|
 |
Forum Bonaberi.com Le Cameroun comme si vous y étiez
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant |
Auteur |
Message |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 2:30 pm Sujet du message: Un Seducteur a eviter de tres loin |
|
|
Webma s'il te plait ne déplace hein.Tu know que comme ici c'est Hommes et femmes,il faut mettre une petite histoire de temps en temps pour pimenter non? Prend le Bisou
Pour le reste,regalez vous
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Chapta Wan
a l’instant où elle croise le regard penetrant du redoutable President de la Berico, African Girl sait que Mbinda Man lui brisera le cœur. Car qui est-elle pour prétendre se faire aimer du Bachelor le plus convoité du moment ? Elle, une simple etudiante, une jeune fille modeste, ne représente sans doute qu’un passe-temps pour ce séducteur implacable qui n’a jamais eu à son bras que de superbes Hirondelles comme les Sassy, Afreaka et co.
African Girl le sait, pourtant elle se sent incapable de résister au magnétisme de Mbinda, à son aura puissante et sensuelle. Comment pourrait-elle nier l’évidence, et refouler des sentiments qu’elle n’a jamais ressentis pour personne ?
Une simple porte séparait African Girl de son objectif. Mais ce n’était pas une porte comme les autres. Faite du bois le plus délicat, coupé vers Yoko dans le Sud de Bonaberi, elle arborait en lettres d’or le nom tout aussi éclatant du Patron des lieux : Mbinda Man
« Inutile d’essayer d’obtenir un rendez-vous avec lui, avait prévenu Missexe. Il est protégé par une armada de secrétaires et de conseillers qui le tiennent à distance de la foule. Il va falloir que tu ruses pour l’approcher ! »
Pourquoi African Girl essayait elle à tout prix d’atteindre cet homme ? Pourquoi s’était elle faufilée jusqu’ici comme une voleuse, longeant les murs et évitant habilement tous les collaborateurs de Mbinda Man? Tout simplement parce que Missexe le lui avait demandé, et parce qu’elle avait accepté cette mission.
Et, maintenant, elle courait le risque d’être arrêtée d’une seconde à l’autre par les agents de la sécurité, et d’être jetée à la rue comme une malpropre.
Le cœur battant, elle frappa du bout des doigts à la porte de Mbinda Man, et entendit presque aussitôt une voix masculine ferme lui répondre :
— Entrez !
Elle hésita un instant puis, prenant une profonde inspiration, tourna courageusement la poignée. « Me voici dans l’antre du lion », pensa-t elle, impressionnée.
la pièce était immense, tapissée d’une épaisse moquette vert sombre. Aux murs, des toiles de maîtres portant la signature de Diamond Princess et qui n’étaient manifestement pas des reproductions, donnaient à l’endroit un air imposant.
Au fond de ce vaste espace se tenait un très grand bureau derrière lequel était assis le Bonbon alcoolisé des jeunes femmes : Mbinda Man en personne.
— Qui diable êtes-vous donc ? demanda-t il sèchement en levant les yeux sur elle.
African G se mit à frissonner. Elle fut prise d’une soudaine envie de tourner les talons et de fuir le plus loin possible. Mais il eût été absurde de se sauver alors qu’elle avait fait le plus difficile.
Mbinda était un homme richissime, multimillionnaire, et elle, une simple etudiante , mais ce n’était pas cette vertigineuse différence de fortune qui allait l’empêcher d’atteindre son objectif. Elle était parvenue jusqu’au sommet de la pyramide, ce n’était pas le moment de renoncer.
— Allez-vous répondre, ou dois-je appeler la sécurité ? reprit l’homme d’affaires, visiblement agacé.
African G rassembla tout son courage et débita d’un trait, le souffle court :
— Voilà : je m’appelle African Girl et je suis une amie de Missexe.
— de Missexe ?
— Oui, de votre fille.
Les épais sourcils se froncèrent, son regard dénué de toute indulgence, la transperça.
— Je sais bien que Missexe est ma fille. Nous n’allons pas épiloguer là-dessus. Cela n’explique pas votre présence ici. Comment avez-vous fait pour entrer ? a l’accueil, mes assistants ne vous ont ils rien demandé ?
— Ils sont en train de regarder le match au stade de la ville. Les Lions indomptables de Bonaberi Jouent contre les hirondelles de Cameroon Info.
— Ah ? C’est aujourd’hui ?
Sans attendre la réponse, Mbinda bondit sur ses pieds et marcha d’un pas vif jusqu’à la vaste baie qui s’ouvrait sur la ville. African G fut frappée par la souplesse et la grâce de ce mouvement qui lui rappelèrent celles d’un athlète.
— Vous êtes trop haut, ici. Vous ne pouvez rien voir, expliqua timidement AG.
