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Article: Audience au palais : Fillon au Cameroun, Biya à l'Elysée
Nombre de messages:  21
Pages:  1  2 
 
   !!!!!
Auteur : lafrik1
Date : 11/03/2009 14:08

Hmmm pauvre de nous mêmes
   n'importe quoi!
Auteur : edson
Date : 11/03/2009 15:07

@ l'afrik 1
tu ne penses pas si bien le dire.
vive longue longue le Prophete!!!!!!
   pardon
Auteur : julie
Date : 11/03/2009 15:58

pardon que les france nous laisse !! ils ont été inccapables de construire une seule route chez nous avant l'indépendance!!! maintenant que les chinois prenent les choses ils reviennent avec leurs fausses politique qui n' a aidé aucun pays africains
   partezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Auteur : polle(Allemagne)
Date : 11/03/2009 17:13

il va a djombe penja alors que se sont des francais qui ont fait emprisonner le maire parce qu il demandait que les plantations francaises qui sont la bas payent des impots.Il parle d un carrefour comme si c etait dune autoroute... qu ils partent et laissent notre pays...ils cad eux et leurs ambassadeur a etoudi
   TORTURES DE LA FRANCE AFRIQUE EXPERIENCE SUR LES POPULATIONS
Auteur : CRIMES
Date : 11/03/2009 19:17

http://www.camer.be/index1.php?art=4950

FRANCE AFRIQUE NUIT GRAVEMENT AUX MATIERS 1ER ET AUX POPULATIONS ET AINSI QUE LE FRANC CFA
   VICTIMES DE PAUL BIYA DEPUIS 27 ANS
Auteur : les pov noirs victimes de tous!
Date : 11/03/2009 20:02

produit cancérigene en AFRIQUE!! et en france il n y en a pas? amiante , tchernobyl, engrais et phosphate EXPERIENCE CLINIQUE SUR LES MALADE DU SIDA uranium, poison des fleuves dangereuX pour la consommation

les pov noirs victimes de tous!
   l´afrique est la mangeoire de la france
Auteur : SCOOPY
Date : 12/03/2009 18:29

** La Recompense de "" La Braderie Grande "" Economique **


>>>>>> Après avoir brader et offert l´économie camerounaise à :
- total
- bolloré (ami de sarko)
- pmuc
- le groupe castel
- les banques francaises
- lafarge
- la signature des très contestés accords ape (accords de braderie)
- orange
- bouygue immobilier

Biya sera recompensé lors de sa future visite officielle en france à Nicolas Sarkozy .

Nicolas Sarkozy a plutôt préféré invité p.biya en france au lieu de venir personnellement en visite au cameroun . Car vu sa maigre côte popularité , Nicolas sarkozy a peur d´être appercu en compagnie d´un dictateur sanguinaire en afrique .

Où est passé "" la rupture tranquille "" sarkozyenne dans les relations francafricaines ........?

Kontr...
   P.M francais
Auteur : SCOOPY
Date : 12/03/2009 18:31

Qu´est ce francois fillette viendra faire au Cameroun.......?
   Enfin
Auteur : unc
Date : 12/03/2009 20:22

Francois fillon viendra surement avec un plan de construction de l'ambassade de france au cameroun.Comment voulez-vous que depuis des dizaine d'annees cet ambassade soit toujours en "CARABOTES"?L'argent que nous payons deja pour les frais de visa a construit la barriere. "one day on day"

Fillon francois, il ne faudrait pas oublier de dire aux camerounais comment est-ce que la france par le biais de son ambassadeur, organise les mariages des "pedes" dans notre pays.Dite leur que c'est parce que vous protegez les droits de l'homme. "MINALMI"
   DICTATURE
Auteur : LE CERCUEI DE PAUL DEVANT L AMBASSADE DU CAMEROUN
Date : 12/03/2009 23:05

http://www.dailymotion.com/video/x8ivuj_le-cercueil-de-paul-biya-ledoux-par_shortfilms
   bravo
Auteur : les camerounais commence petit à petit à prendre le destin à main
Date : 12/03/2009 23:12

http://www.icicemac.com/news/index.php?nid=12597&pid=23
   au secours camerounais paul biya a vendu notre pays aux diable camerounais revez vous c'est grave nous sommes envahi paul biya si tu t'amuse tu verras
Auteur : au secours paul biya veut cedez bakassi aux français et americain pour avoir la paix
Date : 13/03/2009 13:06

http://www.kwalai.com/index.php?option=com_content&task=view&id=14203&Itemid=49
   LA FRANCE MALHONNÈTE
Auteur : SCOOPY
Date : 13/03/2009 15:45

**** L´arche de Zoé : La Malhonnèteté francaise ****


On sait que la france ne tient jamais parole. C´est "" la championne du monde en malhonnèteté "".
La mentalité et le style francais depuis la nuit des temps est de passer outre sa parole donnée.

