|
 |
Réagissez
aux articles |
Article:
Biya se débarrasse des juges de l’Épervier |
Nombre de messages:
4 |
Pages:
1 |
|
lisex ce copier-coller |
Auteur : |
loum |
Date : |
22/07/2008 12:27 |
. C’est à ce titre qu’il s’adresse à Paul Biya, le chef de l’Etat camerounais, à qui il prédit un avenir obscur. Au destinataire de sa « vision », explique le berger, « Dieu vous rejette parce que vous vous êtes englué dans le satanisme. Vous faites ce qui est mal aux yeux de toute la nation et vous dites que c’est le bien les sorciers et les magiciens vous félicitent (Sic)». Les crimes qu’aurait commis Paul Biya, selon ce pasteur considéré comme illuminé, sont nombreux. Il cite entre autres : la révision de la Constitution sans conférence constitutionnelle, la mauvaise répartition des députés à l’Assemblée nationale, les morts inexpliquées (accidents de routes, fusillades, naufrages, incendies, l’excès de magie dans le pays, la fraude et la pauvreté « dans un pays béni »), etc. Tout en promettant des détails pour la suite, le pasteur révèle qu’à ce jour, la fortune de Paul Biya repartie dans « quatre pays et quatre banques hors de ce continent s’élève à 9.755.538.920 Frs ». La devise n’est pas précisée. |
|
je pisse sur ca |
Auteur : |
patrice |
Date : |
22/07/2008 14:26 |
je pisse sur ca quand aucun souds n'est remboursé |
|
What a story |
Auteur : |
Hassan |
Date : |
22/07/2008 14:55 |
Yesterday you were changing the constitution ,which is considered to be a big robbery, today you are getting ride of some of our best judges in our country. when are you going to resign yourself then? It does seem like you think you will be there forever. Bear in mind that going to quit this power like piece of shite... |
|
restez virgilant lisez l'article |
Auteur : |
le genocide cette fois ci contre que les français nous preparez |
Date : |
22/07/2008 23:04 |
le genocide que les français nous prepare aux cameroun cette fois ci s grave c'est nes pas les année 50 cette fois nous devrons ,nous armée très bien avoir les avions de combats lisez moi cette articles ils ne ne nous tuerons plus nous devrons nous etre p
( 22/07/2008 23:01 )
.
De 1997 à 2006, les commandes faites s’élevaient à 24 milliards FCFA, et les livraisons ont été faites pour 18 milliards FCFA.
Selon le rapport présenté au parlement français sur les exportations d’armement de la France en 2006, le Cameroun a obtenu onze autorisations d’exportation de matériels de guerre pour près de 2 milliards de nos francs.
Le Cameroun se fait également livrer par la Russie, qui lui vend directement des kalachnikovs à bon prix. Ainsi que par la Chine, qui dans sa conquête des ressources naturelles n’hésite pas à jouer la charitable.
Notons au passage qu’en 2002, l’on demandait à l’état-major de l’armée camerounaise de ne point utiliser abusivement les missiles Eryx lors des exercices militaires et des simulations de contre-offensive à Bakassi. Une preuve que la grande muette a toujours été bien fournie.
La soutien militaire français se renforce, jusqu’à résoudre le problème d’avion présidentiel
La Lettre du Continent du mois de juin dernier nous révèle que le neveu de Valery Giscard d’Estaing, Guillaume Giscard d’Estaing, directeur général de l’Office d’armement Sofema, aurait trouvé un avion à Paul Biya pour lui faire oublier l’Albatros.
Le groupe Sofema, dont les actionnaires sont EADS (22%), Safran (12%), DCN (10%), Thales (10%), Nexter (9%), Dassault (7%) et d’autres actionnaires (30%), est spécialisé dans l’aéronautique et la défense, avec pour mission spéciale de promouvoir la présence technologique française et européenne à travers le monde.
Guillaume Giscard d’Estaing faisait partie de la délégation du ministre français de l’immigration Brice Hortefeux lors d’une visite effectuée au Cameroun les 19 et 20 mai 2008.
Il est important de signaler que la Délégation générale pour l’armement française a reçu une commande du Cameroun pour des véhicules blindés (VAB), ainsi que pour des systèmes sol-sol et sol -air.
