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camer: espece bizarre ?

 
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MessagePosté le: Mon Jul 07, 2008 4:12 pm    Sujet du message: camer: espece bizarre ? Répondre en citant

slt,

je vx vous faire partager un article que j'ai trouve sur cin.
C'est un article bourre de generalites bidons(cliches), dont l'auteur n'est pas
probablement ce qu'il pretend etre...

http://www.cameroon-info.net/cmi_show_news.php?id=23027


"...Le Cameroun est un pays producteur du pétrole, au même titre que la Guinée Equatoriale et les autres pays de la sous région sauf la RCA et où vont les recettes en provenant de votre pétrole? Réponse: Dans les poches de grands malfaiteurs et frappeurs à col blanc de l'état camerounais..."

Réaction sur l'article publié par la mutations sur le titre:

"Guinée Equatoriale/Cameroun: Dés-Intégration"



Bonjour Junior Binyam,

Mutations

J'ai lu à plusieurs repris les articles publiés dans votre journal à propos de l'intégration sous régionale que les lecteurs considèrent comme un prétexte pour tenter de verser des milliers de malfaiteurs camerounais en Guinée Equatoriale. Le Cameroun est un pays producteur du pétrole, au même titre que la Guinée Equatoriale et les autres pays de la sous région sauf la RCA et où vont les recettes en provenant de votre pétrole? Réponse: Dans les poches de grands malfaiteurs et frappeurs à col blanc de l'état camerounais, c'est la corruption qui l'emporte et détruit votre pays donc la solution ne peut venir que de vous mêmes. Il faut lutter contre ce fléau qui a plongé votre pays dans la misère et la pauvreté qui ont provoqué le ral à bol du février 2008. Le journal Mutations, au lieu de lutter à éduquer les camerounais qu'ils aient un comportement digne et responsable, tente de distraire les camerounais en leur faisant croire que la solution de leurs pays, serait qu'ils aillent en Guinée Equatoriale pour déstabiliser ce pays sous prétexte d'une intégration sous régionale, un «mot de passe utilisé par les camerounais pour détruire la Guinée Equatoriale» où les gens sont restés responsable en luttant contre les malfaiteurs et les grand banditisme crée par les camerounais qui sont en train de rendre la Guinée Equatoriale invivable comme à Douala et à Yaoundé. Voyons ensemble les malheurs qui battent sur votre pays, le Cameroun que tous les camerounais devraient éradiquer :

1).- «Le Cameroun est mal parti »: Les frappeurs, arnaqueurs, voleurs, bandits, prostituées, corrupteurs, feymen, bandits, veuves joyeuses, …etc, terrorisent la population camerounaise qui vit dans l'insécurité totale avec une peur bleu.