Elle se rendit compte trop tard du double sens de ses paroles, qui sous-entendaient que le statut social particulièrement élevé de Mbinda Man l’empêchait de percevoir les choses simples du quotidien. Esseu il meme combien coûtait un trajet de mototaxi ? ? Certainement pas.
— C’est Missexe qui vous envoie ? Qui êtes-vous ? Une de ses amies ?
la question, humiliante, avait été posée sur un ton délibérément sec.
— Non, rétorqua-t elle, piquée au vif. J’aime à croire que je suis autre chose pour Missexe.
Le regard de l’homme d’affaires se fit soudain plus attentif.
— Missexe ne m’a pas parlé de vous, murmura-t il, songeur.
— Comment aurait ellel pu le faire ? dit sèchement African G. Vous ne répondez même pas à ses appels téléphoniques.
Elle regretta immédiatement cette réaction impulsive.
Mbinda renversa la tête et partit aussitôt d’un éclat de rire, comme si elle venait de lui raconter la blague la plus drôle du siècle.
— Ha, ha, ha, cette pauvre Missexe ! Si je comprends bien, elle vous envoie en mission pour me soutirer de l’argent ?
— Mais non, absolument pas ! Enfin… Je veux dire… Je… Je voulais simplement vous parler de tous les sacrifices financiers qu’elle vient de faire pour la chose qui la passionne le plus. Comprenez-vous ? Elle m’a dit que vous ne l’avez jamais aidé, dans la vie. Tout le monde a besoin d’être aidé, monsieur Mbinda Man. Vous, par exemple, n’avez-vous pas été aidé, au début de votre carrière ?
|
|
Revenir en haut de page |
|
 |
euryale8 Shabbaeur du lac
Inscrit le: 27 Sep 2008 Messages: 4953 Localisation: marcinelle
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 3:03 pm Sujet du message: |
|
|
massa c'est comme le harlequin hein j'ai lu juska m'énerver pcq ca s'est coupé dis donc  _________________ On dit que les femmes sont les meilleures gardiennes de la tradition, c'est dans le secret des cuisines que la culture passe de mère en fille, on répète les gestes immuables et on commente les dosages avec elle. |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 3:11 pm Sujet du message: |
|
|
Chapta Tou
Mbinda Man souriait pensivement tandis qu’il se rappelait le commencement de sa carrière. Il se souvenait de ses débuts, pas si faciles que cela, tout en observant la charmante jeune femme qui se tenait devant lui. Un joli visage avec sa geantologie, des lèvres potélées (Merci Gombiste ) absolument charmantes. Les jambes Kilométriques,ca a dire que Axe lourd Douala-Yaounde sans escale.
Il se demanda quels étaient les rapports réels entre Missexe et elle. Sans doute lui avait elle donné l’image d’un fille incomprise et rejeté e — c’était tellement facile —, et il se dit qu’il pourrait expliquer à cette délicieuse apparition que Missexe n’avait rien d’une martyr. Mais il n’avait aucune envie de se lancer dans un plaidoyer pro domo. Il devait se rendre à une réunion qui avait lieu dans quelques minutes.
Il jeta un bref coup d’œil à sa montre, et reprit d’une voix calme et posée :
— Vous évoquez les « sacrifices financiers » de ma fille? a quoi faites-vous allusion ?
African Girl s’éclaircit la gorge, embarrassée. Elle eût aimé avoir un verre d’eau, car sa bouche était devenue sèche comme le bifaka.
— Missexe a dû vendre sa brouette et son pousse-pousse moto afin de pouvoir recommencer un nouveau travail en a Douala. L’argent lui fait cruellement défaut, au point qu’elle n’arrive même pas à payer le loyer de son petit appartement… Vous savez, monsieur Mbinda Man, votre fille est une jeune femme très douée, c’est une artiste…
— Je connais ma fille, ses défauts et ses qualités, mademoiselle… excusez-moi… ? J’ai oublié votre nom.
— African Girl.
— Ah, oui, c’est cela. Je la connais suffisamment bien, croyez-moi, mademoiselle AG. Mais je ne pense pas que nous ayons, vous et moi, la même perception de Missexe.
Le regard de l’homme d’affaires se fit soudain plus intense, plus glacial. Il la fixa de manière si directe qu’elle faillit s’empouprer.
— J’ai bien l’impression que Missexe se sert de vous afin de se la couler douce pendant quelque temps. EIle vous envoie comme intermédiaire pour soutirer de l’argent à son cher papa, sous le prétexte, encore une fois, de projets mirifiques. Savez-vous, mademoiselle AG, qu’elle a dilapidé l’argent de sa mère Euryale en moins d’un an ? Et savez-vous que je l’ai déjà dépanné à maintes reprises ?
Abasourdie, AG fixait le père de son amie sans un mot.
— Vous vous êtes déplacée pour rien, mademoiselle AG, conclut l’homme d’affaires avec un ton froid et définitif.