Au-delà du budget faramineux et des commandes onéreuses, il faut noter que le conflit de Bakassi a donné au régime de M. Biya l’avantage de renforcer et d’équiper – du moins sur les papiers de demande d’aides - l’armée qui lui est si chèrement dévolue.
En effet, depuis 1993, les armes et équipements militaires bénéficient des crédits du fonds d’aide et de coopération (FAC). En sus de cela, l’armée camerounaise bénéficie du soutien de son alliée française dans le cadre d’un accord de défense.
L’opération Aramis, qui est menée depuis février 1996 et dont la mission se traduit par une assistance dans les domaines de l'aide au commandement, du soutien logistique, du renseignement, de l'instruction opérationnelle, de l'évacuation sanitaire, ainsi que de la surveillance des frontières entre le Nigeria et le Cameroun, est le volet le plus important de cette coopération.
L’opération Aramis coûterait annuellement à la France quelques 2,62 millions d’euros ; en échange bien sûr d’une exploitation abusive et sans contrôle de nos ressources.
Le conflit de Bakassi s’est donc avéré un secteur extrêmement juteux pour les bandits à col blanc de la République Tropicale du Cameroun, avec une augmentation considérable des dépenses budgétaires, dont l’essentiel est détourné à travers des réseaux mafieux de trafic des armes militaires, que contrôlent Biya, ses complices de la famille Meka et d’autres proches officiers et civils.
Les trafics de Bakassi ne datent pas d’aujourd’hui
Les magouilles montées autour de l’affaire Bakassi n’ont pas commencé aujourd’hui. Nous suivons cette mafia depuis plus d’une décennie. En 1996, près de 218 millions de dollars y avaient été engloutis.
L’on se souvient encore qu’en 1995, pour justifier des dépenses incongrues, quelques ogres de la délégation générale à la sûreté nationale fabriquèrent un gros mensonge afin de couvrir de gros détournements en faisant croire qu’il fallait nourrir et approvisionner 335 policiers qui se trouveraient à Bakassi. Ce que le vieux briscard Ndzana Seme, alors directeur de Publication du Nouvel Indépendant avait appelé à l’époque le « gombo » de Bakassi.
« Vérifications faites au ministère de la Défense », le journaliste révéla alors qu’aucun policier ne se trouvait à Bakassi (Le Nouvel Indépendant du 15/05/95).
Pour mémoire, feu Jean Fochivé porta plainte contre Ndzana Seme pour diffamation, espérant ainsi joindre sa plainte à celle de Paul Biya qui se sentait blessé d’outrage au président de la république pour avoir été appelé « animal pensant », d’incitation à la révolte et de non soumission du journal à la censure administrative. Fochivé retira aussitôt sa plainte à la première audience quand il constata que les sources du journal étaient policières.
Plus elle est modernisée, plus l’armée est fragile aux attaques
Le 13 janvier 2005, Paul Biya signait cinq décrets de modernisation de l’armée camerounaise. Conjointement mené par les militaires français et camerounais. Le projet, qui repose entre autres sur le renseignement et les transmissions, devait aboutir à la création du Cours supérieur interarmées de défense (CSID) et de l’Etablissement centralisé de réparation et de reconstruction automobile (ECCRA).
Aussitôt les décrets signés, le chef d’état major de l’armée française, le général d’armée Henri Bentegeat, se rendit au Cameroun quelques jours plus tard pour être rassuré de « la réalité du partenariat militaire entre nos deux pays. »
Dans un communiqué du CSID et ECCRA daté du 10 janvier 2007, il est souligné que « le Cameroun peut se prévaloir aujourd’hui d’être une des références africaines dans le domaine de la formation des officiers ».
Au vu d’un tel renforcement de l’armée sous le financement et la supervision française, il y a lieu de s’interroger sur ces attaques répétées de Bakassi qui n’ont eu de cesse de plonger les Camerounais dans le désarroi.
Le groupe « mystérieux » qui revendique les attaques du 12/11/2007, et dont l’un des leaders a accordé une interview au journaliste Ndzana Seme le 26 juin 2008, avait annoncé de nouvelles attaques dans les prochaines semaines.