Je suis couturier sénégalais, j'ai fait deux ans au Cameroun. Au début, j'habitais à Depanda (Douala) où j'avais un atelier de couture. Après avoir été frappé par ce que vous appelez chez vous «des frappeurs» sans oublier les tracasseries des policiers et des gens des impôts, qui arnaquent les commerçants d'une façon illégale et dans l'impunité, j'étais obligé d'abandonner Douala et je suis allé m'installer à Vog Ada (Yaoundé) en croyant que comme, c'est la capitale et que le comportement de gens devrait être différent. Mais, je me suis rendu compte que l'escroquerie, les frappes, les arnaques, les coupures des routes, les assassins à la main armée, le grand bandits de long chemins, le vol, les mensonges, la corruption, la prostitution généralisée atteinte les sommets où il n'y a aucune exception, mêmes les femmes mariés sont de bordeles (j'ai tout vu au Cameroun où les femmes mariées défilaient dans mon atelier pour tenter de me draguer, mais je suis un bon musulman, je ne peux pas rentrer dans ce milieu où il n'y a ni moral ni coutume : le père est frappeur, la mère est frappeuse et les enfants aussi. Le père est voleur, la mère est voleuse et les enfants aussi, le père commet l'adultère, la mère commet l'adultère et les enfants feront la même chose quant ils auront l'âge,..etc) puisqu'il n'y a personne pour les encadrer à aller dans la bonne voie. Les prostituées envahirent les villes et le SIDA va de paire. Les veuves joyeuses ont tuées leurs époux pour garder leurs biens. la corruption atteint les sommets et l'impunité aussi. Un jour j'avais attrapé un voleur dans mon atelier, je lui ai porté plainte, il a été arrêté et deux jours après, il était libéré, pourtant il avait reconnu m'avoir volé trois pagnes dans mon ateliers. Mais il est sorti du commissariat parce qu'il avait payé 10 000 Fcfa et c'est comme cela que j'ai perdu les trois pagnes. Au Cameroun, on peut tout monnayer et cela est une de causes qui détruisent votre pays. Tout est faux dans ce pays. Pour obtenir un papier officiel dans un bureau (public ou privé), il faut d'abord payer le timbre pour le dossier et après il faut payer également le pourboire sinon, le dossier pourrait faire plusieurs mois sans être signé. Il ne faut avoir confiance en personne même les personnalités dites « Patron». Par exemple : il existe de téléphone clando. Il existe de faux visas, fausses cartes d'identités, faux billets d'avion Camair, faux diplôme, etc, fausses attestations de Sida,…etc. Si on veut un document officiel, il faut passer par ce qu'on appelle «réseau» (un moyen de faire persister la corruption) qui va s'occuper de faire des démarches après avoir payé une somme importante 10 fois plus que le prix du timbre officiel. Il ne faut jamais avoir confiance à une fille car elle est là pour tenter de voler quelque chose, même les sommes très insignifiantes. Il ne faut pas s'étonner qu'une grande fille vous dites qu'elle n'a pas 100 FCFA pour payer le taxi, pourtant son apparence est très trompeuse. Aucune fille n'est sérieuse. Toutes les filles sont bordeles selon le degré : on trouve les putes, on trouve les prostitués de la rue, celles de circuits. On trouve les femmes ou fille libres (groupe de bordelles que l'on peut trouver à tout le niveau : dans les Call box (lieu de rencontre et de chasseurs d'homme), dans les restaurants, dans les supermarchés en faisant semblant de regarder les rayons, dans les rues pendant la journée, tous ces groupes sont couronnés par les femmes mariées qui n'existent en, aucun cas, de draguer un homme à chaque fois que l'occasion se présente. M. Binyam, comment un pays peut-il fonctionner ainsi ?;


2).- Le Sud du Cameroun: une province paisible et hospitalière.

Dès Mbalmayo à Libreville en passant par la Guinée Equatoriale règne encore la tradition qui lutte contre le fléau que l'on vit actuellement en dehors de cette province. Il n'y a pas de règles sans exception.

Comme tous les autres habitants j'ai vécu tout ce terrible cauchemar pendant deux ans où j'ai été agressé sept fois et à chaque fois, je devrais donner tout ce que j'avais pour sauver ma peau. Un jour, mon cousin Mohamed est venu de Libreville. Nous avions discuté de la vie au Cameroun et il m'a dit de quitter Cameroun, car tout mon argent servait à payer les policiers, les braqueurs et les faux et vrais inspecteurs d'impôts, etc. Après une longue réflexion, j'ai décidé d'aller au Gabon.

