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Article: Deux assaillants arrêtés à Bakassi
Nombre de messages:  4
Pages:  1  
 
   Qu'on les fouette!!!
Auteur : yantx86
Date : 22/07/2008 18:47

Ces deux doivent entendre comment ça sens au cameroun.qu'on les fouette jusqu'aaaaa!qu'ils disent tout ce qu'il savent.Même se qu'ils imaginent,ils doivent tout nous dire sur ce groupe de perdus!!
   lol
Auteur : epapala
Date : 22/07/2008 19:50

j'ai mal pour eux "l'exploitation" la sera tres dangereuse mon type!!! les militaires vont se venger sur eux tres mal!!
   nous devrons nous preparez cette fois à nous munir des avions des chassez pour combattre les français et leur armlée à la con semengue nous à bien divisée et j'espère pour lui qu'il aura longue vie et ss aussi
Auteur : le genocide français et biya es en marche aux cameroun
Date : 22/07/2008 23:45

le génocide français es en marche au cameroun avec mr biya et ses compagn on contre le peuplecamerounais nous devrons nous armée jusqu'au dents liosez pluistôt cette articleAvec un budget de 155.203 milliards de FCA, la grande muette n’est pas au régime maigre. Son budget est revu à la hausse tous les ans (142.198 milliards en 2006 et 150.413 milliards en 2007). En plus, elle ne se prive pas des dons des pays qui convoitent les richesses de notre cher et beau pays.

En matière d’achats de matériels et d’équipements à but militaire, le Cameroun ne fait pas dans la fine bouche. Entre 2002 et 2006, notre pays s’est vu livrer par la France, des fusils automatiques et 11 420 lances grenades.

Le Cameroun devenait ainsi le premier client de la France pour cette période. Un tel armement lourd n’est finalement utilisé que contre l’ennemi intérieur de Paul Biya que sont les populations camerounaises, massacrées à souhait quand elles osent revendiquer leurs droits humains.

De 1997 à 2006, les commandes faites s’élevaient à 24 milliards FCFA, et les livraisons ont été faites pour 18 milliards FCFA.

Selon le rapport présenté au parlement français sur les exportations d’armement de la France en 2006, le Cameroun a obtenu onze autorisations d’exportation de matériels de guerre pour près de 2 milliards de nos francs.

Le Cameroun se fait également livrer par la Russie, qui lui vend directement des kalachnikovs à bon prix. Ainsi que par la Chine, qui dans sa conquête des ressources naturelles n’hésite pas à jouer la charitable.

Notons au passage qu’en 2002, l’on demandait à l’état-major de l’armée camerounaise de ne point utiliser abusivement les missiles Eryx lors des exercices militaires et des simulations de contre-offensive à Bakassi. Une preuve que la grande muette a toujours été bien fournie.

La soutien militaire français se renforce, jusqu’à résoudre le problème d’avion présidentiel

La Lettre du Continent du mois de juin dernier nous révèle que le neveu de Valery Giscard d’Estaing, Guillaume Giscard d’Estaing, directeur général de l’Office d’armement Sofema, aurait trouvé un avion à Paul Biya pour lui faire oublier l’Albatros.

Le groupe Sofema, dont les actionnaires sont EADS (22%), Safran (12%), DCN (10%), Thales (10%), Nexter (9%), Dassault (7%) et d’autres actionnaires (30%), est spécialisé dans l’aéronautique et la défense, avec pour mission spéciale de promouvoir la présence technologique française et européenne à travers le monde.

Guillaume Giscard d’Estaing faisait partie de la délégation du ministre français de l’immigration Brice Hortefeux lors d’une visite effectuée au Cameroun les 19 et 20 mai 2008.

Il est important de signaler que la Délégation générale pour l’armement française a reçu une commande du Cameroun pour des véhicules blindés (VAB), ainsi que pour des systèmes sol-sol et sol -air.

Au-delà du budget faramineux et des commandes onéreuses, il faut noter que le conflit de Bakassi a donné au régime de M. Biya l’avantage de renforcer et d’équiper – du moins sur les papiers de demande d’aides - l’armée qui lui est si chèrement dévolue.

En effet, depuis 1993, les armes et équipements militaires bénéficient des crédits du fonds d’aide et de coopération (FAC). En sus de cela, l’armée camerounaise bénéficie du soutien de son alliée française dans le cadre d’un accord de défense.

L’opération Aramis, qui est menée depuis février 1996 et dont la mission se traduit par une assistance dans les domaines de l'aide au commandement, du soutien logistique, du renseignement, de l'instruction opérationnelle, de l'évacuation sanitaire, ainsi que de la surveillance des frontières entre le Nigeria et le Cameroun, est le volet le plus important de cette coopération.

L’opération Aramis coûterait annuellement à la France quelques 2,62 millions d’euros ; en échange bien sûr d’une exploitation abusive et sans contrôle de nos ressources.

Le conflit de Bakassi s’est donc avéré un secteur extrêmement juteux pour les bandits à col blanc de la République Tropicale du Cameroun, avec une augmentation considérable des dépenses budgétaires, dont l’essentiel est détourné à travers des réseaux mafieux de trafic des armes militaires, que contrôlent Biya, ses complices de la famille Meka et d’autres proches officiers et civils.

Les trafics de Bakassi ne datent pas d’aujourd’hui

Les magouilles montées autour de l’affaire Bakassi n’ont pas commencé aujourd’hui. Nous suivons cette mafia depuis plus d’une décennie. En 1996, près de 218 millions de dollars y avaient été engloutis.