Le non versement jusqu´à ce jour de la somme de 6 millons de d´euro aux victimes de l´arche de zoé, ne doit pas surprendre . Seuls naifs s´émeuvent encore devant telle malhonnèteté .

Les citoyens francais sont "" des citoyens rois ""supérieurs et au dessus des lois moribondes africaines comme ils aiment à le dire .
Mais poutant ils ne cessent de se faire tuer et se faire prendre en otage en afganistan et afrique .

Le seul pays qui sait repondre du tac au tac à la malhonnèteté francaise, c´est la chine ( le groupe carrefour est témoin).

La france est une puissance éssoufflée qui ne cesse de s´accrocher comme une sangsue au beefsteack africain .

Qui vivra verra.
   CE QUE NOUS ATTENDONS DU PAPE
Auteur : SCOOPY
Date : 13/03/2009 17:02

**** Ce que nous Attendonons du Pape ****


A la veille de la venue du pape benoit xvi au cameroun, voici ce que nous "" population appauvrie et misérable du cameroun "" attendons du pape benoit xvi :

1- Nous attendons que le pape se prononce sur l´état des droit de "" l´homme au cameroun "".

2- Nous attendons que pape interpelle notre président sur "" l´état de pauvreté et de misère au cameroun "".

3- Attendons également que le pape demande à la france de restituer et de rapatrier les fonds (franc cfa ) des africains bloqués dans "" le compte d´opération "" à la banque de france depuis 1945 .
En ces temps de crise mondiale, nous avons besoin de nos avoirs confisqués par la france pour subvenir à nos besoins vitaux .

Nous voulons mettre fin à cet "" Néoesclavage "" de la France.........!
   PETITION
Auteur : PETITION
Date : 13/03/2009 21:12

Dix ans de sanctions économiques, ça suffit !



Aminata D. Traoré, Jean Ziegler, ...







Plus de 3000 morts et près de 70 000 malades du choléra au Zimbabwe, avec des risques de propagation de l’épidémie aux pays voisins, n'ont donc pas suffi à mettre un terme aux sanctions économiques que la Grande-Bretagne et ses alliés infligent à ce pays depuis la fin de la décennie 90. C'est ainsi que le Conseil de l'Europe, à l'issue de sa session du 26 janvier 2009, a décidé de "proroger d'une année la position commune concernant les mesures restrictives à l'encontre du Zimbabwe". D'une extrême gravité, une telle décision ne peut qu'exacerber une situation déjà caractérisée par un taux de chômage (94%) et d'inflation qui sont les plus élevés au monde, la pénurie alimentaire dont souffrent près de 7 millions de personnes, la déscolarisation des enfants ainsi que la fuite des bras et des cerveaux dont de nombreux enseignants et membres du personnel soignant.




L’unique tort du peuple zimbabwéen, ainsi privé de travail, de revenu, d’eau potable, de soins de santé et de nourriture – condamné, en somme, à une véritable descente aux enfers - est d’être dirigé par Robert Mugabe dont l’éviction a été exigée pendant de longues semaines de campagne de déstabilisation et de diabolisation. L'ancienne puissance coloniale, les adversaires politiques du Président zimbabwéen ainsi que des ONG et les médias dominants l’accusent d’avoir ruiné son pays, de violer les droits de ses concitoyens et de se maintenir au pouvoir par la répression des opposants et la fraude électorale. A défaut de sa démission, le partage du pouvoir avec son principal rival, Morgan Tsvangirai, vient d'être conclu après quatre mois de négociations au cours desquelles le Président du Mouvement pour le Changement Démocratique (MDC) exigeait, en plus du poste de Premier ministre, le contrôle de postes ministériels stratégiques.

Il est heureux que la réunion du 30 janvier 2009 des pays membres de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) ait débouché sur ce dénouement pacifique qui vient de se traduire par la constitution d'un gouvernement d'union nationale avec Morgan Tsvangirai comme Premier ministre. Espérons que le Président Robert Mugabé et la Zanu-PF seront à hauteur d'attente pour que cette crise soit un triste souvenir !