Comme il tendait le bras pour décrocher le téléphone, elle se précipita et posa brusquement sa main sur le bras de Mbinda pour le retenir.
— Monsieur, attendez !
Etonné, il leva les yeux vers elle. AG maintenait la pression de sa main sur la sienne, et Mbinda, très surpris, pouvait sentir la chaleur irradier de cette main fine et gracieuse. la peau de la jeune femme était douce comme le machoiron frais. Il sentit que ce contact déclenchait en lui une sorte d’onde électrique qui le touchait au plus profond de lui. C’était délicieux, troublant, sensuel, et, même, presque érotique.
Comme il l’interrogeait du regard, elle retira brusquement sa main, comme si elle venait de caresser une vipere par inadvertance.
Mbinda se dit que sa fille a savait choisir ses amies.... Cette jeune personne, qui avait su déjouer le service de sécurité pour parvenir jusqu’à lui, ne manquait pas de piquant. Elle savait manifestement ce qu’elle voulait. Oui, assurément, elle avait du cran. Et un sacré charme !
— Y a-t il autre chose, mademoiselle ? interrogea-t il d’une voix douce.
— Ne laissez pas tomber votre fille, monsieur Mbinda. EIle a besoin de votre aide, de votre reconnaissance. Il ne faut pas la rejeter. EIle m’a assuré d’une chose : c’est la dernière fois qu’elle fait appel à vous, à votre aide. Alors, ne pourriez-vous accepter de la voir, une demi-heure, simplement…
— Et cela vous rapportera quoi, mademoiselle AG ? coupa-t il avec un ton étrange.
— Pardon ? Je ne vous comprends pas.
— Je veux dire : quel bénéfice allez-vous tirer de cette aide que je pourrais éventuellement apporter à Missexe ? AG blêmit subitement. Elle eut envie de gifler le mignon visage qui lui souriait ironiquement. Mais elle se retint, se redressa de toute sa taille, et, les poings serrés, articula entre ses dents :
— J’aurais dû m’attendre à une réaction mesquine de la part d’un être tel que vous ! gronda-t elle, tremblante d’indignation. Pour votre gouverne, permettez-moi seulement de vous dire que je suis ici pour une seule et unique raison : Missexe a sollicité mon aide pour faire cette démarche auprès de vous. Quant à moi, sachez-le, je préférerais mourir plutôt que de vous demander dix centimes.
la repartie d’AG, pour virulente qu’elle fût, sembla laisser de marbre son interlocuteur. Mbinda la considéra un moment, les bras croisés, une lueur amusée dans les yeux….
|
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 3:14 pm Sujet du message: |
|
|
euryale8 a écrit: | massa c'est comme le harlequin hein j'ai lu juska m'énerver pcq ca s'est coupé dis donc  | Wéké ma cherie ci,tu aimes me menacer hein...t'inquiète pas,j'ai pas attrappé le syndrome de Fidele et Gombiste
Je me suis justement inspirée de Harlequins , Sas et co. |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
missexe

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 944
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 9:12 pm Sujet du message: |
|
|
wééékè pauvre missexe les gars refusent de donner l'argent, son propre le père aussi refuse de donner c'est pour qu'elle fasse how noooh ?? il faut seulement prier que AG reuississe la mission là si non c'est le poteau qui attend missexe........
en tout ca DP j'ai bien lap entre une gorge seche commes les bifacas et et une peau douce comme le machoiron.... _________________ la nuit tous les chats sont gris sauf les bagantés |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
missexe

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 944
|
Posté le: Wed Jun 16, 2010 9:17 pm Sujet du message: |
|
|
elle a écrit: | @ DP tu bois quoi? |
serts la une guiness épicé massa _________________ la nuit tous les chats sont gris sauf les bagantés |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Magne


Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 16781
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 1:42 am Sujet du message: |
|
|
mdrrrrrrrrrrrrrrr moitie tu es la meilleure didon. ke mes jambes c l'axe lours douala-yde sans escale? ateeee et ke ma peau est douce coe le machoiron fume??? gagnes moitie finis moi pardon, mais ton histoire me plait qd mm i think i can imagine the future.. je sens dja comment je vais moincer avec Mbindaman un pere chiche mm coe ca? tsiummmm |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
italien Bérinaute Vétéran
Inscrit le: 30 May 2008 Messages: 5001
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 1:59 am Sujet du message: |
|
|
que du talent et rien que du talent
j'admire énomement la cadence et le rythme qui animent ton style dans l'écriture
puis je reste convaincu que tu pourrais decrocher un excellent contrat dans la panoplie des maisons d'édition présentes dans l'Ile de France
Good luck
Un admirateur averti  _________________ Martin Luther King: «L'Afrique n'a besoin que des meilleurs. Quel que soit ce que vous fassiez, soyez les meilleurs ».
