Bonaberi.com Publicité
Forum Bonaberi.com
Le Cameroun comme si vous y étiez
FAQFAQ RechercherRechercher Liste des MembresListe des Membres Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs S'enregistrerS'enregistrer
ProfilProfil Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés ConnexionConnexion
la prostitution à Mini ferme

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forum Bonaberi.com Index du Forum -> Divers
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Tagni
Petit shabbaeur


Inscrit le: 15 May 2008
Messages: 1008

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 1:04 pm    Sujet du message: la prostitution à Mini ferme Répondre en citant

Source: Lemessager

la prostitution a fait son nid dans les quartiers Melen et alentours. Les populations riveraines se plaignent de l’impact de cette activité sur leur progéniture.

Mini ferme, par ici la “ chair fraîche ”


Il est 22h30 ce vendredi 21 novembre 2008. Cramponné à l’arrière de la Toyota Corolla qui le conduit au lieu dit “ Total Melen ”, le reporter a du mal à supporter le froid crépusculaire qui souffle en ce début de week-end sur Yaoundé. Aussitôt sorti du véhicule, j’emprunte à pied le tronçon qui va de “ Total Melen ” au lieu dit “ Carrefour Hôtel Feuguiff ”. Certains débits de boissons sont encore ouverts. Quelques “ couche-tard ” s’y racontent les histoires de la semaine autour d’un verre.

Sous un air de bikutsi à la mode, poissons à la braise ou rôti de poulet agrémentent les conversations. a mesure que j’avance, ma curiosité est captivée par une scène insolite à cette heure de la nuit. Sur les bords de la route, des silhouettes de femmes, à moitié nues, cigarette à la main, se dessinent dans la pénombre. “ Coyotes ; nguess ; bordels ”. C’est ainsi qu’on les appelle dans ce milieu. Négligemment adossées soit à un véhicule garé, soit sur un poteau électrique, ou devant une échoppe, ces femmes, jeunes filles, filles enceintes, grosses, élancées, vieilles, petites, noires, brunes ou albinos, etc. cherchent des clients.

Pour attirer l’attention des passants, elles n’hésitent pas à siffler les potentiels clients. “ Market is so strong tonight ! ”, s’exclame l’une d’elles, la quarantaine environ. “ Je vois que tu es nouveau dans le coin ou alors tu veux me piéger ? C’est l’heure de pointe ! C’est leur journée qui commence maintenant ”, me lance narquois un vendeur de cigarettes. J’ai voulu comprendre pourquoi il y a tant de filles ce soir à cet endroit.

J’ai à peine obtenu cette réponse qu’une fille de joie m’aborde. “ Chaud gars ! On part ? C’est moins cher. Je ferais tout ce que tu veux. Je suis tout à toi. Regardes ”, vante-t-elle tout en déballant d’une main son soutien-gorge, pour me laisser admirer sa forte poitrine. L’autre main soulève ce qui lui tient lieu de jupe. “ Membre ne panique pas. Fais comme un homme. C’est du bon ”, me lance en guise d’encouragement, un de ces “ gros bras ” chargé d’assurer la sécurité des prostituées.

Par souci d’en savoir un peu plus sur ces filles de nuits, je décide de suivre ma compagne du soir. Ashola me conduit dans un couloir obscur à l’arrière d’un établissement financier situé à un jet de pierre de l’ “ hôtel positif ”. la peur au ventre, j’avance. Cinquante mètres plus loin, la porte d’une petite chambre s’ouvre devant nous. C’est une chambre de passe. Un lit, une garde-robe de fortune, un réchaud à pétrole et un tapis, constituent le mobilier de la pièce. “ Tu as une belle chambre hein ! ” lui dis-je cherchant maladroitement à établir la conversation. “ Pardon laisse-moi tes bavardages là. Fais vite. Ne me perds plus le temps. Tu n’es pas le seul client ” me lance-t-elle d’un air empressé.

