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| Article:
Où va l’argent du pétrole camerounais ? |
| Nombre de messages:
8 |
| Pages:
1 |
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REALITE DU FRANC CFA |
| Auteur : |
un camer |
| Date : |
09/07/2008 12:41 |
MES FRERES PRENNEZ UN PEU DE VOTRE TEMPS ET LISEZ CECI.
Tout d'abord une mis au point même si je me répète, mais il faut le préciser:mon article a plus des visés macro-économiques que micro-économiques. Il ne s'agit pas de dire aux frères et aux soeurs de ne plus travailler, mais simplement de dire à celles et ceux qui se prétendent leaders, donc qui ont vocation à présider à la destinée du plus grand nombre de changer de cap, de vision!
J'ai ENFIN pris le temps de visionner et de lire les interviews de Thierry TAN, l'Asiat' qui veut sauver l'Afrique!
J'ai entendu son plaidoyer et je corrobore ses propos quand il fait le constat de la situation de notre continent.
Là, où je trouve naïf, c'est quand il escompte un changement d'attitude de la BAD ou de la France vis-à-vis de l'Afrique pour aider notre continent pour s'en sortir.
La BAD (Banque AFRICAINE du Développement) n'appartient plus aux Africains depuis au moins 1982. Pourquoi? Pour cela, il suffit de voir qui sont les actionnaires majoritaires: USA, Japon, Chine, GB, France, Japon, Italie, Norvège, Suède, Corée, Arabie Saoudite, Koweit, Portugal, Canada, etc.
Ce groupements de banques qu'est la BAD suit donc la politique des actionnaires majoritaires comme dans toute entreprise capitaliste soumise aux lois du marché.
En bref, la BAD ne pourra jamais soutenir des entreprises qui auront vocation à libérer le continent de l'étau sioniste.
Je ne reviendrai pas sur l'idée farfelue d'un changement de la politique africaine de la France sioniste, le discours de Dakar est assez éclairant à ce sujet.
Mais il est un point qui est très important et que soulève Thierry TAN. C'est celui de l'industrialisation, de la transformation des matières premières.
Et nous sommes là en plein coeur sujet.
Comment s'explique ce retard? Est-ce dû au fait que les Africains sont inaptes à entreprendre dans l'industrie ou est-ce dû à des blocages structurels?
L'Histoire est là pour balayer la première hypothèse. Mais dans ce cas, quel ce mécanisme qui empêche les Africains de transformer la matière première sur leur propre territoire?
Pour cela, il faut s'intéresser de très près au fonctionnement de la monnaie et précisément du principe de fixité du franc CFA.
L'asservissement mécanique
Le principe de fixité du franc CFA dit qu'il ne peut y avoir de fluctuation entre l'euro et le Franc CFA (1€=655.957 Franc CFA). Avec cette fixité, les gouvernements africains de la zone CFA sont de factointerdits de manipuler le taux de change. C'est comme si les Etats afriains conduisaient une voiture où il ne pourrait ni freiner, ni changer de vitesse!
Cette fixité rend le F CFA trop fort par rapport aux autres pays africains. Par conséquent les pays de la zone Franc CFA, ne sont pas du tout attractifs. Les investisseurs préfèreront miser leurs bille en zones naïra (nigéria) ou cedi (ghana) dont les monnaies sont invertibles plutôt qu'en zone CFA.
Car avec la même somme, supposons 1 millions d'euros, l'investisseur étranger pourra former plus de travailleurs locaux au nigéria ou au ghana que dans n'importe quel pays de la zone CFA. Ceci expliquement partiellement pourquoi, cette zone attire si peu de capitaux!
Etant donné que le CFA est arrimé à l'euro en vertu du principe de fixité, cela signifie l'euro se dévalue ou s'apprécie par rapport au dollar, les pays de la zone CFA devront casquer eux aussi. En cas de dévaluation de l'Euro par rapport au dollar, les importations des pays de la zone CFA, les factures de pétrole libellées en dollar, ainsi que les dettes extérieures augmentent AUTOMATIQUEMENT.
Pour exemple: supposons qu'un Etat de la zone CFA ait en 1978 une dette de 1 million dollars US. La dette était donc de 4 millions de Franc CFA car à l'époque le dollar US valait 4 Franc français.
En 2000 le dollar US valait 8 Franc français. Ce qui signifie la dette est passé de 4 millions de Franc à 8 millions de Franc. Soit de 400 millions de Franc F à 800 millions de Franc CFA; c'est-à-dire une augmentation de 400 millions franc CFA.
Donc l'Etat a dû supporter une augmentation de 400 millions de franc CFA de ses dettes simplement parce que la France a mal géré sa monnaie.
