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Article:
Marafa accuse Fru Ndi d'être le commanditaire |
Nombre de messages:
11 |
Pages:
1 |
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DONNEZ VOTRE AVIS SUR NOTRE PETROLE |
Auteur : |
RDPC FOREVER |
Date : |
11/03/2008 10:10 |
http://www.rfi.fr/actufr/articles/098/article_63340.asp
Apres avoir consulté cet article neutre,fallit-il ou non augmenter le prix du pétrole? |
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RDPC forever ta bouche sent |
Auteur : |
jean biya |
Date : |
11/03/2008 12:11 |
Tu as perdu la tete, si tu ne meurs pas avec 18 balles tires sur tes noyeaux, tu vas etre incendie avk ce petrole dont tu tiens a justifier l'augmentation des pris, marabout que tu sois... |
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toucher pas a fru ndi |
Auteur : |
bouca |
Date : |
11/03/2008 13:29 |
toucher a frun ndi mr MARAFA ,et les sorciers du rdpc et vous verrez le cameroun a feu et a sang et vos familles ne serrons pas épargner |
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hahahahaha |
Auteur : |
freedom |
Date : |
11/03/2008 15:09 |
mafara
tu oublie que le RDPC ET SES FOREVER avaient netoye tes freres.Aujourd`hui il te place devant pour diviser le grand nord et t`attaquer les anglo.
Comment peux tu affirme sans avoir honte que deux bus "36"camerounais ont paralyse un pays.Et tu constate plus loins que vous etiez au courant.si ce de cette maniere que vous dirigez le cameroun je me dis que nous avons trop de chance.
pour etre clair je crois que nous avons trop tolere ce gouvernement de biya avec des ministre qu`ils croient que la carte du cameroun est tout simplement le departement du mfoudi .si le pouvoir de biya pouvais s`arretai au frontier du mfoudi je ne crois pas qu` un seul instant je serai consire comme un fugitif en europe.
LA NATURE ELLE MEME EQUILIBRE LES POUVOIR ET FAIT DES SELECTIONS.BIYA UN JOUR PARTIRA CELA N`EST QUE QUESTION DE TEMPS
RAPPELE:si le USA sont contre toi la seul chance que tu as est de partir avant qu`ils ne se deployent . |
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freedom |
Auteur : |
RDPC FOREVER |
Date : |
12/03/2008 00:15 |
Paul BIYA partira quand Dieu l'aura décidé; nous sommes les seuls à avoir une majorité confortable et nous lui renouvelons notre confiance tant que Dieu lui prête vie; si vous n'êtes pas contents, vous pouvez vous suicider dès maintenant car vous perdez inutilement votre temps.
D'autre part, je vous promets que lui Paul BIYA est trop gentil, car celui qui va le remplacer va être implacable, profitez encore de sa présence pour vociferer n'importe quoi sur notre seul parti national; à bon entendeur................... |
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RDPC |
Auteur : |
ACHU |
Date : |
12/03/2008 13:02 |
paul biya partira quand satan son dieu l'aura décidé .il est trop gentil il a plus de 1000 morts depuis 25 ans .celui qui va le remplacer va être implacable ,vous avez déjà préparer sa succession? alors c,est qui ze meka , biyiti bi essam, essimi minye, gregoire owona,augustin edjoa,gilbert tshimi evouna,fame ndongo ou vous même qui sait le rdpc est capable de pire . |
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ACHU |
Auteur : |
RDPC FOREVER |
Date : |
12/03/2008 13:15 |
Cherches encore...................... |
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rdpc, achu, haa bon hein... |
Auteur : |
dimitri |
Date : |
12/03/2008 20:48 |
Dites moi si c'est le jeu ''cherchez les mots'' en tout cas 2011 ns dira, vs savez que le temps passe si vite, |
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dimitri |
Auteur : |
RDPC FOREVER |
Date : |
13/03/2008 01:54 |
Si le temps passe si vite, pourquoi essayer maintenant un coup d'Etat?
