Parfait |
Auteur : |
Paolo |
Date : |
18/02/2008 16:02 |
Merci la redaction de cette très belle analyse, il n'y a rien à redire encore Bravo |
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article tres iteressant |
Auteur : |
petitcolonel |
Date : |
18/02/2008 17:39 |
Belle analyse. Beaucoup de verité ont été dites et je pense que toute la diaspora s'est reconu dans cette analyse . |
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Certaines conslusions sont trop faciles |
Auteur : |
critique |
Date : |
18/02/2008 18:13 |
Les jeunes issus de familles aisées réussissent plus facilement parcequ'ils ont des facilités financières ....
Les jeunes de la seconde catégorie ont une plus grande conscience scolaire ...;
Ce type de conclusion hâtive rabaisse la qualité de l'article.
Un fils de riche peut avoir de l'ambition et travailler durement pour y arriver, tous n'y arrivent d'ailleurs pas.
Rien ne justifie le fait que étant issu d'une famille modeste on soit plus consciencieux que les autres. |
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gbagbo dit tout |
Auteur : |
toolazy |
Date : |
18/02/2008 23:49 |
selon moi on peut faire toute les analyses qu'on veut mais en fin de compte gbagbo resume bien la situation ici:
http://www.youtube.com/watch?v=z0RMqL77rVI
AMHA celui qui doit (veut) rentrer doit etre prepare a s'auto-employer car les quelques places en compagnie sont difficiles a obtenir.
il faut rentrer...avec une (des) idee(s) (et un peu d'argent) tout le monde peut rentrer car il y encore tout a y faire....
comme mon pere dit souvent pour reussir en entreprise au mboa, une fois que l'idee est la, il faut de LA DISCIPLINE et de la PERSEVERANCE.
Nous nous voulons tout et tout de suite alors que ca ne marche pas comme ca, meme en rentrant il faut se preparer a se sacrifier pendant quelque temps ce que personne ne veux faire soit disant que BIYA a fait ci et ca, pendant ce temps BOLLORE, FADOUL et compagnie, et maintenant les chinois ne font qu'occuper le terrain.
je pense que notre probleme c'est que nous voulons vivre alors que nous ne savons pas encore survivre. |
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Bon article |
Auteur : |
sean |
Date : |
19/02/2008 09:56 |
L'article fait un resume du casse-tete chinois ke nous les mbenguites avons kan on pense a notre tres cher pays.
S'il fallait lister tous les cas possibles cad les muna-tete ki bossent dure et ceux ki profitent seument de leur situation ou encore de fils de la classe moyenne ki son moins conscient ke d'autre etc.. on pourait lire l'article 3 jours.
l'article est ecrit plus a conditionnel
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BRAVO |
Auteur : |
SACY |
Date : |
19/02/2008 20:43 |
c'est très facile pour les mounas fo tété de parler.Je trouve que ce n'est que les gens qui se sentent touchés qui ne sont pas content,chacun peut dire exactement ce qu'il veux sur ce sujet,mais il fallait y penser.Merci pour cette analyse que je trouve brillante. |
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Bill |
Auteur : |
Tiego |
Date : |
21/02/2008 11:55 |
Je trouve l'analyse de bonne foi,mais non cadré avec les réalités actuelles à la fois du Cameroun et du monde.
Desormais on peut tout faire au cameroun depuis l'occident,donc le rpoblème de retour n'est plus un impératif,surtout si on s'affirme ou l'on se trouve.
Sur un tout autre plan,les classes sociales n'existent pas au cameroun tel que classifiés par l'auteur.
Il existe deux classes sociales au Cameroun:
-celle des voleurs et pilleurs de caisse de l'Etat et
-celle de ceux qui vivent de leurs efforts.
Si Biya promet fermement de continuer la chance aux bandits en col blanc,je crois qu'il ne sera que bien venu que la constitution soit changer pour lui permettre de finir le travail,afin de laisser une société ou naîtront l'acension sociale sur la base du mérite
et des talents.