D'un autre côté quand l'Euro s'apprécie, mécaniquement le franc CFA se renforce par rapport aux autres monnaies africaines. Ce qui plombe la compétivité des pays de la zone frac CFA aux niveaux des exportations et l'exclut du marché africain.
Pour exepmle: l'ananas gabonais à 100 Franc CFA sera vendu au Ghana à 400 cedis. Après conversion l'ananas guinéen, lui, sera vendu à 200 cedis sur le marché Ghana. Donc, nous voyons bien que d'office la Côte d'Ivoire est exclus du marché africain, en l'occurence, ghanéen ici du fait de la surévaluation du Fran CFA.
Le seul marché qu'il restera à la Côte d'Ivoire est l'Union Européenne où il n'y a aucun risque de change puisque le taux entre l'Euro et le franc CFA est fixe.
Et justement avec les accords de Yaoundé, qui sont devenus par la suite les accords de Lomé et en enfin de Cotonou, l'Union Européenne s'engage à faire tomber les bannières douanières pour les produits des pays ACP (Afrique Caraïbes Pacifique) à la condition que les matières premières ne soit transformées ni partiellement ni totalement.
Cela veut dire que les matières premières minières, minérales, énergétiques et agricoles des A.C.P. peuvent entrer librement, sans aucun frais de douane sur le marché unique européen à la seule condition de n’avoir jamais été transformées localement ni totalement, ni même partiellement.
Ces matières premières doivent être exportées par les A.C.P. brutes, en l’état, vers l’Union Européenne où elles seront transformées en produits finis valorisés pour le bien-être européen.
C’est ainsi que le kilogramme de café acheté brut au paysan ivoirien à 200 F CFA (2 FF) sera vendu au consommateur final français à 10 FF la tasse chaude comprenant 20 g de café poudre. Lorsque se videra le bocal de 1 kg de café moulu, le «barman» aura vendu 50 tasses qui donneront une recette de 50 tasses*10 FF = 500 FF = 50.000 F CFA contre 200 F CFA payés au producteur africain.
La différence, soit 49.800 F CFA (= 50.000 – 200 F CFA) est pour l’économie européenne. Sans oublier le fait que les sacs de café sont pris en charge dès les ports africains par les entreprises européennes qui créent des emplois pour les Européens, on comprend qu’un tel commerce Nord-Sud ne peut qu’être encouragé par l’Union Européenne.
Toutes ces raisons et d'autres m'amènent à la conclusion suivante: Thierry TAN n'a fait qu'entrevoir le noeud du problème. S'il a d'abord pu avoir des financements de la BAD c'est justement parce qu'il n'avait pas le profil de l'Africain qui veut sauver l'Afrique. Car les Africains qui ont ce profil sont interdits de prêts dans les banques contrôlés par la mafia sioniste.
Si ces gars créent des Ecole de guerre Economiques (EGE), ça n'est pas pour rien. Parce qu'ils savent qu'ils des chosent que les Noirs ne doivent surtout pas savoir. Tant que ça reste à petite échelle, c'est bon pour eux...Au-delà c'est la merde!!!
LE CHEMIN DE NOTRE LIBERTE SERA LONGUE
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Tres pertinent |
| Auteur : |
Willo |
| Date : |
09/07/2008 14:04 |
Très pertinent ce que tu présentes.
Je suis complètement d'accord.
J'ai lu un bouquin de N. Agbohou, "Le franc cfa et l'euro contre l'afrique"
qui aborde les multiples facettes de ce sujet, A LIRE ABSOLUMENT !!! |
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voila la ou ca part |
| Auteur : |
patrice |
| Date : |
09/07/2008 14:32 |
juste vous donnez un peu de details sur la ou part l'argent du pretrole.
bon on y va:
-biya utilise 20 milions chaque mois pour nourrir son chat
-ses enfants font des kado de 2à 3 milions par jour aux maitres et maitresses
-sa femme utilise 2 à 3 milliars pour inviter les premieres dames africaines pour leur montrer que le camer a les do
-son fils frank baise les nana à dla svp il baise un coup à 3 milion
-biya lui meme utilise 200 milion pour changer son sang et 30 milion pour netoyer sa calversie
ect........................................................... c'est la ou part l'argent du pretrole.je crois que c'est clair.au lieu de chercher cmt faire descendre ce vieux au pourvoir vous passez votre temps à ecrire et à ecrire |
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Liberez mon pays |
| Auteur : |
The Black child |
| Date : |
09/07/2008 15:22 |
Désolé pour tous ceux qui ne savent pas où va l'argent du pétrole et le problème de la fixité du franc cfa à l'euro. Cela fait parties des interêts vitaux de la France en Afrique, pour lesquelles, nos compatriotes sont morts en fevrier dernier sans que les organisations mafieuses en conivences avec le gouvernement gaullois n'ont pas jugés aussi important d'organiser les marches comme pour le Tibet. Toute façon un américain vaut 1.10 européens qui vaut 1.15 chinois qui vaut 10 africains. Puis les nièmans comme Hortefeux et la court -type de Sarko nous dirons que la France ne peut pas acceuillir la misère du monde, la misère qu'ils créent eux mêmes. Bref seul les africains peuvent se sauver comme les chinois et les indiens essayent. En passant le fils de popol payent un coup à 5 millions et son boss au double |
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a the black child |
| Auteur : |
un camer |
| Date : |
10/07/2008 09:20 |
gars crois tu que la marche kil ont or ganise pour le tibet etait sincere? c'etait juste une masquarade pour diaboliser la chine parceque aujourdhui la chine rivalise avec eux sur le plan econnomique et est meme en voie de les surpasseer.