Prenez votre mal en patience et vous verez si votre candidat peut être vainqueur en 2011. |
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je vais mourir de rire. se rdpc for bête........ |
Auteur : |
bella |
Date : |
15/03/2008 18:06 |
hou hou rireeeeeeeeeeeeeeeeeee!
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c'est quoi ces enfants desahiller au tribunale vous maitre les blanc et assassin ne vous disent qu'ils respectent leurs jeunesse??? |
Auteur : |
mr biya vous êtes président de qui ??? |
Date : |
15/03/2008 22:27 |
Cameroun: 155 jeunes déshabillés au tribunal
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Le Messager (Douala)
5 Mars 2008
Publié sur le web le 5 Mars 2008
Mathieu Nathanaël Njog
Traitement inhumain. Condamnations presque automatiques. Des avocats dénoncent des procès politiques.
Des centaines de jeunes, pris par les forces de l'ordre lors du mouvement populaire de revendications sociales du 25 au 28 février 2008, ont maille à partir avec la justice sur l'ensemble du territoire. Au terme de procès ultra expéditifs dénoncés par des avocats, certains sont déjà condamnés et détenus dans différentes maisons d'arrêt. Ceux qui attendent encore leur sort passent devant la barre. C'est le cas à Douala, comme dans toutes les villes où les manifestations ont brillé par leur virulence : Yaoundé, Bamenda, Kumba, Bafoussam, Bafang, Dschang, Nkongsamba, etc. Selon des avocats, les prévenus, impitoyablement traités, sont présentés devant des juges qui ne demandent qu'à établir leur culpabilité, en tentant de violer les procédures.
Hier mardi 04 mars 2008 au tribunal de première instance de Douala - Bonanjo, les 155 manifestants déférés sont arrivés au palais de justice déshabillés. Ces jeunes affirment que les forces de l'ordre ont ôté leurs vêtements depuis les différents lieux de détention (police judiciaire et commissariats, principalement) pour mieux les soigner. Au moment de les passer à la barre alors qu'ils étaient tout nus, Me Alice Nkom, avocat, a interpellé le tribunal pour s'indigner du traitement inhumain de ces manifestants arrêtés et traduits devant les tribunaux. C'est à ce moment qu'ils ont été admis à se vêtir. Mais la plupart est restée nu-pieds.
Pendant leur audition à la barre, ils ont dévoilé les atrocités dont ils ont été les victimes. "Nous avons signé les procès verbaux sous les coups de crosses des fusils, les bastonnades au courant électrique des enquêteurs, etc. ", dénoncent-ils, avant d'ajouter : "On ne nous a ni fait lire chacun de nos procès verbaux finaux, ni lu pour nous ". Sur la base de ces déclarations, la défense a requis l'invalidation de leur inculpation. La plupart d'entre eux est en effet accusée de vol, destruction et attroupement sur la chaussée pendant les manifestations. Au-delà, les avocats observent des défaillances procédurales parmi lesquels le défaut d'affichage du rôle. En l'absence de cet élément, on ne sait pas qui est effectivement traduit devant le tribunal ; ce qui fait que certains parents recherchent toujours où pourraient se trouver leurs enfants portés disparus depuis bientôt une semaine.
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" Attroupement sur la voie publique "
Suite aux dénonciations, la machine judiciaire semble se déployer autrement. Si les premiers jours elle a été très expéditive, elle est maintenant coincée avec la présence des avocats. Jusqu'à 18 h hier, une seule affaire était par exemple jugée à Bonanjo. Celle-ci oppose le ministère public et la station Mobil Bonakouamouang aux jeunes Njimambou, Njiase Zaccharia et Noudambou (étudiant de droit à l'université de Douala). Ils sont poursuivis pour coaction de destruction, vol et attroupement sur la voie publique. Selon le procès-verbal de la police judiciaire, ces trois jeunes gens ont été interpellés avec 24 bidons d'huile de moteur de 2,5 litres chacun, un extincteur de près de 40 kg, des caisses de vins et de bières. Ce qu'ils démentent. Ils disent avoir été pris alors qu'ils sortaient d'un restaurant derrière le Collège de la Salle. Pour Me Bravant Bayiha, avocat, le procès-verbal est invraisemblable, " car avec leurs six mains, il est impossible de transporter toute cette cargaison."
