Forum Bonaberi.com

[italien]

[Princesse_Bana]

mbidouille kem bole l'his la tu aimes trop ca ichhhhhhh
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Lord ,my saviour my life is your hands

[Binam]

[Princesse_Bana]

vraiment mbidouille tu exagere doneravant je vois un sujet que tu as cree je ne lit mm plus c;est koi ca tu met l'o ds la bouche des gens apres tu ne borle mainja garde mm tes his la pr toi si te depasse a raconter
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Lord ,my saviour my life is your hands

[jazziste]

Les histoires de Mbindaman ressemblent aux series tv que la Crtv de mendo ze showait. Dynastie, Falcon Crest, Santa Barbara, Melrose Place, Isaura, etc.. n'etaient jamais fini.
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"Find something you love to do so much, you can’t wait for the sun to rise to do it all over again" Christopher Paul Gardner

[Mbindaman]

Ca va tout sortir. Bon voici la saison trois qui begin!


Tout heureux de trouver un scandale propre à étancher sa soif de vengeance envers Chambelle et ses acolytes,Mr Bouba en avocat chevronné qu'il était, pour write une lettre de démonstration pour abus de pouvoir exercé sur la personne de mon oncle par le Commandant Eyalla qu'il fit signer en quatre copie par mon oncal et lui dit ceci:  « Djo do ce que tu as à do, mais d'ici demain à 7h00, ta déclaration sera à la fois entre les mains du gouverneur lui même, du juge de la paix, du chef de la police des polices à Bonandjo sud et à l'inspecteur des affaires administratives. »
Dehors nessa le gendarme maguida qui devait le bring à Édéa le waitait. Bon comme mon oncal durait, voilà alors le mbéré qui djoum dans la house de l'avocat, il dit que fait koi fait koi, même si c'est avec la force, il va move le djo de la piole là; que lui il a des ordres précis à suivre. Directement Mr. Bouba lui a vertement siggnaler que mon vieux ca c'est une violation de domicile. Il doit comot. Aaaaah mouf esse le gendarme a compris? Directement une tcham a éclaté, et le gendarme a allumé la crosse de son fusil sur la table en verre de Mr Bouba qui était au salon. Mon oncal comme il meetait tout ca, il a seulement comot son couteau qu'il avec buy, couteau avec lequel il avait menacé Mr Chambelle quand il l'avait tcha en train de nkièp sa femme. Net des que le gendarme a meet la lame luisant du couteau « double tête », il a armé son fusil et visé mon oncal pour lui tell que gars, si il ne tchop pas la maîtrise là là là et lep fall son coutelas, il va le refroidir avec une balle. Aaah mouf, mon oncal a répondu que: «  Je sais que c'est votre plan, vous voulez m'éliminez depuis, mais je peux faire ca moi même. Je ne sortitais pas d'ici vivant; C'est mon cadavre que tu vas ramener à Édéa »
Avant que les gars ne comprennet ce qu'il voulait dire, mon oncal a enfoncer le couteau dans son ventre, directement le sang a begin que a couler et mon oncal est fall emmanuel...Gars quand le maguida gendarme là a meet ca, directement la fièvre de la panique l'a tcha. Ca'adire comme on dit là hein, il a sauf que tcha ses jambers avec ses randjes à son cou.
Quelqu'un est go falla le docta. Contre que les gens qui on assisté à la scène ont kand même wonda sur la fièvre du gendrme là hein, c'est tout le kwat qui s'est moqué de lui, que how que un gros mbéré meet le sang il panique comme une femme? Ca'adire le djo a détalé comme un lapin. Il runnait telle vite, que une de ses randjes est même comot de son pieds. Massa esse le djo s'est même arrêté pour ramasser ca? Noho, il a lui continué son détallage. Les mounas (moi parmis) on a trop lap l'affaire là. Alors que mon oncal était chez Mr Bouba avec le sang partout sur lui hein... yeuch!