Pour aller au Gabon, j'avais pris le car de Arc en ciel (à Mvan) et je suis arrivée à Ebolowa, une ville très calme et paisible. Je me suis rendu compte qu'il y avait encore quelque part au Cameroun où on peut encore vivre normalement sans être traumatisé des braqueurs, des voleurs, etc. Les autochtones du sud de Cameroun respectent encore leur tradition. Ebolowa, c'est une ville de Boulous en grande majorité, avec des Ntoumous, et autres. Je suis aller m'installer dans un Quartier qui s'appelle New Bell, par très loin du grand carrefour où j'ai fait près d'un an sans avoir aucun problème, ni être agressé. Je payais correctement les impôts et tous les autres frais sans pourboire. Quant j'étais à Ebolowa j'avais un ami appelé Ndjemba François avec lui, on parlait de tout. Un jour, je lui a expliqué la vie à Douala et à Yaoundé, il m'a dit ceci : «ici, nous sommes des boulous, nous avons et nous respectons notre tradition. Ici, il n'y a ni voleurs, ni braqueurs, ni bandits, ni arnaques, ni les coupures des routes, etc ». Il a continué en disant que dès Mbalmayo jusqu'à Libreville, en passant par la Guinée Equatoriale, nous sommes tous de frères fang, nous parlons la même langue, nous avons la même tradition que nous nous respectons et nous vivons de la même manière. Chez nous, les mauvaises habitudes sont interdites et condamnés par la tradition. Tout ce qu'on voit à Yaoundé, c'est le résultat de la conglomération de plusieurs groupes ethniques (Bamoun, Bamileké, Basa'a, Eton, anglophones, Aousas, nordiste, etc, qui sont venus à Yaoundé ou à Douala pour chercher du travail, mais, comme ils n'ont rien trouvés, au lieu de regagner leurs respectifs, ils ont imposés leurs traditions qu'on voit aujourd'hui dans ces grandes villes. Nous ici, on surveille notre ville, s'il y a une personne qui n'est pas de chez nous, et s'il essaie de voler, on l'attrape et on le met dans les mains de la police. Il m'a donné l'exemple d'une société dirigée par un Eton qui s'était installée à Ambam où après les travaux, certains de leurs ouvriers sont restés, après, ils ont commencé à arracher les sacs de femmes la nuit, un jour, ils se sont organisés et ils les ont attrapés, en les mettant après dans les mains de la police qui les a renvoyé à Sa'a chez eux).

Après mon séjour à Ebolowa, j'ai quitté cette ville paisible avec un bon climat où les gens sont très hospitaliers, pour continuer mon chemin vers Libreville, je suis arrivée à Kye –Ossi. Au cours du trajet il y a plusieurs contrôles où les arnaqueurs policiers cherchaient tous les moyens pour escroquer quelque choses aux étrangers: Dans notre Car, il y avait des Gabonais et des Equatoguinéens, deux nigérians et moi sénégalais. Ici on ne parle pas de ce que Mutation appelle intégration sou régionale, chez les policiers, on retrouve la même mentalité que à Douala et à Yaoundé. On nous demandait de payer chacun entre 4000 à 5000 FCFA par contrôle (six au total), pourtant nous avions tous de papiers et ils ne voulaient pas voire les papiers, par exemple, dans mon cas, j'avais ma carte de séjour en règle. Après toute cette tracasserie policière, nous sommes arrivée à Kye Ossi dans l'obscurité totale où j'ai fait deux semaines. Avant d'aller à Bitam, je suis allé à Ebebiyin pour tenter de vérifier ce que mon ami Ndjemba m'avait dit, j'étais accompagné d'un jeune de Mofoup appelé Edou Aba'a, une fois arrivée à Ebebiyin, il m'a amené dans un quartier d'Ebebiyin appelé Ondo-Nkulu et il m'a expliqué que les autochtones de ce quartier étaient également ses cousins tribaux et j'avais remarqué cela vu la façon dont nous avions été accueilli. Mais j'avais un problème de Langue à Ebebiyin, puisque ces gens parlaient soit en espagnol, soit en Ntoumou et c'est la raison pour laquelle je ne pouvais pas m'installer dans cette ville paisible où les gens sont également hospitaliers comme à Ebolowa.