Nelson Mandela(18.07.1918--05.12.2013): «Education is the most powerful weapon for bring the change in the world». |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
elle Shabbaeur du lac

Inscrit le: 22 May 2010 Messages: 3582 Localisation: http://www.boredbutton.com/
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 6:00 am Sujet du message: |
|
|
CHAPTA TRI
Soit! repondit il, j'accepterais de rencontrer missexe a une seule condition.
-Laquelle? demanda AG
- En echange pour ce service que vous venez de lui rendre je vous offre sa place a la soiree de fin d'annee chez Waddle et Queen B
-OOH.... s'exclama AG, elle savait de quoi il parlait, la fameuse soiree de fin d'annee de BONABERI ou seulement les VIP tels que Diamond Princess, Chekina, et d'autres stars etaient invites
sans lui laisser le temps de repondre il enchaina: vous serez ma compagnie pour cette soiree, j'ai d'importants business a finir et il est important que vous sortiez tous vos atouts pour mes partenaires. ceci n'est pas negotiable
AG ne pouvait pas refuser et laisser tomber son amie missexe, aussi elle accepta bien que sachant que elle n'allait lui servir de decoration ni plus ni moins pour seduire ses clients. elle etait en meme temps exitee et triste a cette idee
perdue dans ces pensees elle ne realisa pas qu'il continuait de lui parler
- Vous irez avec ma secretaire acheter tous les habits et chaussures qu'il vous faut, surtout soyez a l'heure, je ne supporte pas le retard! sur ce il l'a congedia sans un regard et la laissa aux mains de sa secretaire Bess
Bess voyant qu'elle etait timide se prit aussitot d'affection pour elle et devient vite son amie, elles sont ensuite parti faire les achats pour la fameuse soiree. elles ont payes des chaussures chez le fameux Italien AG n'en revenaient pas elle n'aurait jamais penser un jour qu'elle porterait ce genre de chaussures
- elle pensait dans sa tete tout en essayant ses robes: ne reve pas, il est entrain de t'utiliser il peut avoir toutes les femmes qu'il veut... elle ne pouvait s'empecher de revoir son mignon visage avec ses traits et entendre sa vois ferme et suave en meme temps, elle se bercait d'illusions.
elles finirent leurs achats et AG rentra dans son apart pour se preparer pour le soir
a 20h pile, un klaxon retenti, le chauffeur de Mbnidaman etait a la porte, elle sortie...
_________________ www.couchsurfing.org
ww.23andme.com |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
la petite

Inscrit le: 13 Aug 2009 Messages: 341 Localisation: la ou il fait le plus froid
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 6:54 am Sujet du message: |
|
|
tres belle stosry je wait la suite avec impatience ... j'espere que il y aura du piquant  |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
elle Shabbaeur du lac

Inscrit le: 22 May 2010 Messages: 3582 Localisation: http://www.boredbutton.com/
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 7:46 am Sujet du message: |
|
|
CHAPTA FOH
Pendant ce temps chez le grand Mbindaman, il y'avait du nouveau le fils de mbindaman, le voyou legombiste venaient de debarquer sans prevenir et son pere n'etait pas ravi:
- que veux tu? je n'ai pas d'argent a te donner ne te fatigues meme pas, d'ailleurs je suis entrain de sortir
- mais papa! je suis juste venu pour t'accompagner a la soiree, tu sais bien que j'aime y aller pour voir comment ton bussiness fonctionne comme cela quand le moment viendra je pourrais etre en mesure de te remplacer
- Mbidaman ne dis rien, il connaissait son fils et savait que la seule raison pour laquelle celui ci etait la etait pour faire des rencontres feminines
mbidaman retira un joli collier de son coffre fort, cela surprit legombiste qui savait que son pere reservait ce collier pour quelqu'un d'important du coup il se promit de surveiller son pere pour voir a qui il donnerait le collier
AG avait fait de l'impression sur Mbidaman de part sa beaute hors du commun, elle etait elancee comme du papier toilette, fine comme une mannequin et avec la peau claire comme de l'eau, mbidaman voulait passer plus de temps avec elle aussi avait il soigher son elegance un peu plus que d'habitude, il portait un costume 3 piece avec une cravate et des chaussures bien cirees.
pere et fils quitterent la maison direction l'apartement d'African Girl
le chauffeur sonna a la porte
AG ouvrit, le chauffeur lui ouvrit la portiere de la limousine, elle entra
son regard croisa aussitot celui de legombiste et elle se sentit comme attiree par un aimant, detachant avec peine son regard de lui elle se tourna vers mbindaman
- Vous etes ravissante
-merci, vous n'etes pas mal non plus
toussotant , le gombiste interrompu et se presenta, il prit la main d'AG et lui fit une bise
la tension monta dans le vehicule, legombiste voulait couper l'herbe sous le pied se son pere et celui ci n'appreciait pas surtout que bizaremment il eprouvait de la jalousie....
