Forum Bonaberi.com

[Elan D'Anjou De PimPim]

Que feriez-vous si votre mouna a un handicap (physique ou mental). D'aucuns refusent d'assumer un enfant handicapé en allant le donner aux services sociaux (DASS). D'autres préfèrent avorter une fois que le handicap est détecté pednant le grosesse. Et vous, vous assumeriez ou pas ?

Moi porpoh hein, je ne vais pas vous lom, si mon mouna born avec un handicap, gars je go le gui aux affaires sociales.

Et si je parviens à détecter le handicap pendant la grossesse, gars béta la nga avorte gars, tendancé !

Bon après il y'a aussi handicap et handicap. Si son handicap c'est le genre qui ne se voit pas là, la kala que si la personne ne te tell pas tu ne peux pas makam de toi même, là encore je peux tcha.

Mais si c'est la kala que le mouna est paplé façon façon genre arriéré mental là, noho mon ami, je go te lèp à la DASS tendancé !



Moi j'avoue, et vous ?



Tendancé !

[Tatchape]

difficile de repondre hein
si on le detecte pendant la grossesse et que l'handicap est vraiment grave alors je serais tenter hein qu'on fasse interuption hein

mais aussi s'il est né avec je le garde pres de moi ,je ne le donnerais jamais au service sociaux

bref pas facile car c'est mon sang hein
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(2011)avant 2015 CHACUN SA LAURA
les euros font fonctionner les neurones

[L'integree]

[Waddle]

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[Waddle]

[L'integree]

[Mbindaman]

Ah don c'est coe ca mainant? ok c'est bon
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I'm not going to rape her, I'm going to fuck her...
I've been all over the world, and everywhere I go people tell me about the true Gods. They all think they found the right one. The one true God is what's between a woman's leg...

[Magne]

[Eloïcha]

Je ne peux répondre que si cela m'arrive! Pour le moment je ne sais pas, j'ai été élevé dans la crainte de Dieu et donc il y a certaine chose que je ne ferai pas.
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Une femme ne doit jamais perdre sa dignité par amour.

[pomme]

ma soeur a un enfant handicappé et il est une bénédiction pour la famille. c'est vrai que ca peut être différent quand l'enfant souffre beaucoup ou reste à l'hopital beaucoup de temps, ou bien quand il meurt tôt. mais un enfant handicappé peut aussi apporter beaucoup de joie.
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"Je peux résister à tout, sauf à la tentation."

[L'integree]

[Elan D'Anjou De PimPim]

[pomme]

oui
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"Je peux résister à tout, sauf à la tentation."

[Waddle]

[brig]

je suis choquée par certaines réactions, ça se voit qu'ils n y a pas beaucoup ou pas des parents parmi les répondants.

pour revenir au sujet, je dirais que peu importe le degré et le type handicap, je vais accepté la charge que Dieu me donnera et je vais m'ajuster en conséquence. même si on ne dit que l'enfant n'aura pas 6 mois de vie, je le garderai et je ferai tout en mon pouvoir pour que ce soit 6 beaux mois de sa vie sur terre. l'affaire d'enfant là, c'est Dieu qui donne, c'est lui qui reprend. c'est vertes plus difficile et plus exigent de s'en occupé, mais en y cherchant bien et en faisant abstraction des opinion des aigris..... on peut y trouver un véritable bonheur dans cette relation parent-enfant. surtout si on pense coe moi que le Don de soi rend heureux

la vie ci est terrible hein? pendant que certains cherche même seulement l'enfant handicapé avec la torche, d'autres s'en débarrassent comme si se sont des véritable éléments nuisibles. franchement ça me fait très mal au cœur de lire certaines choses.

c'est coe ça aussi qu'il y en a qui juge les parents qui ont des enfants handicapés alors qu'ils/elles ne sont pas sûre d'avoir des enfants un jour

coe je connais mes chers berinautes, je vous rappelle de ne pas essayer d'associer mes dires à ma vie....on vous connait les papi et mami kongossa du coin.

anyway, je sors
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Lesson du jour: Traite les gens coe ils te traitent. Pas plus, pas moins.

[yebokolo]

Je suis d'accord avec Brig.

J'ajoute seulement que c'est à la fois un don de soi, mais souvent un calvaire, parfois physique car c'est quelquefois épuisant de s'occuper d'un enfant handicapé; et souvent moral car il y a souvent un sentiment de culpabilité personnelle qui accompagne les parents lorsqu'ils veillent sur leur enfant.

Il arrive que des parents (le plus souvent des mères et c'est le plus terrible) donne la mort à leur enfant après un long, très long calvaire, quand elles sont épuisées par 20 ou 30 ans de dévouement extrême.

Il y a un cas où la responsabilité des parents, dans le handicap de leur enfant est clairement de leur fait, c'est lorsque la médecine leur affirme qu'inéluctablement, l'enfant qu'il mettront au monde sera handicapé lourdement et quelquefois ne mènera qu'une vie végétative et douloureuse. C'est une situation qui n'est pas rare, comme par exemple quand une maladie génétique frappe une descendance et qu'un enfant est déjà là pour le prouver. (je pense par exemple à un cas comme celui du pianiste Michel Petrucciani)

Bref, c'est une situation douloureuse et pour laquelle, alors que n'avais aucune raison (avérées) de le faire, je me suis interrogé lorsque j'attendais un enfant.

la réponse à cette interrogation est multiple, tout dépend de la nature et de l'ampleur du handicap, mais je crois que cela entraine toujours une brisure, une cicatrice, un poids qu'il faut porter, malgré les joies que procure l'enfant. L'amour ne me parait pas un baume suffisant pour apaiser la douleur inéluctable qui vient avec l'enfant.

Je peux comprendre l'inquiétude des gens à cette perspective (la terreur même) mais je suis toujours étonné de la réaction de rejet.
Je crois que c'est une réaction qui vient souvent à ceux qui n'ont pas encore d'enfant.

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Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre. Marc Aurèle

[Haroun]

Brig,

Parle après avoir fait un enfant handicapé. C'est facile de dire "je ferai".

H.a.R.
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Projet de Web TV sur beri.com

[Mbindaman]

[pomme]