Un fois arrivée au Gabon, je me suis d'abord installé à Bitam avant de continuer à Oyen où j'ai fait deux ans. Au Gabon, les autorités sont strictes et justes. Elles ne sont ni escrocs et ni corrompues. Ce que j'ai vécu, c'est que ce sont les malfaiteurs camerounais qui tentent de terroriser les habitants de la province de Weleu Ntem où j'ai pu vivre. J'ai obtenu une carte de séjour d'un an et j'ai ouvert un atelier de couture qui marchait très sans aucune tracasserie. Un jour, j'ai rencontré un ancien ami sénégalais qui vit en Guinée Equatoriale et il m'a dit que c'était mieux la Guinée Equatoriale, car là bas il y a l'argent et c'est ainsi que j'ai décidé d'y aller avec lui et nous sommes arrivée à Bata où il avait un atelier de couture. Deux semaines après, j'ai eu ma carte de séjour après avoir payé tous les frais sans aucun pourboire. C'est ainsi que j'ai ouvert mon propre atelier à Comandachina, un quartier de Bata.


3).- Les malfaiteurs Camerounais: un grand danger pour les habitants de la Guinée Equatoriale

Une fois relancé mes activités à Bata, un jour, j'ai rencontré un Monsieur appelé Nsangou Mohamed, camerounais Bamoun qui se présentait comme étant le représentant des tous les Bamouns à Bata, c'est comme ça que l'on a fait la connaissance. Par mesure de prudence, je lui ai demandé s'il avait des papiers et il a essayé de m'embrouiller mais j'ai déduit qu'il s'agissait d'un «sans papiers» quant je lui ai demandé depuis combien du temps qu'il est à Bata, car je voyais qu'il baratinait pas mal en espagnol. Il m'a répondu qu'il a Bata depuis 1997 et je lui ai demandé ce qu'il faisait comme métier et il m'a répondu qu'il se débrouillait, et quant j'ai attendu ce verbe « se débrouiller», mon corps a tremblé et automatiquement je me suis rappelé de cette expression au cours de mon séjour au Cameroun où le voleur de mes trois pagnes avait dit lui aussi à la police qu'il se débrouillait. J'ai conclut qu'il était peut-être un voleur, escroc, arnaque, et j'ai commencé à de distances pour l'éviter. Malgré mon comportement peu accueillant, il cherchait toujours venir me saluer dans mon atelier et à chaque fois, il venait avec un autre camerounais différent et il ne se rendait pas compte que je ne voulais pas avoir des contacts avec les camerounais qui ont une très mauvaise réputation en Guinée Equatoriale, car le 97% de camerounais qui sont en Guinée Equatoriale son tous de malfaiteurs, ils n'ont aucune activité génératrice de revenu. Ils sont toujours entassés et plusieurs dans les petites chambres au quartier, souvent, ils ne sortent que la nuit avec du couteau dans leurs poses pour attaquer, braquer ou tuer les gens afin de trouver de l'argent. C'est cela leur métier en Guinée Equatoriale. Comme en Guinée Equatoriale, toute la population surveille tout ce qui se passe, et à chaque fois que les Camerounais tentent de pratiquer leur banditisme, ils sont arrêtés automatiquement. Il suffit de voir combien de camerounais sont expulsés de la Guinée Equatoriale, presque touts les jours, parce qu'ils sont tous des malfaiteurs et de grands bandits de long chemin.


L'arrestation du groupe de Nsangou.