Mais, ce pas important n'est que l'amorce d'un processus de normalisation qui, pour mettre fin au martyre du peuple zimbabwéen, exige la levée immédiate et sans autres conditions des sanctions économiques qui ont largement contribué à plonger l'ancienne Rhodésie du Sud dans une situation aussi calamiteuse. Cette lecture du drame zimbabwéen sous l’angle des mesures punitives qui affament, appauvrissent et tuent des innocents n’exonère en rien le Président zimbabwéen et son parti pour les erreurs qu’ils ont pu commettre. Il s’agit de donner une chance à la paix en mettant en lumière des faits déterminants mais délibérément occultés.

Il faut remonter aux Accords de Lancaster House qui, en 1979, ont mis fin à quatorze années de lutte féroce pour la libération de l'ancienne Rhodésie du Sud des griffes du raciste Ian Smith. Ils ont été signés dans un contexte où quelques 6000 fermiers blancs possédaient plus de 15,5 millions d'hectares sur les terres les plus fertiles du pays. Pendant ce temps près de 4,5 millions de Noirs subsistaient péniblement sur les "terres communales" souvent arides où les colons les avaient confinés un siècle durant. Le consentement entre l'acheteur et le vendeur est l'un des principaux aspects du dispositif qui devait changer cette situation. Dix ans plus tard, elle n'avait pas évolué de manière palpable parce que les fermiers blancs avaient renchéri les prix et ne cédaient que les terres les moins fertiles.

En 1997, le gouvernement de Tony Blair signifia à Harare qu'il ne pouvait plus contribuer financièrement au transfert des terres aux Noirs, comme convenu, en dédommageant des fermiers britanniques qui devaient être expropriés. Le Président zimbabwéen a alors décidé de confisquer, sans compensation, les terres de ces derniers qui ont dès lors promis de faire sa perte. Les sanctions économiques constituent la machine de guerre financière, économique, sociale et politique qui a été déployée en guise de punition par la Grande Bretagne et ses alliés plus particulièrement les USA. Jugeons-en :

- En décembre 2001, le Congrès des Etats-Unis d’Amérique a voté le « Zimbabwe Democracy and Economic Recovery Act » ou loi sur la relance économique et la démocratie au Zimbabwe. Elle comporte entre autres l’opposition des Etats-Unis d'Amérique à tout prêt au Zimbabwe et à l’annulation de sa dette auprès des institutions internationales de financement. Cette loi a largement contribué à plonger le Zimbabwe dans la récession économique et dans une inflation de plus en plus vertigineuse.

- En 2002, l’administration Bush a également mis en place un programme dénommé « Gouvernance et démocratie » doté de 6 millions de dollars destinés à soutenir les opposants (MDC, syndicats, groupes religieux, ONG, médias « indépendants », etc.).

- Au plus fort de la campagne de redistribution des terres, les Etats-Unis s’opposèrent à l’aide du Programme Alimentaire Mondial (PAM) aux Zimbabwéens.

- En 2004, l’administration Bush s’opposa également à l’appui du Fonds Mondial contre le Sida aux malades du Zimbabwe.

- A partir de 2002, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne poussèrent l’Union européenne à prendre des sanctions contre le Zimbabwe, en violation de l’article 98 de l’Accord de Cotonou signé en 2000 entre l’Union européenne et les pays ACP (Afrique, Caraïbe et Pacifique).

- Tous les fonds consentis par différents pays occidentaux à l’éducation, à la santé et à l’assainissement furent suspendus.

Il suffit d’ajouter à ces sanctions les conséquences classiques et désastreuses des programmes d’ajustement (PAS) du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque mondiale (libéralisation, privatisations, bas salaires, détérioration des conditions de vie…) et le cycle plus rapproché des sécheresses pour réaliser les causes profondes de l'enlisement du Zimbabwe. Les autres pays africains n'échappent au même sort que parce qu'ils vivent sous perfusion, alimentés par les financements extérieurs dont ce pays est privé.

