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Article: Comment aimer une africaine sans se ruiner ?
Nombre de messages:  4
Pages:  1  
 
   Toutes ne sont pas les meme
Auteur : Maestro
Date : 17/10/2011 03:26

Le journaliste-ci, c'est sur qu'une nga t'a traumatise a Douala!!
Tu imagines comment les etrangers qui te lisent verront nos soeurs?
Meme si elles exagerent dans l'affaire de nkap, ce n'est pas une raison pour publier un tel article!
   idee
Auteur : sana
Date : 22/10/2011 23:35

C'est deja trop on ne peut pas continuer sur cette lancee.Pour moi ce Mr a toutes les raisons du monde.Toujours la fille camerounaise commence par ma mere ensuite ma tante mes nieces et ensuite ...Moi j'en ai vecu alors c'est mieux d'aller en Asie cherche une femme car LA CAMEROUNAISE EST UNE ...J'ai honte d'ecrire le mot mais S'IL VOUS PLAIT REVENEZ SUR TERRE CAR LA VIE C'est aussi etre juste et sincere.POUR MOI LA CAMEROUNAISE EST EGALE 4 FOIS LA FAIM.Merci
   LProblème ce ne sont pas les AFRICAINES,,. C'est L'OFFRE sentimentale qui n'est pas ajustée à la DEMANDE sentimentale
Auteur : Lobé De Bonabenga
Date : 25/10/2011 16:52

Toutes les filles du monde entier ont besoin d'amour ou d'affection.
Tous les hommes ici bas ont le souci d'aimer ou d'être aimés.
C'est la base de la vie, et ce n'est pas sans raison si Dieu a estimé qu'il fallait une compagnie pour ADAM ou pour EVE, dans le premier LOFT qui s'appelle le JARDIN D'EDEN.

Ce besoin naturel n'a pas
fondamentalement changé.
Les unions et les mariages sont là pour attester de la nécessité d'une compagnie ou d'une vie de coupe.

Mais le contexte dans lequel nous tombons amoureux, lui a évolué.
Et cette évolution est visible et ne traduit que l'évolution de la société en elle-même.

Deux exemples :
-Le paysan de Dibombari au CAMEROUN éprouve le même besoin de tomber amoureux comme le milliardaire Russe qui vit à MOSCOU.
-L'ouvrier qui travaille à Socapalm CAMEROUN ressent le besoin de s'amouracher tout comme le célèbre Styliste camerounais IMANN AYISSI.

Mais les moyens d'expression et les outils de séduction seront différents en fonction du lieu, du champ d'action, et du statut socio-culturel :

Le PAYSAN offre le gibier à sa bien -aimée et le milliardaire offre le yacht.
Le paysan de Dibombari va offrir à sa dulcinée deux rats palmistes abattus la veille dans une brousse du coin.

Cette jeune villageoise va adorer ces deux gibiers et ne s'empêchera de se livrer tendrement dans les bras de son héros.
C'est une évidence.
La vie de cette femme se conjugue dans ce lieu et elle retrouve ses repères en se régalant avec les gibiers qu'elle considère comme une vraie marque d'amour.
De belles histoires d'amour ont fleuri dans ces recoins champêtres avant l'arrivée de l'IPHONE4.

Voyez-vous, un paysan qui tombe amoureux d'une paysanne et qui offre des effets de valeur paysanne(gibiers), qui ont cours légal et qui ont droit de cité dans ce contexte paysan = Belle histoire d'amour.

Il en est de même du milliardaire russe qui offrira un yacht à sa convoitée suédoise, mannequin de profession.
Ce sera une tumultueuse relation agrémentée de plaisirs qui sont à la hauteur du statut socio-culturel des intéressés.

LE PROBLEME relatif aux dépenses en AMOUR ne se situe donc pas au niveau du comportement des AFRICAINES.
C'est une INADEQUATION entre l'OFFRE sentimentale et la DEMANDE sentimentale ici ou ailleurs.

Soyez précis quand vous problématisez : Ce ne sont pas les AFRICAINES qui ont fait grimper le cours de leurs actions sentimentales, ce sont les AFRICAINS qui se sont trompés de marché.

Observez= La plupart des fonctionnaires ou des des hauts fonctionnaires, des cadres ou cadres supérieurs qui vivent dans la capitale économique ou administrative du CAMEROUN ont des origines "villageoises".

Ils se sont hissés à un haut niveau social ou économique sans pour autant que leurs habitudes de vie, leur EDUCATION, aie suivi leur évolution socio-économique.

Exemple :Un Commissaire Divisionnaire qui a passé toute son enfance et son adolescence à NDJOMBE ou à LOUM,dans des bourgs ou des villages camerounais, dans un environnement rudimentaire et pauvre, et qui, du jour au lendemain, se retrouve en poste à DOUALA avec des moyens lourds, oublie très vite qu'il n'est pas à la hauteur des jeunes filles vivant à DOUALA et qui brassent du beau monde depuis leur tendre enfance.