Etudiantes en quête de “ gagne-pain ”


la scène que je vis depuis mon arrivée à Mini Ferme a tout l’air d’un film policier. Un jeune homme vient de reconnaître sa petite amie parmi les “ vendeuses de sexe ”. Cette dernière lui aurait pourtant affirmé qu’elle est étudiante en faculté de sciences à l’Université de Yaoundé II. Telle une furie, le bonhomme s’éjecte de son véhicule et atterrit sur l’infortunée. S’ensuit une bastonnade que la cop’s n’oubliera sans doute jamais. Ses collègues savourent l’instant. Des éclats de rires et des applaudissements fusent. “ Ça va t’apprendre à venir discuter le territoire ici avec nous ”, lui lancent-elles avec mépris.

Selon des informations recueillies sur place, la majorité des filles de nuit exerçant à Melen sont des étudiantes. Elles suivent des cours en journée et se transforment en “ call girl ” le soir venu. “ Le dehors est très dur et ce n’est pas tout le monde qui a la chance de trouver du travail aujourd’hui. On essaye de joindre les deux bouts en nous offrant dans la rue. Certes des gens nous traitent de tous les noms, mais ce que cela nous rapporte nous aide beaucoup. C’est mieux que rien ”, justifie Clarisse B, étudiante en faculté des Lettres modernes françaises à l’Université de Yaoundé I. Comme elle, de nombreuses étudiantes vendent leur corps pour “ survivre ”. “ Je ne travaille pas ici tous les jours. C’est de vendredi à dimanche soir, que je suis en route parce que c’est le week-end que le pointage paye vraiment ”, explique Clarisse.

la clientèle de ces prostituées est constituée en majorité de “ conducteurs de camions, des joueurs de football, des hommes en tenue, des inconnus et même des hommes mariés ”, témoigne Ashola, prostituée depuis bientôt dix ans. Les prix varient selon les exigences du client. Elles sont prêtes à tout pourvu que ce dernier “ paye bien. Les prix varient de 500 Fcfa à 5 000Fcfa. Que voulez-vous ? Le plaisir a un prix ”, soutient Ashola l’air décontracté. Et de préciser, “ seuls nos clients réguliers ont la priorité. Il est difficile pour nous de rentrer avec un inconnu chez lui. Sauf s’il paye avant de nous embarquer. Parce que la plupart du temps, ils finissent avec nous et ne nous payent pas ”.

Impact néfaste sur les populations riveraines


Les populations de Mini Ferme et ses environs ont le sommeil léger. a cause notamment “ de la musique tonitruante qui fuse des bars et autres boîtes de nuits sept jours sur sept. Le coin étant en permanence bruyant, avec la vente du sexe que cela comporte, il devient difficile de fermer l’œil de toute la nuit ”, se lamente Ernest Kengne, un commerçant. Certains riverains auraient déjà déposé des plaintes auprès des autorités administratives. Malgré la décision du préfet du Mfoundi -selon laquelle les bars et autres débits de boissons devraient fermer à partir de vingt trois heures- “ Rien n’est fait jusqu’ici. Les gérants de bars n’en font qu’à leur tête. Ils ferment quand ils veulent ”, regrette Ernest.

En plus du facteur bruit, l’insécurité a également élu domicile à Melen. “ Partout où il y a les prostituées, les malfrats et les bandits de grands chemins ne manquent pas. C’est dire combien nos vies sont en danger ”, déplore Mireille Ekounda, ménagère. Plus grave, “ nos pauvres enfants qui vivent au quotidien cette prostitution ne finiront-ils pas par s’y jeter ? ”, s’inquiète cette mère de famille soucieuse de l’avenir de sa progéniture.
_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
BABYCAT2
Shabbaeur du lac


Inscrit le: 14 May 2008
Messages: 3900

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 4:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

laissez les jeunes filles se débrouiller, tant que ce n'est pas gratis.
Si ça peut leur permettre d'avoir leur diplomes plutard, ma part quoi, qui suis-je pour leur faire la morale.
Qu'on leur trouve seulement un quartier spécial où elles ne côtoieront pas des mères de familles respectables et leurs enfants.
_________________
a mes souhaits!!!!
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Vaness
Petit shabbaeur


Inscrit le: 13 May 2008
Messages: 1220

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 5:00 pm    Sujet du message: Re: la prostitution à Mini ferme Répondre en citant

Tagni a écrit:
Source: Lemessager

la prostitution a fait son nid dans les quartiers Melen et alentours. Les populations riveraines se plaignent de l’impact de cette activité sur leur progéniture.