Pendant ce temps chez les hotes de la soiree Waddle et Queen B, la fete battait son train, toute la jet set de beri etait la, en passant par Foxy, Afreaka, Brig, BBcat, euryale... les serveurs distribuaient les coupes de champagne non stop...
ils arriverent:
legombiste devanca son pater en sortant vite pour ouvrir la porte a AG, les photographes les envahirent aussitot, ils firent une entree sensationelle tout le monde demandait qui etait la jolie fille venu avec Mbidaman
AG etait aux anges, elle n'arrivait pas a croire ce qui lui arrivait, malgre tout elle ne cessait de guetter du cote de mbindaman mais il ne lui pretait pas attention, il etait entoure de belles jeunes filles , cela la chagrina et elle ressntit un pincement de coeur : ressaisi toi ma fille se dit elle, il n'est pas pour toi, remplis ta mission et retourne a ta vie
mais elle ignorait que sa vie ne serait jamis plus la meme apres cette soiree...[/i] _________________ www.couchsurfing.org
ww.23andme.com |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
missexe

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 944
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 9:08 am Sujet du message: |
|
|
ça sent la trahison à plein nez..... en tout cas continuez  _________________ la nuit tous les chats sont gris sauf les bagantés |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
hyllona


Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 832
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 9:18 am Sujet du message: |
|
|
j'aime ton style DP!
je laisse une fois mon pc ouvert à cette page. je devore cette histoire
la suite la suite  _________________ only by grace we can enter! |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 9:34 am Sujet du message: |
|
|
Ravie que ca vous plaise chers bérinos et bérinoses Moitié lep...tu know que toi c'est moi no?
@ELLE: Saute vite pardon,j'ai un scenario qui ne doit pas etre interrompu |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 10:02 am Sujet du message: |
|
|
Chapta tri ( Je ne tiens pas compte du scénario de Elle ( Ne le prend pas mal ma cherie ) )
— Serait-ce une escroquerie montée ? questionna-t il tout à trac.
AG sursauta, abasourdie par la question.
— Quoi ? lança-t elle, les yeux exorbités. ( le genre ci )
Imperturbable, l’homme d’affaires renouvela sa question.
— Je vous demandais Missexe et toi aviez décidé de m’escroquer ? répéta-t il flegmatiquement.
— Vous ne manquez pas de culot pour me poser des questions pareilles, répondit-elle, outrée. Ressemblerai-je a une feywoman ?
. — Pourquoi ne pas être sincère avec moi, mademoiselle AG? murmura Mbinda en la fixant d’un regard inquisiteur. Si Missexe vous envoie vers moi, ce ne peut être que parce que vous manigancez quelque chose
— Mais absolument pas ! Missexe est une amie et j’ai l’estomac noué en la sachant dans des difficultés d’où ma disposition á l’aider en affrontant un odieux personnage comme vous
— En tous les cas, elle se sert de vous, mâchonna-t il avec un hochement de tête entendu.
Il se cala dans son fauteuil et la fixa, longuement, à tel point qu’AG se troubla et eut l’impression de perdre ses jambes. Ses mains devinrent subitement moites. Elle avait la brusque impression de flotter dans magma en fusion. Une goutte de sueur perla sur son front. Elle l’essuya d’un geste nerveux.
Nyangalement, Mbinda continuait a la déshabiller du regard.
— Ne seriez-vous pas ma récompense pour cette démarche que vous impose ma fille? interrogea-t il sans détourner son regard.
— Quoi ? C’est insensé… Je…
Elle etouffait. Comment ce scrogneugneu pouvait il suggérer une telle absurdité : que Missexe accepte de jeter dans les bras de son père sa meilleure amie ? C’était tellement énorme qu’elle en avait le souffle coupé. D’abord même, un personnage tel que Mbinda, richissime homme d’affaires et play-boy de renommé Néo testamentaire, ca à dire que même les anciens et nouveaux testaments parlent de lui, ne pouvait se contenter d’une liaison — même passagère — avec mbouyou messana comme elle. Ensuite, l’idée même d’un tel troc était proprement scandaleuse, révoltante.
Après un temps d’hésitation, elle se redressa, et, rassemblant son courage, s’exclama d’une voix sourde :
— Comment pouvez-vous imaginer, même une seconde, que Missexe puisse avoir une telle idée, monsieur Mbinda ? C’est insensé ! Missexe m’a dit que vous aviez une piètre opinion d’elle, mais, là, votre suggestion dépasse les bornes ! Pensez-vous réellement qu’elle eût été capable d’envisager une telle absurdité : m’envoyer chez vous pour… pour…Mekde !
Elle en bégayait d’indignation.