Les sanctions infligées au Zimbabwe sont d'autant plus injustifiables qu'elles émanent d'Etats et d'institutions non transparents et non démocratiques dans leurs pratiques en Afrique si nous considérons les règles du commerce mondial, les termes des accords de partenariat économique (APE) ou de réadmission des migrants africains. Ils sont illégitimes parce que non représentatifs des peuples africains dont ils bafouent les droits économiques mais savent instrumentaliser dans la défense de leurs propres intérêts.

Antidémocratiques et meurtrières, les sanctions économiques relèvent par ailleurs de la corruption politique et financière dans la mesure où en sanctionnant les dirigeants qu'ils jugent indésirables, les grandes puissances dissuadent ceux d'entre eux qui seraient tentés de s'écarter de ce que qu'elles considèrent comme le droit chemin.

Galvaudés, instrumentalisés et décrédibilisés, sont la démocratie, les droits de l'homme et la bonne gouvernance, à partir du moment où les puissants qui prétendent en être les garants, les bafouent quand ils ne les transforment pas en redoutables instruments de pression, de domination et de chantage au financement.

Aussi, est-il grand temps de privilégier dans le débat sur le présent et l'avenir de l'Etat postcolonial en Afrique, la question centrale mais souvent occultée du contrôle des richesses et de l'initiative du changement dont la réforme agraire. En plus de la personnalisation à outrance du débat politique, le pays de Robert Mugabé est, sur ce plan aussi, un cas d'école à méditer à l'heure de la ruée des multinationales de tous horizons vers les terres fertiles du continent et du grand bradage au nom de la croissance et du marché-roi.

Alors que le diagnostic de la situation est biaisé et les sanctions économiques meurtrières pour les populations des voix incitent le nouveau Président américain, Barack Obama, à les poursuivre, à son tour. Son « Yes we can », faut-il le rappeler exige un changement radical de regard, de discours et de pratiques en matière de politique américaine en Afrique. Il est de la plus grande importance qu'il joue sur le continent noir comme au Proche-Orient la carte de l’écoute et de la main tendue au lieu de la poursuite de sanctions qui d'une manière ou d'une autre ne sont que violence contre des peuples démunis, désemparés et désinformés.

Il s'agit plus concrètement d'en finir avec la thèse de l'axe du Bien et du Mal de George W. Bush qui a valu au monde l’agression et l’occupation de l’Irak de Saddam Hussein, les attaques barbares et répétées d’Israël contre le peuple palestinien, illustrées par le dernier déluge de feu sur la bande de Gaza. En Afrique, elle passe d'une certaine manière par le Zimbabwe. La mise en lumière des enjeux mondiaux économiques, sociaux, financiers et environnementaux de telle sorte que les Zimbabwéens et les Africains, d’une manière générale, s’engagent dans le jeu démocratique sur des bases autres que l'alternance pour l'alternance et la course aux postes stratégiques est le véritable défi qui devrait interpeller les dirigeants africains, les institutions sous régionales, l'UA et les véritables alliés du continent.

Nous rappelons qu'il est périlleux pour l'Afrique de suivre les conseils des maîtres du monde aujourd'hui embourbés dans une profonde crise, signe de l'échec de leur idéal de société que la moralisation de la sphère financière ne suffit pas à crédibiliser. Quant à la légitimité du pouvoir politique en Afrique, il convient de souligner qu'au-delà des élections qui sont nécessaires, elle réside aussi et surtout dans la volonté et la capacité des dirigeants élus à négocier et à gérer les richesses du continent dans le sens des intérêts de ceux et celles qui les ont mandatés.

Aussi, l'accalmie qui vient d'être obtenue par la SADC doit-elle être érigée en paix véritable pour les Zimbabwéens et pour l'Afrique tout entière en opportunité de jeter un autre éclairage sur les crises, son image habituellement malmenée ayant été considérablement ternie par l'hypocrisie et les mensonges qui prévalent dans l'analyse de la situation de ce pays.

Les intellectuels et les autres acteurs de la société civile critique ainsi que les politiques africains et non africains qui estiment que le continent noir n'est pas une planète à part mais bel et bien le berceau de l'Humanité et partie prenante du capitalisme fou et destructeur doivent contribuer à en déceler et à en démonter les rouages.

Pour donner une chance à une paix véritable et durable au Zimbabwe, nous joignons nos voix à celles des Zimbabwéens qui n’ont que trop souffert, de la SADC et de l'UA et rappelons à la Grande Bretagne, aux USA et à l'UE le coût social et humain exorbitant des mesures punitives infligées à ce pays.