ils font semblant de ne rien voir en afrique quand les leaders de l'afrique bradent leurs pays pour eux.ils les aident meme a se maintenir au pouvoir en donnant a ceux ci les moyens de mater leur population quand ceux ci se souleve comme c'etaient le cas en fevrier au cameroun.
mais par contre tous leader africain qui n'est pas pres a se faire entuber et est soucieu de sa population comme c'est le cas de Robert Mugabe. ils(les europeens)mettent en marche toute leurs machines de repression economique contre eux.
Mais aujourdhui il ya de plus en plus dafricain qui prennent conscience et un jour ou l'autre il faudra bien les confronter. |
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il faut commencer des maintenan |
| Auteur : |
loum |
| Date : |
10/07/2008 11:49 |
j'avais deja dit ma part,la guerre de liberation est a recommencer a zero depuis l'assinat de nos heros nationaliste.
nous devons des a presen lancer des reflexions pour voir par quels moyens nous devon nous liberer.
pour cela je prie encore et toujours beri.com de reserver un espace permanen dans ce site sur la question afin de recueillir de temps en temps les points de vue. |
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LA VIDEO DU PROFESSEUR NICOLAS |
| Auteur : |
LE NAZISME FRANCAIS DU FRANC CFA |
| Date : |
12/07/2008 01:30 |
WWW.AFRICAMAAT.COM Où SUR LE SITE DU PROFESSEUR WWW.SOLIDARITEMONDIALE.COM
L ARGENT DU PETROLE ENRICHIE LES FRANCAIS COMME S IL AVAIENT ACHETEZ LE SOUS SOL CAMEROUNAIS ARRETEZ MOI CA DE SUITE TROP CEST TROP
NE FAITE PAS CHEZ LES AUTRES CE QUE VOUS NE VOULEZ PAS QU ON FASSE CHEZ VOUS BANDE D ASSASSINS |
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faire pression dès maintenant |
| Auteur : |
appelle aux peuple camerounais |
| Date : |
13/07/2008 00:00 |
l’indépendance énergétique du Cameroun : Note aux forces vives de la Nation
juillet 12th, 2008 • Related • Filed Under
Filed Under: Societe • Une
Nous avons bien souvent pris l’habitude de voir les faits à posteriori, de nous critiquer sauvagement tout en posant très peu d’actes concrets qui prouvent que nous soutenons vraiment des positions que nous sommes prêts à défendre parfois de la façon la plus rude.
Je vous propose en ce jour une démarche patriotique, humanitaire et stratégique, laquelle conduira le Cameroun vers de meilleurs lendemains. J’en appelle dans cette note à toutes les forces vives de la nation : décideurs politiques, opérateurs économiques, vecteurs de la pensée publique, diaspora, peuple camerounais, c’est le moment plus que jamais d’œuvrer sur une question qui pourrait compromettre de façon permanente notre avenir ou de le propulser.
En Janvier dernier le gouvernement d’Israël signe un accord de partenariat avec le groupe franco-japonais Renault Nissan pour la production massive et la vulgarisation d’un véhicule électrique. En avant première de cet accord, un groupe allemand à capital-risque nommé « Project Better Place », lequel se charge désormais de vulgariser des stations de rechange de batteries. Nous l’aurons compris, au lieu d’introduire du carburant dans un véhicule à une station d’essence, on remplace simplement la batterie déchargée par une batterie pleine, moyennant bien sûr coût.
Près de 6 mois plus tard, fort des résultats probants en Israël, c’est au tour du Portugal de signer un tel même accord de partenariat avec le même constructeur automobile. Les raisons évoquées pour ce pays du Sud de l’Europe tournent autour de sa dépendance énergétique, liée surtout au fait qu’il ne produit aucune énergie fossile. Ce qui est intéressant c’est que l’accord intervient dans un climat d’essais de missiles de l’Iran, sous-jacent la menace de fermer Harmuz, point stratégique du Golf Persique par lequel transite 40% de la production pétrolière brute mondiale.
