française. L’information a été démentie par la GLNF qui a déposé une plainte au pénal.
Si rien ne permet en l’état d’établir les faits, les récentes sorties publiques des présidents gabonais et congolais, invités d’honneur aux grands événements de ces obédiences maçonniques dont ils sont devenus maîtres dans leurs extensions africaines, accrédite l’idée de relations incestueuses, opaques voire mafieuses entre franc-maçonnerie et pouvoir politique africain. Cette charge morale pèse d’autant plus sur les acteurs des relations françafricaines que les récentes affaires de corruption, de détournements de fonds publics, d’abus de biens sociaux ayant ébranlé la crédibilité du monde politique français ont souvent été considérées comme des affaires franc-maçonnes, ou au moins à fortes implications maçonniques : Elf, l’ARC, entraves à la justice en PACA et sur les dossiers sensibles…
Il n’en va pas différemment de l’analyse des infrastructures relationnelles qui permettent la déterritorialisation des capitaux africains, les captations de l’aide au développement, la corruption des élites des pays africains, l’implantation prédatrice des multinationales. Autant de réseaux tentaculaires appelés françafrique, ou autrement, où l’ombre de la Franc-Maçonnerie française plane indubitablement, aux yeux de commentateurs politiques de différents bords.
Sous la férule de réseaux, clubs, sectes, fraternités concurrents ou partenaires en prédation, tout se passe comme si l’immobilisme politique africain, couplé à une accentuation et une diversification des stratégies de pillage de toutes ressources africaines susceptibles d’exploitation à valeur ajoutée, constituaient le terrain d’entente contre le plus grand nombre, des maçonneries et des élites africaines en demande d’appuis extérieurs discrets, secrets.
Or l’exportation de capitaux africains par les élites africaines via ou au bénéfice de la Franc-Maçonnerie et autres structures occultes ne fait partie d’aucun agenda politique de quelques forces politiques que ce soit, oppositions comprises [?]. Dit autrement, les politiques africains qui n’envisagent le devenir de leurs pays et nations que par le prisme de la mendicité à l’aide et à l’investissement étranger, sont des myopes invétérés devant les sorties massives de capitaux locaux opérées par l’entremise de détournements, de prévarications, de maçonneries maffieuses, de saccages économiques !
D’un autre côté, on ne voit pas poindre à l’horizon une réflexion profonde et stratégique, au-delà de l’incantation, sur l’incrustation, l’interpénétration, la mue en nature consubstantielle du pouvoir africain et des structures occultes, fermées, extérieurs à l’Afrique et poursuivant leurs buts propres et logiques hégémoniques. Ceci souligne une dimension encore plus assombrissante et inquiétante sur la volonté des Africains à réellement prendre la mesure des enjeux de leur avenir.
Lire pour une perspective franco-française et axée sur les enjeux internes à la GLNF http://www.liberation.fr/page.php?Article=227294
Agni Blé
source: Afrikara.com
KONT.... |
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et dire ce ngongan pretant avoir ètè en europe |
Auteur : |
oriane |
Date : |
25/03/2009 18:13 |
Mr vs ferriez un ministre parfait aupre de la mangeore nationnalle.je comprends que votre cerveau de vereux vous empeche de voir plus loin que le bout de votre nez.Raproche vs de Mr biya; et si vous etez vraiment si intelligent ds vos idèes de paysant(voir discours de sarkosy a dakar) il ferrait de vs;un de leur.. |
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