— Vous connaissez mal ma fille, mademoiselle. Je réitère, elle se sert de vous. Elle vous utilise. Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais le fait est là.
— Mais non ! Pas du tout ! Missexe et moi sommes bonnes amies. Je lui suis entièrement dévouée.
M;binda, un sourire sceptique aux lèvres, la considérait avec une sorte de commisération indulgente. C’est avec une certaine douceur qu’il répondit :
— Si je peux vous donner un conseil, ne vous faites pas trop d’illusions, mademoiselle .
AG poussa un soupir désabusé. Ses épaules s’affaissèrent sous le coup de l’indignation. Elle n’aurait jamais dû venir ici. Elle avait perdu son temps, tout simplement. L’homme qui se tenait derrière son immense bureau, au milieu de cette pièce grande comme le couloir du palais d’étoudi, cet homme n’était absolument pas prêt à aider sa fille. la démarche qu’elle avait entreprise, pour périlleuse qu’elle fût, s’avérait totalement inutile.
Elle soupira encore, déçue, secoua la tête de gauche à droite, avec une lenteur désabusée, prête à s’en aller. la pauvre Missexe allait être bien déçu lorsqu’elle lui annoncerait l’échec retentissant de cette visite en laquelle elle plaçait tant d’espoirs.
Mais elle se ravisa et, se tournant une dernière fois vers l’homme qui l’avait reçue avec la froideur du sommet de l’Himalaya, annonça d’une voix froide et sèche comme l'harmattan ( Ou la mousson? ) :
— Nous n’avons donc plus rien à nous dire, je n’insisterai pas davantage.
Pour toute réponse, Mbinda marcha vers la porte qu’il ouvrit et garda largement ouverte.
AG avait mal. Elle détestait décevoir quelqu’un, et tout particulièrement une amie.
|
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 10:32 am Sujet du message: |
|
|
Chapta foh
— Ne le prenez pas mal, mademoiselle AG, assura Mbinda d’une voix où perçait une note de compassion. Ce n’est pas vous qui êtes en cause, c’est ma fille. Ce n’est pas votre faute si Missexe a raté sa vie. Ce n’est pas la mienne non plus. C’est une adulte. Elle a fait de mauvais choix, et je crains qu’elle ne doive les réviser un jour ou l’autre.
Pendant qu’il parlait, son regard conservait la même impassibilité, comme au début de leur bref entretien. Il n’y avait pas la moindre trace d’hésitation ou de regret dans ce regard.
En croisant ce regard glacial, AG fut prise d’un frisson. Comment cet homme pouvait il faire preuve d’une telle froideur à l’égard de sa propre fille ? Elle pensa à l’espoir que Missexe avait placé dans la démarche de sa fidèle amie. Elle hésita et fit une ultime tentative, comme une bouteille qu’on jette à la mer. Rassemblant tout son courage, elle demanda d’une voix qui se voulait impassible.
— Que pourrais-je dire pour vous faire fléchir ?hasarda-t elle, les yeux baissés. Que puis-je faire… ?
Lorsque Mbinda entendit cette requête suprême, il se produisit en lui un phénomène étrange qui le surprit au plus haut point. Il fut brusquement envahi, des pieds à la tête, par une sorte de vague chaude et enivrante, comme s’il s’était trouvé tout à coup a Semme Beach a Limbé. Ce fut si soudain qu’il eut l’impression d’avoir bu un grand verre de fohfoh. Il eut un tournis.
Il vit que la jeune femme avait levé les yeux vers lui, avec une interrogation avide dans le regard. de forts beaux yeux, remarqua-t il, impressionné.
— C’est dangereux de prononcer des mots pareils, mademoiselle AG, murmura-t il doucement. Cela peut vous mener à des situations embarrassantes…
AG se figea soudainement. Elle était si wandatifiée par ce qu’elle venait d’entendre qu’elle ne put que balbutier des mots incohérents :
— Hein ?? Que ??Je… Je ne… Vous ne…
Un sourire fugitif et discret passa sur les lèvres de Mbinda. Il enfonça une main dans une de ses poches et en sortit un petit carton blanc qu’il glissa dans la paume d’AG, avec une insistance pleine de suavité.
— Prenez, prenez. C’est ma carte. Appelez-moi un de ces jours, d’accord ? Nous pourrons nous revoir. N’hésitez pas à me téléphoner…
AG comprit que la situation était en train de prendre une tournure passablement dangereuse. Elle n’avait absolument pas prévu cette prévision imprévisible
— C’est avec votre fille que j’ai une relation, précisa-t elle de la voix la plus ferme possible. Et c’est la raison pour laquelle je suis venue vous voir. Vous comprenez ?
Elle s’interrompit et soutint le regard de Mbinda.un regard qui n’avait rien à envier au regard du guépard qui scrute une gazelle du coin, ca à dire que c’était perçant
— a moins que ce numéro de téléphone ne nous permette de fixer une rencontre avec votre fille ? poursuivit-elle d’un ton sarcastique.