Ce qui est aujourd’hui bien compris et très largement partagé, c’est qu’il est impossible de continuer de compter très longtemps sur l’énergie fossile, dont les réserves mondiales sont d’ailleurs estimées à 30 ans tout au plus. Et même si rien n’empêche des miracles ou la découverte de nouveaux gisements, l’impact environnemental qui ira d’ailleurs croissant avec la croissance de la population mondiale et les besoins en développement d’infrastructures est tel qu’il devient nécessaire de développer des solutions alternatives. C’est donc ici la grande opportunité que nous devons saisir, car la question énergétique est une question avant tout stratégique.
1- Au niveau de l’Etat
Si l’Etat du Cameroun aujourd’hui décidait de basculer par exemple une partie de son parc automobile fortement polluant en parc non polluant (peu d’émissions ou zéro émission), il gagnerait beaucoup d’argent en vendant des crédits de CO2 selon les accords du protocole de KYOTO pour lequel il est d’ailleurs signataire. Ceci permettrait de financer plusieurs projets de développement sans faire recours au moindre prêt. Sans compter que la moindre incitation dans ce sens, sans poser le moindre manque à gagner pour l’Etat créerait tout au contraire des opportunités nouvelles à la fois pour l’Etat lui-même et pour les populations. Les pays occidentaux signataires du Protocole de Kyoto ont bien compris que nous n’avons à tous qu’une seule et même planète, ils payent donc pour promouvoir la réduction des gaz à effet de serre ; il existe un barème officiel : tel nombre de tonne réduites correspondent à tel montant reversé à l’entité responsable de la réduction.
2- Au niveau des opérateurs économiques
De grandes opportunités d’affaires sont liées au passage à l’énergie propre. Aux Etats-Unis depuis 2007, on voit se créer de plus en plus dans chaque Etat des entreprises spécialisées dans la conversion des moteurs à explosions des véhicules en moteurs électriques. Les entreprises comme EV America fournissent les composantes d’une telle conversion jusque sur le continent européen. Les particuliers qui optent pour ce genre de conversion ont souvent, et c’est ce qui est intéressant, au-delà de la conscience environnementale des raisons économique ; la maintenance et le coût d’opération d’un véhicule électrique n’étant qu’une infime fraction du coût lié à un véhicule Diesel ou à essence.
3- Au niveau du Public
Alors que le Cameroun compte encore fortement sur la destruction de ses forêts pour doper sa croissance, nous ne pouvons rester plus longtemps spectateurs béants devant la croissance de nos populations urbaines, lesquelles bientôt pour se déplacer, n’auront plus d’autres choix que de se cacher dans un engin hermétiquement fermé, lequel rend l’air ambiant encore moins respirable. Le choix des solutions alternatives est non seulement générateur d’emplois, mais aussi pose des conditions environnementales propices à l’épanouissement de tous, sans compromettre l’espérance de vie, déjà fortement diminuée chez nous par d’autres fléaux.
4- Au niveau Global
Même si nous produisons aujourd’hui de l’énergie fossile susceptible de satisfaire partiellement une demande locale d’un certain type, notre dépendance aux fluctuations globales n’est pas négligeable. Les incidents de février 2008, lesquels ont beaucoup entamé l’image du Cameroun au plan géopolitique ne sont plus souhaitables.
Mais nous ne pouvons pas nous voiler les yeux, le réajustement des prix par l’accentuation du manque à gagner de l’Etat ne fait que repousser à une autre échéance une réalité inéluctable, la flambée du baril de brut n’arrangeant rien dans ce sens.
Alors chers Camerounais, je vous appelle au-delà des clivages sociopolitiques qui sont les vôtres, au-delà des aspirations individuelles parfois très légitimes qui vous animent, au-delà enfin même du bien fondé des reproches que nous pouvons tous nous faire les uns les autres, d’unir nos forces maintenant pour œuvrer dans le sens de l’indépendance énergétique du Cameroun.
Je lance en ce jour l’idée de création d’une Agence pour l’Indépendance Energétique du Cameroun.
Une telle agence pourra recevoir différentes contributions : intellectuelles, humaines, financières publiques, financières privées etc afin de promouvoir, de mettre en place ou de réaliser les actions et projets qui vont dans le sens de notre indépendance énergétique.
Pionnière en la matière en Afrique, cette Agence pourra commencer par la promotion du véhicule électrique, elle pourra catalyser des projets susceptibles d’augmenter notre production électrique lorsque celle-ci est non polluante.
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