Mini ferme, par ici la “ chair fraîche ”


Il est 22h30 ce vendredi 21 novembre 2008. Cramponné à l’arrière de la Toyota Corolla qui le conduit au lieu dit “ Total Melen ”, le reporter a du mal à supporter le froid crépusculaire qui souffle en ce début de week-end sur Yaoundé. Aussitôt sorti du véhicule, j’emprunte à pied le tronçon qui va de “ Total Melen ” au lieu dit “ Carrefour Hôtel Feuguiff ”. Certains débits de boissons sont encore ouverts. Quelques “ couche-tard ” s’y racontent les histoires de la semaine autour d’un verre.

Sous un air de bikutsi à la mode, poissons à la braise ou rôti de poulet agrémentent les conversations. a mesure que j’avance, ma curiosité est captivée par une scène insolite à cette heure de la nuit. Sur les bords de la route, des silhouettes de femmes, à moitié nues, cigarette à la main, se dessinent dans la pénombre. “ Coyotes ; nguess ; bordels ”. C’est ainsi qu’on les appelle dans ce milieu. Négligemment adossées soit à un véhicule garé, soit sur un poteau électrique, ou devant une échoppe, ces femmes, jeunes filles, filles enceintes, grosses, élancées, vieilles, petites, noires, brunes ou albinos, etc. cherchent des clients.

Pour attirer l’attention des passants, elles n’hésitent pas à siffler les potentiels clients. “ Market is so strong tonight ! ”, s’exclame l’une d’elles, la quarantaine environ. “ Je vois que tu es nouveau dans le coin ou alors tu veux me piéger ? C’est l’heure de pointe ! C’est leur journée qui commence maintenant ”, me lance narquois un vendeur de cigarettes. J’ai voulu comprendre pourquoi il y a tant de filles ce soir à cet endroit.

J’ai à peine obtenu cette réponse qu’une fille de joie m’aborde. “ Chaud gars ! On part ? C’est moins cher. Je ferais tout ce que tu veux. Je suis tout à toi. Regardes ”, vante-t-elle tout en déballant d’une main son soutien-gorge, pour me laisser admirer sa forte poitrine. L’autre main soulève ce qui lui tient lieu de jupe. “ Membre ne panique pas. Fais comme un homme. C’est du bon ”, me lance en guise d’encouragement, un de ces “ gros bras ” chargé d’assurer la sécurité des prostituées.

Par souci d’en savoir un peu plus sur ces filles de nuits, je décide de suivre ma compagne du soir. Ashola me conduit dans un couloir obscur à l’arrière d’un établissement financier situé à un jet de pierre de l’ “ hôtel positif ”. la peur au ventre, j’avance. Cinquante mètres plus loin, la porte d’une petite chambre s’ouvre devant nous. C’est une chambre de passe. Un lit, une garde-robe de fortune, un réchaud à pétrole et un tapis, constituent le mobilier de la pièce. “ Tu as une belle chambre hein ! ” lui dis-je cherchant maladroitement à établir la conversation. “ Pardon laisse-moi tes bavardages là. Fais vite. Ne me perds plus le temps. Tu n’es pas le seul client ” me lance-t-elle d’un air empressé.