Nullement déconcerté par l’ironie de la réplique, Mbinda afficha un sourire conquérant tandis qu’il demandait avec une douceur qui avait le tobassi sur ca :
— Pensez-vous vraiment que ce soit ce genre de rendez-vous que je souhaite, mademoiselle AG ? Est-ce qu’il ne vous vient pas à l’esprit que je puisse envisager…
Il s’interrompit et la contempla un instant d’un regard gourmand.
— … Que je puisse avoir envie d’autre chose ? reprit-il avec onctuosité.
C’en était trop. AG sortit de sa réserve et s’écria, hors d’elle :
— Vous êtes un… vous ne méritez pas d’être père ! Et votre carte de visite, voilà ce que j’en fais !
Elle cala son sac sous son bras et déchira ostensiblement le petit bristol, en deux, en quatre, en huit…meme ce qu’il n’y avait plus à déchirer, elle déchira puis elle lança d’un geste furieux les confettis dans sa direction.
— Diiiiiidonc ! s’exclama Mbinda avec un sourire admiratif. Quel caractère !… En tous les cas, si vous ne me téléphonez pas, vous savez à présent où me trouver, n’est-ce pas ? Je serai tout à fait ravi de vous revoir, mademoiselle AG.
Bouillante d’indignation, AG tourna brusquement les talons et partit d’un pas rapide. Elle avait perdu son temps. Elle avait échoué dans sa mission. Furieuse, elle passa en trombe devant le bureau où une secrétaire de Mbinda la regarda avec des yeux ronds.
Lorsque la visiteuse eut disparu, Mbinda, tout pensif, marcha jusqu’à son bureau. Il se laissa choir dans son large fauteuil de cuir, soupira et croisa les bras, songeur. Sans nul doute, sa fille avait envoyé cette charmante jeune femme pour la corvée qu’il n’avait pas le courage de faire lui-même : lui demander une nouvelle fois de l’argent. Cette façon d’agir l’énervait. Quelle lâcheté, de sa part, de ne pas oser se déplacer elle-même !
Mbinda serra les poings. Il fulminait. L’irresponsabilité, le manque de rigueur, le laisser-aller de sa fille l’irritaient de plus en plus. Il dénoua nerveusement la cravate qui l’étranglait. Entre Missexe et lui, les choses allaient de mal en pis. Mbinda ne voyait pas comment sortir de cette impasse.
Ainsi, Missexe venait d’inventer un nouveau subterfuge pour l’amadouer : elle lui avait envoyé sa propre amie dans l’espoir de le faire craquer…sachant qu’il aime les belles ngas… Ce n’était ni plus ni moins qu’une forme de corruption.
Certes, la charmante personne qui avait été envoyée en émissaire était tout à fait craquante et Mbinda, en y songeant, sentit de délicieux picotements le long de ses doigts. Mais, ce qu’il n’admettait pas, c’était l’odieuse stratégie que sa file avait élaboré…Elle le connaissait bien…du moins ses faiblesses… il devait l’admettre et ce a contre-cœur
|
|
Revenir en haut de page |
|
 |
Diamond Princess

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 15971
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 11:02 am Sujet du message: |
|
|
Chapta Faive
a peine rentrée chez elle, AG entendit Missexe qui dévalait l’escalier pour venir à sa rencontre. Elle habitait l’appartement au-dessus du sien : c’est comme cela qu’elles s’étaient connus.
— Alors, ça s’est passé comment ? interrogea-t elle en se laissant tomber paresseusement sur le canapé.
Avec ses suis-moi sur la tete, ses yeux marrons, sa poitrine menue et ses revolvers, Missexe avait l’apparence d’un ange, mais le trouble et la dureté que l’on décelait dans son regard l’empêchaient, à vrai dire, d’être tout à fait angélique.
— Miss, je te signale que nous sommes au mois de novembre, et non en juillet. Pourquoi te balades-tu en mini-jupe ?
— Esseu je suis sortie dehors ? Nessa on est a l’intérieure ?
Juste à ce moment, on entendit des bruits de pas à l’étage du dessus. AG leva les yeux.
— Il y a quelqu’un là-haut ? demanda-t elle, intriguée.
Comme Missexe ne répondait pas et paraissait passablement embarrassée, elle insista :
— Tu es avec un djo, là-haut ?
— Il n’est rien pour moi, je t’assure, dit-elle à mi-voix. Une rencontre, comme ça. J’avais juste besoin d’un peu de… de compagnie…
Elle passa un bras autour des épaules d’AG, tenta de l’enlacer, mais elle se dégagea vivement.
Elle savait bien que Missexe était une désordonnée sexuelle hors pair parce qu’elle était frustrée, mais elle AG n’acceptait pas pour autant cette situation malsaine.