Un jour, je travaillais dans mon atelier avec mes apprentis. J'a attendu la voiture de la policia passer et un peu loin de mon atelier, je voyais de gens se concentraient et ils racontaient que la police venait de mettre la main sur un groupe de malfaiteurs et de braqueurs étrangers qui tentait de braquer une dams qui tenait le bar Gloria et après leur arrestation, ils ont été transférés au commissariat de Bumodi. Quant les policiers ont débutés leurs enquêtes, ils ont demandé leurs papiers, Nsangou Mohamed, les a dit que c'était moi qui gardait leurs effets dans mon atelier de couture, les policiers sont venus me chercher dans mon atelier avec lui, on m'a demandé où étaient ses effets, je les ai dit qu'il n'avait aucun effet dans mon atelier. Mais les policier m'on amené au commissariat pour question d'enquêtes et quant je suis arrivée au commissariat, j'ai trouvé un trentaine de malfaiteurs camerounais, tous de Bamouns et Bamilekés. Enfin, il n'y avait aucun parmi eux qui avait au moins un passeport du Cameroun, je ne parlais pas de carte de séjour. Tous ils ont été expulsés vers Kye-Ossi et une fois arrivée à Kye Ossi, ils ont commencé à dire qu'ils avaient de papiers et que les policiers équatoguinéens ont déchirés leurs papiers même les passeports, alors qu'en réalité, ils «étaient tous des vrais sans papiers et ils m'avaient dit qu'ils n'étaient pas venu en Guinée Equatoriale pour faire de papiers, qu'ils étaient venus chercher seulement un moyen d'arnaquer et braquer quelqu'un afin de rentrer chez eux. Ils n'avaient aucun travail et parfois, ils nous demandaient de l'argent pour acheter du pain et à chaque fois, on se moquait d'eux en leur demandant s'ils n'ont pas encore repéré leur cible pour frapper.

a Bata, j'ai rencontré des milliers de Camerounais (non Fang) qui ne marchent que la nuit, ils sont de grands bandits, malfaiteurs, escrocs, voleurs et qui sont épaulés des milliers de prostituées porteuses de SIDA, car lorsqu'on les demande d'aller faire les Tests de SIDA qui est gratuit, elles refusent en disent qu'elles ne sont pas venues pour faire du test, elles sont là pour se débrouiller (langage de putes que l'on trouve à Akwa Douala). Depuis que je suis à Bata, j'ai rencontré également des camerounais d'Ebolowa, Ambam, Ma'an, qui n'ont aucun problème, tout simplement parce qu'ils ne sont pas dans le bandes des bandits, malfaiteurs, arnaqueurs. Autre chose qui m'a étonné ici, c'est que plusieurs jeunes de la province du Sud de Cameroun ont presque tous de la nationalité équatoguinéenne grâce à l'hospitalités des Ntoumous de la province de Kie Ntem qui facilitent leurs procédures d'obtention de la nationalité et il y en a d'autres qui ont également de cartes de séjour, par exemple M. Ella Jules, il est de Ma'an, il travaille dans un menuiserie d'un homme d'affaire d'Ebebiyin, il a sa carte de séjour. M. Zé Bernard, il est d'Olanzé, il a sa carte de séjour. Monsieur Ondoua Joseph, il a sa carte de séjour, …etc.Les gens du Sud du Cameroun n'ont pas de problèmes auprès de la population de Guinée Equatoriale.

En outre, pendant mon séjour à Mefoup, je me suis rendu compte, que les autochtones de ce village et autres, ont presque trois nationalités : ils ont la carte d'identité du Gabon, du Cameroun et de la Guinée Equatoriale. Des milliers de leurs femmes sont également de trois pays et leurs enfants sont tous en Guinée Equatoriale entrain de travailler sans aucun problèmes et ils sont les premiers à détester les malfaiteurs camerounais qui viennent en Guinée Equatoriale pour semer la panique auprès de la population.


3).- L'intégration sous régionale : « un mot de passe pour traumatiser les équatoguinéens».