Mr. Assongleufack raconte que le day là le maguida gendarme est arrivé chez le Commandant Eyalla éssouflé pour lui dire: « Ma koumandan, moi pas tué lui, lui tu tié lui même! Tout population là bas y crier fort fort! L'affaire là, est mainant devenu grand affaire. Missié Bouba s'être assis sur affaire lui même. Voilà ma contrendu »
Après avoir hear le rapport du maguida, le Commandant Eyalla fit call Mr. Assongleufack par son planton. Le mbom comme c'était aussi un malin, a répondu que noho. Pour le moment, le gouverneur l'a réquisitionné pour un divers. Sinon by the chap chap quand il a bolé, il se rend sans passer par mokolo direct-direct chez lui. Ca'adire hein, à peine Moh Lioh avait guip la réponse au planton du Cmdt Eyalla, que le postier est came lui tendre une lettre recommandée avec accusé de réception déposée au nom de mon oncal. Gars le gnêh avait begin a fall.Ca'adire, meme Moh Lioh a wonda que mais kel est la mouche qui a piké le Cmdt Eyalla pour kil force mon oncal à back à Édéa? Mainant il a send un brutus pour do le boulot, et voilà que la bizgo ne pourra plus se régler en douceur.... « ah tant pis pour lui » se dit-il en soulevant les épaules.
Pour résumer, le Commandant Eyalla risque d'y perdre des plumes... voire même toutes – sans compter les ennuis juridique qui attendent son ami Chambelle.
la lettre fut porter au gouverneur, qui ne manifesta ni surprise, ni colère... ca'ad ire le djo était calme. Il demanda juste de faire enregistrer la correspondance avant de la lui rendre avec les autres dossiers de la journée. Ce que fit Moh Lioh, mais il pris également soin de placer la lettre en première parmis all les dossiers.

Bon quand Moh Lioh eu finit avec le gouverneur, se rendit chez le Cmdt Eyalla qui le waitais anxieusement pour lui ask comment l'affaire se developpait. Moh Lioh parla de la lettre qui relatait les aventures de mon oncal, et le rendiat responsable de tout le mal qui lui était fait. Que en tant normal, il wondayait pourquoi le gouverneur le l'avait même pas encore convoquer à son bureau. Ca'adire hein. Comme si Moh Lioh était un prophète vous knowez non? À prein il avait bolé de speak ca, que le phone du Cmdt sonna; c'était le gouverneur. Qui le convoquait déjà. Gars la fièvre est djoum sur le gars, jussa la sueur a begin à couler sur lui. Ca faisait même pitié hein En tout cas, le djo est go chez le gouverneur. On ne know pas ce que les deux ngomnas là se sont dit là bas, mais en comotant,le Commandant avait la tête baissé et la queue entre les jambes.
Le lendemain, un inspecteur de la police des polices était recu chez le gouverneur. Le premier acte de l'inspecteur, après avoir été en contact avec le gouverneur, fût de se rendre à l'hopital, pour témoigner de l'état de mon oncal, qui entre temps avait été bring chez le docta et était comot de ses émanouissement. Il fut hospitalisé pour deux semaines. Quand le medecin chef de Laquintine estima que mon oncal pouvait travel, on le fit venir à l'inspecteur, qui l'interrogea aussi. Quelques jours plus tard, il fut racompagné en voiture à Édéa.

Mr Chambelle entre temps avait mis à profit les semaine écoulées, pour fabriquer un dossier contre mon oncle et se buy des témoins, d'où il résultait naturellement que mon oncal voulait le zigouiller. Il fit remettre le dossier à l'inspecteur de la police des polices par l'entre-mise du commissaire principal d'Édéa. Le columbo de la mbérale des Mbérale a tout naturellement mené une contre enquête, interoger les témoins de Mr. Chambelle et même la femme de mon oncal. Cette dernière, surmontant bindi sa pudeur à tout raconter à l'inspecteur, non sans verser les larmes de tant en temps (vous knowez les ngas non?). Ca'adire elle a tout raconter, surtout le day dramatique où mon oncal les a tcha en plein match Bangaladesh contre Pays-Bas.
Le gouverneur quant à lui se tenait très au courant de l'affaire. Quand l'inspecteur eu finit, et le dossier lui fut remis, il transéra tout ceci sans délais au juge de la paix. Ce dernier ne fût pas surpris, car ayant aussi recu une lette de Mr. Bouba qui s'était maintenant constitué comme avocat de mon oncle. L'affaire était au tribunal!




Gars je repose mes doigts yeux. ca fait déjà 13 pages!
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I'm not going to rape her, I'm going to fuck her...
I've been all over the world, and everywhere I go people tell me about the true Gods. They all think they found the right one. The one true God is what's between a woman's leg...

[afreaka]

Mbindaman tu nous prends pour des quoi? tu commences une histoire en 2008 , 2010 dois nous trouver dessus!? je ne lis plus tes histoires...

[Mbindaman]

[Binam]

[Charlie]

[Mbindaman]

On avait cut les financement pour la suite hein. Les quotes n'étaient pas bonnes.
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[Nel]

[Mbindaman]

[Nel]