Comme Missexe la regardait d’un air de reproche, AG eut envie de lui confier ce qu’elle avait en travers de la gorge.
— Je t’ai déjà expliqué qu’il fallait freiner tes envies Missexe. Tu ne peux pas continuer à être une marie-couche- toi la tout simplement parce que tu penses avoir raté ta vie… comme d’autres. Tu comprends ? Il faut coucher avec UN et celui que tu aimes, pas TOUS ceux qui te plaisent. Tu es même comment ? En elle-même, elle se disait même qu’il fallait des sentiments sincères et profonds entre deux personnes pour faire l’amour.
Missexe marmonna une phrase incompréhensible, puis l’interrogea d’un ton nettement plus incisif :
— Alors, ça s’est passé comment avec mon père ? Tu as pu le voir ?
— Oui, j’ai réussi à le voir.
— Et alors ?
— Eh bien, ça ne s’est pas très bien passé… Il refuse de t’aider.
Missexe s’était levé brusquement et croisait les bras sur sa poitrine menue en la dévisageant, le regard mauvais.
— J’ai fait ce que j’ai pu, murmura-t elle. Je suis désolée.
Elle se mordillait avec nervosité la lèvre inférieure, consciente de la déception qui accablait Missexe.
— Tu lui as bien expliqué la situation ? demanda-t elle d’une voix brusque. Tu lui as bien dit que j’avais la possibilité de recommencer de zéro à Douala, que c’était la dernière fois que je faisais appel à lui ?… Tu lui as bien dit tout ça ?
— Oui, Miss. J’ai défendu ta cause du mieux que j’ai pu. J’ai plaidé ton cas comme une avocate dans le dernier Jour d’un condamné (Il y avait un avocat dans l’œuvre de V. Hugo la ?). Mais il n’a rien voulu savoir. Tous les arguments que j’ai avancés n’ont pas réussi à l’ébranler.
Elle la fixait d’un œil sévère, et ses lèvres serrées témoignaient de sa colère.
— Je me demande si tu as vraiment TOUT essayé, siffla-t elle entre ses dents.
AG, stupéfaite par sa réaction, d’une injustice flagrante, avait l’impression qu’on venait de l’asperger d’eau glacée .
— Comment peux-tu dire une chose pareille, Missexe? Tu ne comprends donc pas que j’ai tenté tout ce qui était en mon pouvoir pour faire fléchir ton père ?
Missexe, butée, mortifiée, la considérait à présent d’un œil noir. C’est alors que quelque chose se brisa en AG. Elle eut l’impression, pour la première fois, de la voir sous son vrai jour. Cette jeune et belle femme, avec ses suis-moi et ses yeux marrons, n’avait manifestement pas réussi à franchir la frontière qui sépare les enfants, capricieux et intransigeants, des adultes, responsables et indépendants. elle était manifestement immature. Elle la considérait à présent sous un autre angle.
Oui, Missexe était une charmante fille, certes, mais elle était infantile.
C’était la première fois qu’elle comprenait son vrai caractère. Elle l’aimait bien, certes, et elle avait envie de l’aider, mais elle sentait qu’elle ne pouvait plus lui faire vraiment confiance.
— Je suis désolée de ce refus de la part de ton père, assura-t elle. Mais, si tu veux, nous pourrions essayer de trouver une solution ailleurs…
— Une solution ? Quelle bouffonnerie ! s’écria-t elle en donnant un grand coup de pied à la table qui se trouvait près du canapé.
Le verre de top grénadine qui se trouvait sur la table se fracassa bruyamment et inonda le sol…
|
|
Revenir en haut de page |
|
 |
missexe

Inscrit le: 12 May 2008 Messages: 944
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 11:21 am Sujet du message: |
|
|
à chaque chap je suis morte de rire. kill me....la suite m'intrigue.... _________________ la nuit tous les chats sont gris sauf les bagantés |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
hyllona


Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 832
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 11:38 am Sujet du message: |
|
|
ca me rapelle mes chers Harlequins. Quand je revais encore!
allez fais nous rever DP!
la suite la suite  _________________ only by grace we can enter! |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
euryale8 Shabbaeur du lac
Inscrit le: 27 Sep 2008 Messages: 4953 Localisation: marcinelle
|
Posté le: Thu Jun 17, 2010 12:15 pm Sujet du message: |
|
|
c'est mieux que le harlequin dis donc!! c'est quelle collection DP? azur ou autre?
moi mm je vois AG bolè avec mbinda  _________________ On dit que les femmes sont les meilleures gardiennes de la tradition, c'est dans le secret des cuisines que la culture passe de mère en fille, on répète les gestes immuables et on commente les dosages avec elle. |
|
Revenir en haut de page |
|
 |
|
|
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum
|
|
 |
|