En Guinée Equatoriale, les camerounais (non fang) non seulement ont déjà noircis l'image de leur pays mais également celle des autres ressortissants étrangers qui veulent vivre légalement dans ce pays qui est hospitalier loin du cauchemar que on vit au Cameroun. C'est à cause du grand banditisme des camerounais que les équatoguinéens n'ont plus confiance aux camerounais qui sont en Guinée Equatoriale pour «se débrouiller en tuant les gens et en marchant seulement la nuit avec leurs couteaux ». Ce que les malfaiteurs camerounais appellent se débrouiller, c'est tuer les habitants de la Guinée Equatoriale, comme ils font chez eux, dans une plus grande impunité. Ils veulent convertir la Guinée Equatoriale en « Beirut » par jalousie sous prétexte d'une fameuse intégration sous régionale. Les camerounais non fang, ne trouvent aucune sortie en Guinée Equatoriale et au lieu de rentrer tout simplement chez eux, ils font beaucoup de mal pour essayer de noircir également l'image des étrangers pour qu'on dit qu'il y a de la xénophobie en Guinée Equatoriale. Mais les équatoguinéens ne sont pas bêtes, tout le temps on montre à la RVTGE les grands malfaiteurs camerounais dans les mains de la police avant qu'ils soient expulsés du pays. En plus, comme depuis la Guinée Equatoriale, on peut également capter la CRTV, ils voient également comme cette chaîne montre les grands bandits arrêtés au Cameroun presque tous les jours et cela ne fait ternir l'image du Cameroun en général. Cette situation de grand banditisme ne peut jamais favoriser l'image du Cameroun auprès des autres pays limitrophes, au contraire. Lorsqu'il y a de rafle, dès qu'on attend le mot « camerounais», automatiquement les choses changent de couleur. J'ai vécu la même situation à Oyen et à Bitam Gabon respectivement.

C'est le grand banditisme camerounais qui freine l'intégration sous régionale et si le passeport CEMAC n'est pas encore opérationnel, cela est dû par le faite que les autres pays des FANG (Gabon et Guinée Equatoriale) ne veulent pas détruire leur tradition qui interdit les mauvaises habitudes et comportement, sous prétexte d'une intégration sous régionale.


Les nigérians vivent en harmonie avec les équatoguinéens.

Je tiens à souligner ici qu'en Guinée Equatoriale, il y a plus de 30 000 nigérians mais on n'attend jamais que les nigérians sont partis braquer, voler, arnaquer, etc quelqu'un. Mais les Camerounais qui ne représentent pas le 1/5 de ce que représente les ressortissants nigérians, dérangent à tout le niveau ce pays qui était avant l'arrivé de ces malfaiteurs camerounais, un pays de paix, hospitaliers sans voleurs, ni braqueurs, ni frappeurs, ni prostituées. C'est à cause de l'arrivée en plusieurs vagues de malfaiteurs camerounais malintentionnées que la Guinée Equatoriale est devenue un calvaire. Les Camerounais cherchent tous moyens pour traîner ce pays dans l'enfer par jalousie, sous prétexte de l'intégration sous régionale.



Les « chaussettes »

Les conditions d'obtention d'une carte de séjour relèvent de la souveraineté de chaque état.

Pourquoi les autorités équatoguinéennes demandent le test de SIDA aux demandeurs de carte de Séjour ? C'est parce que, plus de la moitie des prostituées camerounaises qui quittent Limbé pour Malabo dans les pirogues, sont contaminées de Sida. Plus de 3000 ouvriers étrangers travaillant dans les plateformes, ont été contaminés de SIDA par les prostituées camerounaises qui utilisent les Condom appelés « chaussettes » : c'est-à-dire : elles achètent des vrais Condom et elles les trouent avec les aiguilles avant de les utiliser. Le client, ne voit pas que le Condom est troué avec des aiguilles part que les trous sont invisibles mais la prostituée l'utilise pour faire propager le SIDA et après le rapport avec ces chaussettes, la personne est automatiquement contamination. Devant cette situation de prostituées criminelles, la mesure du gouvernement équatoguinéen est bien saluée par tous les habitants de la Guinée Equatoriale. Mais le grand problème est que les prostituées camerounaises ne sont pas là pour demander la carte de séjour. Elles sont là pour faire propager le SIDA en gagnant de l'agent.