Ce Commissaire ne maîtrise ni les habitudes de vie, ni les techniques d'approche d'une population féminine
friande des valeurs que ce HAUT Fonctionnaire ne sait pas estimer.

CERTAINES filles RECHERCHENT du raffinement chez l'homme et non de L'argent ni du pouvoir :
Ces filles, qui pour la plupart ne se retrouvent pas dans le besoin sur le plan économique, ont besoin d'une autre forme de séduction, que d'être pourchassés par des ventrus fourbus, qui agitent leur porte-monnaie et leurs chéquiers à la moindre caresse.

Les jeux sont donc faussés, car vous retrouverez d'un côté des bonnes filles de bonne famille qui font payer chèrement leur TOUPET à des NOUVEAUX RICHES sans raffinement, en leur exigeant, même si elles ne sont pas dans le besoin des cadeaux exceptionnels.

C'est de l'AMOUR malusé.
Le malus est l'AMENDE reclamée par la femme, à celui qui n'est pas, dans le jeu de l'amour, à sa place naturelle, même si, il a de l'argent et du pouvoir.

Dans l'un de ses sketches, le comédien "MITOUMBA" illustre très clairement cette situation lorsqu'il essaie de tomber amoureux, lui pousseur de son état,d'une fille, à qui il promet des immeubles qui ne lui appartiennent pas.

MITOUMBA sentait bien que cette fille n'était pas à sa portée, à son niveau. MITOUMBA devait donc payer l'AMENDE ou le MALUS parce qu'il y avait une inadéquation entre l'offre sentimentale et la demande sentimentale, entre l'offre socio-culturelle et la demande socio-culturelle.

Lorsque la fille s'est rendue compte que l'immeuble ursupé n'appartenait pas à MITOUMBA, que ce dernier n'avait pas les moyens de payer le MALUS, elle a chassé MITOUMBA avec le balai.
Or , la villageoise de Dibombari s'est bien contentée des deux rats palmistes.

D'un autre côté, vous verrez des hommes de bonne famille, de bonne éducation, payer le même MALUS, pour avoir dragué des filles de pauvres milieux.
Exemple : L'affaire D.S.K :
Et dans cet ordre d'idées, l'actualité nous renvoie une image très significative de l'homme bien sous tous les bords, qui est piégé par une femme de chambre dans un Hôtel américain.
L'AMENDE risque d'être salée si la procédure judiciaire abouti à une condamnation civile de D.S.K.

C'est donc un problème universel, qui ne se limite pas qu' en AFRIQUE et qui touche toutes les couches de la société = Le problème de l'inadéquation entre l'offre sentimentale et la demande sentimentale.

Voici les SOLUTIONS:
Afin d'éviter que le marché soit injustement orienté à la hausse, afin d'éviter d'être sanctionné ou malusé, il faut que l'OFFRE sentimentale soit ajustée à LA DEMANDE sentimentale.

Comment y arriver : La clé de l'EQUATION réside dans une seule valeur de référence qui s'appelle: l'EDUCATION.

METHODE d'approche =
vous les hommes, prenez le temps de réfléchir sur votre trajectoire socio-culturelle, prenez le temps de surveiller vos propres indicateurs éducationnels.
Ce n'est pas parce que vous avez le titre de Docteur en Médecine que toutes les filles seront à vos genoux.

Sachez pertinemment que les filles surveillent à la loupe cet indicateur qui s'appelle le RAFFINEMENT, et que les filles de bonne famille sous des dehors dévergondés, ne cessent de prôner à toutes les sauces.
" J'aime un homme raffiné sous tous les bords".

Un conseil = Cherchez donc les filles qui vous ressemblent et qui partagent vos préoccupations culturelles, esthétiques, sportives, artistiques, intellectuelles, morales, civiles...Vous réussirez ainsi à ajuster l'offre à la demande et vous éviterez sans doute le MALUS.

Conseil =
-Vous les autres hommes qui manquez d'EDUCATION, ou de RAFFINEMENT
-vous qui utilisez la grosse cuillère à la place de la fourchette, pour manger le riz ou le haricot.
-vous qui bavardez en mangeant la bouche peine de beignets et de paf,
sachez que vous serez toujours malusé et sanctionnés par les filles qui sont hors de votre portée EDUCATIONNELLE.

Les filles de bonne famille vous feront payer très cher leur compagnie.

Vous avez donc aujourd'hui le choix :
-Soit vous restez sur le marché secondaire, le milieu rural, là où on attend de vous, que quelques gibiers,et vous aurez toutes les femmes du village.
-Soit vous travaillez votre EDUCATION et votre RAFFINEMENT et vous interviendrez sur le marché du véritable AMOUR(les femmes de l'indice cac40 des).

Lobé De Bonabenga.

   rentier
Auteur : papy
Date : 18/11/2011 19:40

superbe article. C'est vrai que la femme africaine aime l'argent... Mais quoi qu de plus naturel...
Femmes africaines... ne chaugez pas...vous êtes superbes
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