Etudiantes en quête de “ gagne-pain ”


la scène que je vis depuis mon arrivée à Mini Ferme a tout l’air d’un film policier. Un jeune homme vient de reconnaître sa petite amie parmi les “ vendeuses de sexe ”. Cette dernière lui aurait pourtant affirmé qu’elle est étudiante en faculté de sciences à l’Université de Yaoundé II. Telle une furie, le bonhomme s’éjecte de son véhicule et atterrit sur l’infortunée. S’ensuit une bastonnade que la cop’s n’oubliera sans doute jamais. Ses collègues savourent l’instant. Des éclats de rires et des applaudissements fusent. “ Ça va t’apprendre à venir discuter le territoire ici avec nous ”, lui lancent-elles avec mépris.

Selon des informations recueillies sur place, la majorité des filles de nuit exerçant à Melen sont des étudiantes. Elles suivent des cours en journée et se transforment en “ call girl ” le soir venu. “ Le dehors est très dur et ce n’est pas tout le monde qui a la chance de trouver du travail aujourd’hui. On essaye de joindre les deux bouts en nous offrant dans la rue. Certes des gens nous traitent de tous les noms, mais ce que cela nous rapporte nous aide beaucoup. C’est mieux que rien ”, justifie Clarisse B, étudiante en faculté des Lettres modernes françaises à l’Université de Yaoundé I. Comme elle, de nombreuses étudiantes vendent leur corps pour “ survivre ”. “ Je ne travaille pas ici tous les jours. C’est de vendredi à dimanche soir, que je suis en route parce que c’est le week-end que le pointage paye vraiment ”, explique Clarisse.

la clientèle de ces prostituées est constituée en majorité de “ conducteurs de camions, des joueurs de football, des hommes en tenue, des inconnus et même des hommes mariés ”, témoigne Ashola, prostituée depuis bientôt dix ans. Les prix varient selon les exigences du client. Elles sont prêtes à tout pourvu que ce dernier “ paye bien. Les prix varient de 500 Fcfa à 5 000Fcfa. Que voulez-vous ? Le plaisir a un prix ”, soutient Ashola l’air décontracté. Et de préciser, “ seuls nos clients réguliers ont la priorité. Il est difficile pour nous de rentrer avec un inconnu chez lui. Sauf s’il paye avant de nous embarquer. Parce que la plupart du temps, ils finissent avec nous et ne nous payent pas ”.

Impact néfaste sur les populations riveraines


Les populations de Mini Ferme et ses environs ont le sommeil léger. a cause notamment “ de la musique tonitruante qui fuse des bars et autres boîtes de nuits sept jours sur sept. Le coin étant en permanence bruyant, avec la vente du sexe que cela comporte, il devient difficile de fermer l’œil de toute la nuit ”, se lamente Ernest Kengne, un commerçant. Certains riverains auraient déjà déposé des plaintes auprès des autorités administratives. Malgré la décision du préfet du Mfoundi -selon laquelle les bars et autres débits de boissons devraient fermer à partir de vingt trois heures- “ Rien n’est fait jusqu’ici. Les gérants de bars n’en font qu’à leur tête. Ils ferment quand ils veulent ”, regrette Ernest.

En plus du facteur bruit, l’insécurité a également élu domicile à Melen. “ Partout où il y a les prostituées, les malfrats et les bandits de grands chemins ne manquent pas. C’est dire combien nos vies sont en danger ”, déplore Mireille Ekounda, ménagère. Plus grave, “ nos pauvres enfants qui vivent au quotidien cette prostitution ne finiront-ils pas par s’y jeter ? ”, s’inquiète cette mère de famille soucieuse de l’avenir de sa progéniture.


VDM...
_________________
Family can suck the life out of you !
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
BABYCAT2
Shabbaeur du lac


Inscrit le: 14 May 2008
Messages: 3900

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 5:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

up
_________________
a mes souhaits!!!!
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
di*k*prio
Grand shabbeur


Inscrit le: 08 Jul 2008
Messages: 2495
Localisation: Quartier Latin

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 6:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ah hah ahah Laughing Le gars tremble devant la nga. This is real funny! Laughing
Le plus vieux metier du monde continue de faire son chemin.
Je me plains tout de meme de ces riverains. Cet endroit me fait penser a la rue de la joie de deido.