Je demande aux hommes du plume de Mutations, de parler de votre pays qui est déjà dans le cercueil et on le porte déjà vers le chemin de la cimetière pour l'enterrement. Vous devraient essayer de résoudre vos multiples problèmes au lieu de parler d'une hypothétique intégration sous régionale ou bien vous voulez dire d'une intégration de transferts du grand banditisme et de prostituées porteuse de Sida vers la Guinée Equatoriale et le Gabon deux pays qui ont choisis le chemin de la prospérité de leurs ressortissants.

la Cemac n'est ni un pays, ni un programme politique où chaque état demande les retombés puisqu'il n'y aura jamais. Ce n'est pas le passeport CEMAC qui va résoudre vos milliers de problèmes qui s'accumulent au fur et à mesure que le temps passe dans votre pays sans qu'il y ait un véritable programme économique et sociale susceptible d'engendrer une croissance économique viable et soutenable accompagnée d'un plan doté des solutions appropriées. la CEMAC n'est qu'un simple écran virtuel qui ne viendrait jamais à résoudre les problèmes de Camerounais qui s'accumulent au jour le jour. L'opération épervier a même trouvé des milliers des braqueurs et de frappeurs, même de l'état. Cameroun est un pays producteur du pétrole et avec un baril à 140 dollars, vous devriez mieux gérer vos ressources afin d'être comme les autres pays de la sous région, mais cela n'est pas possible parce que vous avez trop de malfaiteurs, frappeurs, feymen, arnaqueurs, braqueurs, coupures des routes, prostituées, femmes libres, voleurs, veuves joyeuses, mangeologues, fey mens, etc.


4).- Le faite de permettre à ton voisin de venir te rendre visite, cela ne veut pas dire qu'il doit venir avec sa famille manger tous les jours chez toi.

Même dans un même village les accords de bon voisinage ont des limites à ne pas franchir. Vous qui parlez du passeport CEMAC, regardez chez nous à l'Afrique de l'Ouest, nous avons le passeport commun pour les pays membres de la UEMOA. Ce passeport ne remplace pas la carte d'identité de chaque pays (condition sine quo non pour pouvoir travailler) en plus, avoir ce passeport ne veut pas dire que on peut travailler dans tous les pays de la UEMOA. Chaque pays doit mettre en place des politiques économiques et sociales permettant de relancer la croissance et de redresser la situation économique du pays en créant des emplois à leurs ressortissants. Selon le papa Mbiam, de Meyo Centre, je cite: « avant l'imposition de l'UDEAC/CEMAC, il y avait déjà de la solidarité entre tous les peuples fang de la sous région, on se déplaçaient sans frontière et il n'y avait pas de problème, à condition de respecter notre tradition. Même dans un même village, le faite de permettre à ton voisin de venir te rendre visite, cela ne veut pas dire qu'il doit venir avec sa famille manger tous les jours chez toi. S'il a trop d'enfants, ce n'est pas le problème de son voisin, cela ne veut pas dire que ses enfants doivent venir voler et déranger la famille voisine, cela est inadmissible traditionnellement. Je comprends pourquoi nos frères Ntoumou de la Guinée Equatoriale chassent les malintentionnées».

Les Camerounais malsains ont toujours voulu créer des amalgames de mauvais goûts mais vous oubliez que les seules victimes seront toujours les camerounais. Vous faites du mal à votre peuple, et les événements du mois de février 2008 montrent à quel point souffre la population camerounaise et ce n'est pas en essayant de détourner l'attention du peuple vers la Guinée Equatoriale et/ou vers le Gabon que la situation de Cameroun changerait.

Sachez une chose : on peut tromper une partie du peuple tout le temps, on peut également tromper certaines élites du peuple tout le temps, mais on ne peut pas tromper tout un peuple tout le temps.

a bientôt et j'espère lire cette réponse dans votre prochaine numéro.

Mamadou Touré
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Dernière édition par ---- le Mon Jul 07, 2008 9:15 pm; édité 1 fois
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fancyr



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MessagePosté le: Mon Jul 07, 2008 9:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Hummm!!
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00237



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MessagePosté le: Mon Jul 07, 2008 10:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je doute que l'auteur de ce texte soit tailleur comme il le dit.
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betson
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MessagePosté le: Mon Jul 07, 2008 10:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

00237 a écrit:
Je doute que l'auteur de ce texte soit tailleur comme il le dit.


