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Article:
Cameroun - Emirats Arabes Unis : Coopération au beau fixe |
Nombre de messages:
4 |
Pages:
1 |
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LE JOUR OÙ MR. NE SERA PLUS PRÉSIDENT |
Auteur : |
BOUGOULOU |
Date : |
04/06/2009 16:16 |
*** voici le jour où mr. biya ne sera plus président ***
>>>> ca sera le.......du....... de l´an de grâce 20....à......heures.
le défendeur sera mis sous mandat de dépot et conduit manu militari à la maison d´arrêt la plus proche .
tous les biens seront saisis et mis sous scéllé .
la famille sera prié de retenir ses larmes .
Kontrar.. |
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bonaberi.com est un site de merde |
Auteur : |
germain nkono |
Date : |
05/06/2009 09:21 |
bonaberi.com ne vaut plus la peine,les infos ne sont pas regulierment mis à jour,c'est un site de merde avec les mèmes vieilles infos.bougez vous le cul au lieu de passer le temps a organiser des soirées à la con.faites plutot du bon boulot.comme site d'infos sur le camer il ya bien mieux.
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Rapatriement Guinée équatoriale |
Auteur : |
Puaka Puaka |
Date : |
05/06/2009 13:05 |
Le gouvernement du Cameroun a-t-il enfin compris?
Le traitement ainsi réservé aux ressortissants camerounais embarrasse au plus haut point le gouvernement, surtout au moment où nos deux pays sont engagés dans un processus d’intégration dont l’une des clefs de voûte est le principe de la libre circulation des personnes et des biens. Tout en reconnaissant à notre voisin, pays souverain, le droit de lutter contre l’immigration clandestine. Il revient donc à nos compatriotes qui y résident et qui par leur dynamisme concourent d’ailleurs largement au développement de ce pays frère, de se conformer aux règles de leur pays d’accueil quelle qu’en soit la dureté. D’autant qu’en leur sein, se sont souvent trouvées des brebis galeuses qui, par leurs actes délictieux, n’ont rien fait pour entretenir l’image et la réputation de notre pays sur leur terre d’accueil. Et c’est le lieu aussi de mettre en garde tous ceux qui sont attirés par ce miroir aux alouettes de ce que cette destination Guinée est à déconseiller. Un pays dont les autorités sont, on l’espère conscientes des dangers de l’enfermement, dans un monde où les pays les plus développés ont compris que l’avenir se trouve dans l’union et l’intégration.
MONDA BAKOA Cameroon Tribune |
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LA LETTRE DES ÉLITES BÉTIS À BIYA |
Auteur : |
ESSINGAN |
Date : |
05/06/2009 14:46 |
LA LETTRE DES ÉLITES BÉTIS À BIYA
A Son Excellence, Monsieur Paul Biya, président de la République, président national du Rdpc
Depuis votre accession à la magistrature suprême, la région du Centre dans son ensemble vous soutient comme nulle part ailleurs. C’est un soutien patriotique et sans chantage qui s’est manifesté lors des évènements du 6 avril, pendant les années de braise et lors de toutes les consultations électorales. Le Grand centre (Ndlr Centre, Sud, Est) est également la région où le Rdpc, votre parti, notre parti, moteur de toutes vos victoires électorales, est le plus implanté. Ce soutien politique indéfectible s’est également étendu à votre personne et à votre famille.
Malheureusement, nous n’avons pas l’impression que vous avez bien mesuré toute l’ampleur de ce soutien. Plusieurs événements nous poussent en effet à de graves interrogations.
Le délégué du gouvernement que vous avez nommé, a entamé de gros travaux dans la capitale et néanmoins vitrine de notre pays. Si l’intention de moderniser “ notre village ” louable, il n’est pas certain que les moyens utilisés à cet effet soient bénéfiques pour votre politique. Il y a un tel degré de mécontentement que nous ne sommes plus certains de convaincre les nôtres de voter en votre faveur si des élections intervenaient aujourd’hui. Les patriarches et la communauté toute entière se désolidarisent d’une telle démarche car les Betis, hospitaliers et hommes de paix, entendent le demeurer. Nous avons cherché à vous rencontrer pour vous prévenir des conséquences graves de ces brutalités, mais nous nous sommes rendus compte que vous ne voulez plus nous recevoir comme par le passé.
Pourtant, quand votre pouvoir a été fortement ébranlé pendant les années de braise, nous vous avons offert une lance et un tam-tam. Si la lance symbolise l’autorité et le pouvoir, le tam-tam devait vous servir pour battre le rappel des troupes en temps de guerre; ou à nous rassembler pour des concertations en temps de paix. A l’observation, vous n’avez pas beaucoup utilisé ce tam-tam. Par conséquent, n’ayant pas entendu le son du rassemblement et face à l’urgence de la situation, nous nous sommes dans l’obligation de vous adresser cette lettre par des canaux ordinaires. Nous profitons donc de cette lettre pour vous dire tous les problèmes qui nous tiennent à cœur.
Sous le couvert de l’opération épervier, vous avez entrepris de faire arrêter tous ceux qu’on vous a présentés comme détourneurs des deniers publics. Cela semble une coïncidence mais il apparaît clairement qu’il ne s’agit en fait que de nos fils méritants et ceux ayant une stature d’homme d’Etat.
Sans nous attaquer à votre pouvoir, le Grand centre se pose une question: Quand vous ne plus serez plus là pour défendre nos intérêts, lequel de nos fils tiendra notre flambeau si tous sont en prison?
Votre maman de regrettée mémoire et que nous pleurons toujours était une Yetotan, c’est-à-dire une Etoudi. Chez les Betis, les neveux entretiennent des relations privilégiées avec les oncles. Nous ne comprenons donc pas ce qui peut apparaître comme un acharnement. On vous a dit que certains de nos fils s’organisent dans le cadre du fameux G11 pour prendre votre place. Il s’agit tout simplement d’une machination. Nous avons toujours condamné ceux qui voulaient prendre votre place par la force er nous continuerons à nous opposer et à ceux qui veulent attenter à votre vie. Seulement, on nous a rapporté que le G11 était une simple réflexion comme le La’akam, Essingan, Sourga, Moinam etc. Si un jour, on y a parlé de politique, c’était pour poser une question somme toute légitime: Après notre père le Président Biya, qu’adviendra-t-il de nous? Lequel d’entre nos fils pourra-t-il concourir auprès des fils d’autres régions pour vous succéder?
Dans d’autres régions, des gens qui ne vous manifestent pas le même attachement désintéressé et qui par le passé ont même attenté à votre pouvoir et à votre vie, ont posé la même question sans subir autant d’invectives. Curieusement les victimes de l’opération épervier sont ceux de nos fils qui ont occupé des places stratégiques à vos côtés. Ces postes ont-ils une relation avec leur déchéance actuelle?
Dans nos traditions, un “ zomlo’o ” est un stage, un intouchable, un repère. C’est la mémoire et la conscience de la communauté. Ces sages ont droit au respect de tous. Hélas, l’épervier n’a pas épargné cette crème de notre organisation sociale. Les patriarches du Grand centre ont mal accepté le décès en prison d’un des leurs; de même que l’arrestation à la suite de plusieurs autres, d’un diplomate émérite par ailleurs déjà en retraite.
Nous ne désespérons toujours pas d’être reçus dès que votre emploi du temps que nous savons chargé le permettra. Nous restons donc solidaires de toute circonstance. Mais il fallait que vous sachiez que la sérénité ne règne plus dans nos relations.
Respectueusement
Excellence Monsieur le Président de la République
© Sévère KAMEN : www.Kai-walaï via Le Messager |
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