Bien des choses à tous |
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a gbagbo |
Auteur : |
jango |
Date : |
21/02/2008 17:22 |
u frere ce toi le plus realiste de tous si on pouvait avoir degens qui pense scomme et sans hypocrisie on fera de grande chose cz nous tout le monde remet la faute au chef de l'etat alors que le pauvre rencontre detres grosses difficultes autour de lui avk la confiance qu'il leur a fait . arretez les gens d'europe de donner des lecons et venez vous battre coe nous sur place "IMPOSSIBLE N'EST PAS CAMEROUNAIS" |
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[] |
Auteur : |
un Gar |
Date : |
22/02/2008 23:51 |
le texte a l'air de resumer la facon de vivre au camer: chacun pour soi, Dieu pour tous, l'etat pour certains ...
L'absence d'unite nationnale pourrait expliquer tout les constats fait par le narrateur. Chez nous la personne (ensuite la famille et la tribu) passe avant la nation(qui existe juste sur papier). Du cout avant de rentrer, on se demande d'abords ce qu'on aurra recevra du cameroun, au lieu de se demander d'abords ce que notre retour pourra apporter à ce cameroun.
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casse tête |
Auteur : |
superfab |
Date : |
23/02/2008 21:28 |
L'article est une tres belle analyse. l auteur précise qu il ne peut pas de manière exhaustive décrire les classes et sous classes qui existent au cameroun. de manière globale, c est la réalité qu il décrit. Le retour est très difficile quand on pense à ce qui nous attend. Moi j'y étais il y'a un an et je peux dire qu il y a du potentiel. Mais il faut juste que la chance soit donnée à toute personne désireuse de la saisir. |
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Miss |
Auteur : |
Sonia |
Date : |
26/02/2008 19:24 |
Cet article souligne clairement les realites auxquelles nous sommes confrontees. Je suis etudiante en Amerique du Nord et je me situe dans la 2eme categorie d'etudiants. La peur d'un retour insecure persiste. On parle de fuites de cerveaux, mais les conditions au Cameroun ne permettent pas de rentrer! O combien c'est vrai! Quand on se rend compte de ce qu'est vraiment la democratie ici en Amerique, on n'a pas du tout envi de rentrer pour evoluer dans une societe ou tout n'est que relations, interet et tribalisme.
De plus, le pb tribaliste persiste et n'arrange rien a la misere du pays. Combien de fois dirons-nous que nous sommes CAMEROUNAIS, juste CAMEROUNAIS et non Beti,Bassa ou Bamileke. Nous avons besoin d'une vrai UNIFICATION, d'UN PEUPLE. Et si nous Camerounais marchont main dans la main en faisant fi de toutes ces conneries car j'appelle cela des conneries (c'est une ruse du Blanc afin de creer la zizanie entre nous quand il le souhaite)nous serions maintenant TRES LOIN. Si nous ne comprenons pas cela maintenant alors nous risquons de nous trouver dans la meme situation voire pire que le Rwanda car il suffira alors d'une allegation proferee par une telle tribu pour que les emeutes eclatent et qu'on assiste a des tueries selon que tu sois Bamileke ou Beti...
Le Cameroun suffoque et on est a la limite d'une explosion. Nous avons besoin de nous conscientiser et comme l'a souligne l'article nous avons besoin de "meneurs qui reussissent". Tant qu'il n'y a pas une certaine stabilite il est sur que tres peu d'entre nous rentrerons. Malheureusement. Neanmoins courage a TOUS les Camerounais partout dans le Monde.
Vive le Cameroun et vive les Camerounais.
En passant, je suis Beti fiancee a un Bamileke... |
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ça commençait pourtant bien! |
Auteur : |
lilj |
Date : |
27/02/2008 20:51 |
Le propos de l'auteur partait d'un bon postulat : rentrer ou pas après des années d'études en occident.
Effectivement, il existe une clase ouvrière totalment marginalisée au cameroun ; cette marginalisation s'étend notament au milieu estudiantin.
Mais je ne suis absolument pas d'accor avec l'analyse catégorielle de la population estudiantine camerounaise.
Les conclusions péremptoires comme celle-là, basées sur un dicours totalement démagogique, voilà ce qui nous perdra.
Au lieu de tout le tps vouloir créer des antagonismes entre les soient disant classes, ne faudrait-il pas essayer de réunir la classe moyenne et ouvrière autour d'une idéologie qui laisserait la place à plus d'équité social sans pour autant créer des antagonismes forts.
En clair, j'ajouterais qu'il me semble plus efficace de réunir une population dans un projet commun, au lieu de la catégoriser.
Dc je suis à fond avec Sonia : unifions nous pour faire évoluer notre cher pays.
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