Là n'est pas le problème. Ces écrits reflètent son sentiment. Etranger dans trois pays , il a fait son choix.
c'est juste le reflet de la décrépitude dans laquelle nous sommes et du gros chantier qui nous attend.
_________________
Il faudrait veiller à ne pas être un parvenu sans culture ou un ambitieux sans esprit.

Le panurgisme c'est préferer se tromper tous ensemble et la peur d'avoir raison tout seul.
Betson.
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00237



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MessagePosté le: Tue Jul 08, 2008 8:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

betson a écrit:
00237 a écrit:
Je doute que l'auteur de ce texte soit tailleur comme il le dit.


Là n'est pas le problème. Ces écrits reflètent son sentiment. Etranger dans trois pays , il a fait son choix.
c'est juste le reflet de la décrépitude dans laquelle nous sommes et du gros chantier qui nous attend.


Ou est ce que j'ai dit que c'etait un problem? je trouve juste que pour un tailleur, il a beaucoup de connaissances. Ca ressemble plus a un message qu'on a voulu faire passer sans en assumer la responsabilité.
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Vaness
Petit shabbaeur


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MessagePosté le: Tue Jul 08, 2008 9:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

fancyr a écrit:
Hummm!!





hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm coe tu dis le nom du kmer est "gaté" hein...

Sinon je trouve que l'article met l'accent sur certains problèmes ( mauvaise retribution des exples) mais la méthode est mauvaise , l'esprit qui l'a écrit est trop trop tribaliste ( coe quoi vive les fang/bulu/ntumu..les "autochtones "quoi...) ce n''est qu'un détail mais bref trop de généralisations tuent l'esprit critique et c'est le cas à mon sens ds ce texte ou on mélange tout...Et quel éloge à la xénophobie et au tribalisme !!!!!!!!!!!!!

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djanbaar



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MessagePosté le: Tue Jul 08, 2008 6:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le texte aurait pu etre interessant, il décrit bien beaucoup de problèmes de notre pays, mais l'auteur a gaté son texte par un tribalisme tenace caché sous un vernis 'angélique'.
Et l'auteur est sénégalais comme moi je suis esquimau inuit!
C'est dommage pour le Cameroun, mais cette gangrène tribaliste a pourri bien de cerveaux, et continue d'en pourrir.
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panafricain



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MessagePosté le: Tue Jul 08, 2008 8:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Et l'auteur est sénégalais comme moi je suis esquimau inuit!


Tu m'as tué Laughing Mais c'est clair que celui qui écrit ce texte n'est pas sénégalais. a mon avis il est soit camerounais (centre sud) soit équato guinéen. Cette persistance à vouloir décrire les camerounais (bamoun et ceux de l'ouest notamment) comme des bandits de grand chemin, porteurs du sida, commettant des crimes etc m'a profondément ulcéré. Il insiste sur le fait que dans le sud, les gens sont pacifiques parcequ'ils sont de la même origine que les équato guinéens. Il faut donc comprendre : les équato-guinéens sont des gens pacifiques.

la Guinée Equatoriale a beaucoup de pétrole aujourd'hui, mais il y a une vingtaine d'années, c'est Ahidjo et Biya qui prêtaient les avions présidentiels camerounais à leurs dirigeants pour qu'ils puissent se rendre à l'étranger. Le fils d'Obiang Nguema draguait les gos à Akwa. Aujourd'hui il achète des rolls et des maybach, ainsi que des villas à Los Angeles, mais c'est un comportement de parvenu. Le pétrole a rendu les équato-guinéens fous.

Le mec est petit con, tribaliste et xénophobe de surcroît.

Ps : pour quelqu'un qui a vécu à douala, il ne sait pas écrire Bepanda (il écrit Vepanda!), il se trompe aussi sur Mvog Ada hum. ça sent l'arnaque à plein nez...
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