L’on se souvient encore qu’en 1995, pour justifier des dépenses incongrues, quelques ogres de la délégation générale à la sûreté nationale fabriquèrent un gros mensonge afin de couvrir de gros détournements en faisant croire qu’il fallait nourrir et approvisionner 335 policiers qui se trouveraient à Bakassi. Ce que le vieux briscard Ndzana Seme, alors directeur de Publication du Nouvel Indépendant avait appelé à l’époque le « gombo » de Bakassi.

« Vérifications faites au ministère de la Défense », le journaliste révéla alors qu’aucun policier ne se trouvait à Bakassi (Le Nouvel Indépendant du 15/05/95).

Pour mémoire, feu Jean Fochivé porta plainte contre Ndzana Seme pour diffamation, espérant ainsi joindre sa plainte à celle de Paul Biya qui se sentait blessé d’outrage au président de la république pour avoir été appelé « animal pensant », d’incitation à la révolte et de non soumission du journal à la censure administrative. Fochivé retira aussitôt sa plainte à la première audience quand il constata que les sources du journal étaient policières.

Plus elle est modernisée, plus l’armée est fragile aux attaques

Le 13 janvier 2005, Paul Biya signait cinq décrets de modernisation de l’armée camerounaise. Conjointement mené par les militaires français et camerounais. Le projet, qui repose entre autres sur le renseignement et les transmissions, devait aboutir à la création du Cours supérieur interarmées de défense (CSID) et de l’Etablissement centralisé de réparation et de reconstruction automobile (ECCRA).

Aussitôt les décrets signés, le chef d’état major de l’armée française, le général d’armée Henri Bentegeat, se rendit au Cameroun quelques jours plus tard pour être rassuré de « la réalité du partenariat militaire entre nos deux pays. »

Dans un communiqué du CSID et ECCRA daté du 10 janvier 2007, il est souligné que « le Cameroun peut se prévaloir aujourd’hui d’être une des références africaines dans le domaine de la formation des officiers ».

Au vu d’un tel renforcement de l’armée sous le financement et la supervision française, il y a lieu de s’interroger sur ces attaques répétées de Bakassi qui n’ont eu de cesse de plonger les Camerounais dans le désarroi.

Le groupe « mystérieux » qui revendique les attaques du 12/11/2007, et dont l’un des leaders a accordé une interview au journaliste Ndzana Seme le 26 juin 2008, avait annoncé de nouvelles attaques dans les prochaines semaines.

Il y a 7 jours, des « assaillants » ont une fois de plus surpris nos militaires au campement de Munya. « Trois soldats camerounais ont été grièvement blessés. D'importantes quantités d'armes et de munitions ont été emportées par les assaillants. »

Et comme les fois précédentes, les soldats ont été pris de cours, ont pris la poudre d’escampette, abandonnant armes et munitions aux assaillants. Comment une armée aussi bien équipée et entraînée se retrouve-elle entrain d’être prise de court et de refuser de combattre ?

Les assaillants sont-ils réellement des étrangers qui refusent de reconnaître la souveraineté camerounaise de Bakassi, ou alors les membres des réseaux mafieux qui vont de temps en temps prendre livraison de leur marchandise militaire quand ils veulent aux postes militaires les plus fragiles de Bakassi ?

Une telle obscure maffia ne bénéficie-t-elle pas de l’appui autant des hommes du pouvoir camerounais et que ceux du pouvoir nigérian ? L’attaque de novembre 2007 ayant causé la mort de 21 soldats demeure une énigme bien ténébreuse.

En effet, des sources proches de l’armée sont unanimes quant à l’implication d’un bon nombre de leurs compatriotes dans cette tragédie.

Ces crimes ne profitent-ils pas à ceux qui se livrent en toute impunité au trafic des armes et qui en seraient privés si jamais le calme s’installait ? Le trafic d’armes est notamment très juteux et les énormes commandes du Mindef sont utilisées dans des trafics divers, dont notamment ceux de ravitaillement des rebelles du Tchad, de Centrafrique et des bandes armées du Delta du Niger en armes de guerre, selon des sources militaires.

Même le commerce illicite du carburant est endémique au sein l’armée. En février 2001, lorsque la poudrière explosa au quartier général de Yaoundé, allusion fut faite à « un sabotage pour masquer un trafic crapuleux de munitions à destination du Tchad, de la Centrafrique ou de la RD du Congo ».

En attendant de voir le Bataillon d'intervention rapide (Bir) - qui n’a pas encore fait ses preuves au grand Nord où l’insécurité continue de prospérer - voler au secours des soldats qui sont au front, tout porte à croire que l’ennemi à Bakassi se trouve dans le camp des camerounais.

Mais si les Bir s’impliquent directement dans les combats dans ce qui peut devenir une guerre ouverte à Bakassi, qui protégera encore Paul Biya à Etoudi. Qui massacrera encore les manifestants dans les rues de nos villes au prochain soulèvement populaire ? ( A suivre)

© Correspondance de : Delphine Fouda
Paru le 22-07-2008 00:13:00

   faut mieux les mater
Auteur : turbasse
Date : 23/07/2008 05:16

Dieu ne dort jamais,ses 2 individus devoileront le secret ou bien la cachette des autres voir meme le prochain plan du cote adversaire si reellement vous les passer a la braise en tout cas pas besoin de vous le dire car le bilan est lourd cote camerounais
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