Mais je comprends pas pourquoi les ventes emportees doivent fermer a 23h Shocked . Il faut plutot leur demander de baisser le volume de la musique a une certaine heure. 21h par exemple.
C'est apres tout un buisness et le monsieur se doit comme partout dans le monde de se faire des sous. Generalement ces debits de boissons font une meilleure recette au coucher du soleil.

Tres bon article tout de meme.
Ce gars ecrit dans un style tres captivant!
_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Haroun
Bérinaute Vétéran


Inscrit le: 12 May 2008
Messages: 8121

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 7:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

BABYCAT2 a écrit:
laissez les jeunes filles se débrouiller, tant que ce n'est pas gratis.
Si ça peut leur permettre d'avoir leur diplomes plutard, ma part quoi, qui suis-je pour leur faire la morale.
Qu'on leur trouve seulement un quartier spécial où elles ne côtoieront pas des mères de familles respectables et leurs enfants.


les mères de famille "respectables"... C'est quoi ?

Et une question : qu'on les laisse se débrouiller : ça ne te dérangerait pas que ta fille se débrouille ?

H.a.R. Cool
_________________
Projet de Web TV sur beri.com
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
BABYCAT2
Shabbaeur du lac


Inscrit le: 14 May 2008
Messages: 3900

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 7:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Haroun a écrit:
BABYCAT2 a écrit:
laissez les jeunes filles se débrouiller, tant que ce n'est pas gratis.
Si ça peut leur permettre d'avoir leur diplomes plutard, ma part quoi, qui suis-je pour leur faire la morale.
Qu'on leur trouve seulement un quartier spécial où elles ne côtoieront pas des mères de familles respectables et leurs enfants.


les mères de famille "respectables"... C'est quoi ?

Et une question : qu'on les laisse se débrouiller : ça ne te dérangerait pas que ta fille se débrouille ?

H.a.R. Cool


pardon laisses moi parler na yoooo! c'est quoi? Smile
ça ne me dérangerait pas que ma fille se débrouille, si c'est seulement pour vendre les arachides en route!
pour "respectables" là comprends ça seulement comme ça, je suis fatiguée!
_________________
a mes souhaits!!!!
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Ekobena
Bérinaute Vétéran


Inscrit le: 14 May 2008
Messages: 6353

MessagePosté le: Tue Nov 25, 2008 7:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

di*k*prio a écrit:
ah hah ahah Laughing Le gars tremble devant la nga. This is real funny! Laughing
Le plus vieux metier du monde continue de faire son chemin.
Je me plains tout de meme de ces riverains. Cet endroit me fait penser a la rue de la joie de deido.

Mais je comprends pas pourquoi les ventes emportees doivent fermer a 23h Shocked . Il faut plutot leur demander de baisser le volume de la musique a une certaine heure. 21h par exemple.
C'est apres tout un buisness et le monsieur se doit comme partout dans le monde de se faire des sous. Generalement ces debits de boissons font une meilleure recette au coucher du soleil.

Tres bon article tout de meme.
Ce gars ecrit dans un style tres captivant!

Gars tu as vu comme moi, quand j ai lu ça ça m a fait penser net à Malko Linge. Sauf que malko lui il aurait combo la petite. En même temps il a cut son article au moment ou il a probablement fait la chose Very Happy.

Sinon ton histoire de baisser le volume là, tu es fou ou tu t en fous??? Si on baisse le volume de la musique c est les hennissements qu on va entendre. Tu préfères quoi???? Toi même tu n as jamais eu recours à cette technique pour couvrir les bruits que tu do avec la nga? Very Happy
_________________
"L'argent ne fait pas le bonheur. Surtout en petite quantité."
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forum Bonaberi.com Index du Forum -> Divers Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum
Accueil  |  Forum  |  Chat  |  Galeries photos © Bonaberi.com 2003. Tous droits de reproduction réservés  |  Crédit Site
Votre publicité ici ?