Finalement, ces jeunes ont été reconnus " non coupables " de destruction et de vol. En revanche, leur culpabilité a été retenue pour le motif d'attroupement sur la voie publique. Par conséquent, ils sont condamnés à un an d'emprisonnement ferme, 29.650 Fcfa d'amende chacun et trois mois de contrainte par corps. " Une parodie de justice, mieux un procès en sorcellerie ", affirme Me Bravant Bayiha.
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5 Mars 2008
Publié sur le web le 5 Mars 2008
Mathieu Nathanaël Njog
Traitement inhumain. Condamnations presque automatiques. Des avocats dénoncent des procès politiques.
Des centaines de jeunes, pris par les forces de l'ordre lors du mouvement populaire de revendications sociales du 25 au 28 février 2008, ont maille à partir avec la justice sur l'ensemble du territoire. Au terme de procès ultra expéditifs dénoncés par des avocats, certains sont déjà condamnés et détenus dans différentes maisons d'arrêt. Ceux qui attendent encore leur sort passent devant la barre. C'est le cas à Douala, comme dans toutes les villes où les manifestations ont brillé par leur virulence : Yaoundé, Bamenda, Kumba, Bafoussam, Bafang, Dschang, Nkongsamba, etc. Selon des avocats, les prévenus, impitoyablement traités, sont présentés devant des juges qui ne demandent qu'à établir leur culpabilité, en tentant de violer les procédures.
Hier mardi 04 mars 2008 au tribunal de première instance de Douala - Bonanjo, les 155 manifestants déférés sont arrivés au palais de justice déshabillés. Ces jeunes affirment que les forces de l'ordre ont ôté leurs vêtements depuis les différents lieux de détention (police judiciaire et commissariats, principalement) pour mieux les soigner. Au moment de les passer à la barre alors qu'ils étaient tout nus, Me Alice Nkom, avocat, a interpellé le tribunal pour s'indigner du traitement inhumain de ces manifestants arrêtés et traduits devant les tribunaux. C'est à ce moment qu'ils ont été admis à se vêtir. Mais la plupart est restée nu-pieds.
Pendant leur audition à la barre, ils ont dévoilé les atrocités dont ils ont été les victimes. "Nous avons signé les procès verbaux sous les coups de crosses des fusils, les bastonnades au courant électrique des enquêteurs, etc. ", dénoncent-ils, avant d'ajouter : "On ne nous a ni fait lire chacun de nos procès verbaux finaux, ni lu pour nous ". Sur la base de ces déclarations, la défense a requis l'invalidation de leur inculpation. La plupart d'entre eux est en effet accusée de vol, destruction et attroupement sur la chaussée pendant les manifestations. Au-delà, les avocats observent des défaillances procédurales parmi lesquels le défaut d'affichage du rôle. En l'absence de cet élément, on ne sait pas qui est effectivement traduit devant le tribunal ; ce qui fait que certains parents recherchent toujours où pourraient se trouver leurs enfants portés disparus depuis bientôt une semaine.
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Finalement, ces jeunes ont été reconnus " non coupables " de destruction et de vol. En revanche, leur culpabilité a été retenue pour le motif d'attroupement sur la voie publique. Par conséquent, ils sont condamnés à un an d'emprisonnement ferme, 29.650 Fcfa d'amende chacun et trois mois de contrainte par corps. " Une parodie de justice, mieux un procès en sorcellerie ", affirme Me Bravant Bayiha.
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