Il y a 7 jours, des « assaillants » ont une fois de plus surpris nos militaires au campement de Munya. « Trois soldats camerounais ont été grièvement blessés. D'importantes quantités d'armes et de munitions ont été emportées par les assaillants. »
Et comme les fois précédentes, les soldats ont été pris de cours, ont pris la poudre d’escampette, abandonnant armes et munitions aux assaillants. Comment une armée aussi bien équipée et entraînée se retrouve-elle entrain d’être prise de court et de refuser de combattre ?
Les assaillants sont-ils réellement des étrangers qui refusent de reconnaître la souveraineté camerounaise de Bakassi, ou alors les membres des réseaux mafieux qui vont de temps en temps prendre livraison de leur marchandise militaire quand ils veulent aux postes militaires les plus fragiles de Bakassi ?
Une telle obscure maffia ne bénéficie-t-elle pas de l’appui autant des hommes du pouvoir camerounais et que ceux du pouvoir nigérian ? L’attaque de novembre 2007 ayant causé la mort de 21 soldats demeure une énigme bien ténébreuse.
En effet, des sources proches de l’armée sont unanimes quant à l’implication d’un bon nombre de leurs compatriotes dans cette tragédie.
Ces crimes ne profitent-ils pas à ceux qui se livrent en toute impunité au trafic des armes et qui en seraient privés si jamais le calme s’installait ? Le trafic d’armes est notamment très juteux et les énormes commandes du Mindef sont utilisées dans des trafics divers, dont notamment ceux de ravitaillement des rebelles du Tchad, de Centrafrique et des bandes armées du Delta du Niger en armes de guerre, selon des sources militaires.
Même le commerce illicite du carburant est endémique au sein l’armée. En février 2001, lorsque la poudrière explosa au quartier général de Yaoundé, allusion fut faite à « un sabotage pour masquer un trafic crapuleux de munitions à destination du Tchad, de la Centrafrique ou de la RD du Congo ».
En attendant de voir le Bataillon d'intervention rapide (Bir) - qui n’a pas encore fait ses preuves au grand Nord où l’insécurité continue de prospérer - voler au secours des soldats qui sont au front, tout porte à croire que l’ennemi à Bakassi se trouve dans le camp des camerounais.
Mais si les Bir s’impliquent directement dans les combats dans ce qui peut devenir une guerre ouverte à Bakassi, qui protégera encore Paul Biya à Etoudi. Qui massacrera encore les manifestants dans les rues de nos villes au prochain soulèvement populaire ? ( A suivre)
de camer.be
jeanne
Belgique pour pouvoir obtenir quelque chose à une personne qui ne céde pas ,il faut le sapoter ou faire tout simplement le chantage comme les blancs savent bien le faire
donc pour faire sortir Popol du fait pas rire. Et donne plutôt envie de se venger.
Il ft bien fixer une limite en tout. Car nous ne sommes pas une société de singes barbares de la forêt.
Savez-vous qu’il existe une loi emprisonnant tte personne niant le génocide des juifs, sans même parler de soutenir ce dernier.
La place de Crabe n’est pas ici mais en prison. Vous rigolez ou quoi ?
Savez-vous qu’il y a sur ce forum des gens qui ont perdu des parents en février ? Et qui rêvent de vengeance ?
Crabe a-t-il réussi pr l’instant sa mission ds ce forum de banaliser les crimes de Biya et les rendre acceptables ?
LE GBASSEUR a raison. Chez nous les bantu, on ne se moque pas d’un peuple qui pleure ses enfants.
C’est déjà mieux pour un criminel de débattre en prison, pas sur un forum. Car il n’a pas permis à ses victimes d’exprimer leurs opinions
Ecrire une réaction
|
|
|
Pour donner votre avis |
Il n'est plus nécessaire d'utiliser vos identifiants de forum
Les
champs précédés d'un * sont obligatoires
|
Nom* |
|
E-mail |
|
Titre* |
|
Etre prévenu par email quand une réponse est
faite
Ne cochez oui que si vous voulez recevoir des mails en cas de réponse sur ce sujet et que vous avez saisi votre mail |
Ce message
est |
|
Message* |
|
|
|
 |
|