- Nous déclarons que l’eau potable, la nourriture et les médicaments doivent cesser d’être des armes de guerre

- Nous demandons la levée immédiate du blocus qui prive des millions de Zimbabwéens de ces biens indispensables à une existence humaine digne de ce nom.

- Nous considérons qu’il est profondément injuste et irresponsable de suspendre des vies humaines à un accord de partage du pouvoir politique au sommet.

Oui, nous le pouvons ! Il suffit de ne plus confondre les intérêts britanniques, américains et européens avec les droits des peuples zimbabwéen et africains à la terre, la nourriture, l’eau potable, la santé, l'éducation, l'emploi et le revenu.

NOUS SOMMES TOUS ZIMBABWEENS !

Bamako, le 11 février 2009.

Signataires : Aminata D. Traoré (Essayiste, Mali) – Jean Ziegler (Sociologue, Suisse) – Boris Boubacar Diop (Ecrivain, Sénégal) - Mireille Frantz Fanon (Fondation Frantz Fanon) – Diadié Y. Dagnoko (Enseignant, Mali) -Demba Moussa Dembélé (Economiste, Sénégal) – Assetou Founé Samaké (Biologiste, Mali) - Bruno Rebelle - Souleymane Koly (Artiste chorégraphe, Côte d’Ivoire)– Hamidou Magassa (Ecrivain, Mali) – Christian Koné (Journaliste, Burkina-Faso) – Ismaël Diabaté (Artiste-peintre, Mali) – Bibi Diawara (Démographe, Mali) – Lucette et Christian Morillon (LA BRASSAUDERIE 17120 EPARGNES France) – Mamadou Goïta (Socio-économiste, Mali) – Sarah Jane Mellor (Traductrice France/Angleterre) – Moussa Bolly (Journaliste, Mali) – Valerie Ngo Biem (Cameroun) – Jean Michel Naud (Enseignant, France) – Clariste Soh Moube(Cameroun) – Moustapha Diaté (Economiste, Sénégal) – Aziz Coulibaly (Comptable, Côte-d'Ivoire) –Aboubakary Gollock (Eonomiste, Canada) –Amadou Gollock (Consultant, Mali)


Si vous souhaitez prendre part à cette campagne, veuillez le signer en nous communiquant votre nom, profession et adresse à djenneart@afribone.net.ml






   attention
Auteur : Djiegol
Date : 14/03/2009 08:55

Biya jesper ke tu sais ke tu n'es pas imortel. Dc tn jr et tn heure viendra et tu rendra compte a celui ki ta cree. bne chance. repend tw avant kil ne sw trop tard
   LA MASEILLAISE REMIXÉE
Auteur : SCOOPY
Date : 14/03/2009 16:22

***** La Marseillaise Remixée ****


Voilà plutôt comment la france devrait plutôt chanté son hymne national :

Oh enfants de la patrie africaine
nous qui nous devons, l´heure de remboursser est arrivée......

la la la la la la la.....

Ainsi de suite , ainsi de suite.

La france ne veut pas lacher "" le beefsteak africain "" car elle sait qu´elle sera releguer au rang des pays émergeants comme la chine ,l´inde, le brésil.....

La france vit sous "" la perfusion africaine "".....!!
   BIYA LE MADOFF CAMEROUNAIS
Auteur : SCOOPY
Date : 14/03/2009 16:34

>>>>>> Depuis 27 ans, paul biya est le "" MADOFF camerounais "", mais pourtant il est toujours en liberté........
   Paul Biya doit partir
Auteur : Big mamy
Date : 14/03/2009 22:18

Paul Biya assez, tu as déja assuré la descendence de Chantoux, elle a des hôtels particuliers en suisse, à Monaco, en France, donc, laisse la Cameroun tant qu'il est encore tant. Je me demande ce pays avec des coupeurs de route et des bandits qui pourissent la vie des pauvres citoyens. Les bandits ont défoncé la porte de ma mère à 1 heure du matin, ils l'ont sortie du lit, ainsi que mes deux dernières soeurs jumelles de 19 ans et mon neveu, ils portaient des cagoules et avaient de grosses barres de fer, ils ont menacé de tuer ma mère si elle ne leur donnait pas d'argent, ma mère à donné tout ce qu'elle avait (15000cfa) ils ont volé son téléphone portable, les voisins ont alerté la gendarmerie à l'aide de leur téléphone portable dès qu'ils ont entendu le bruit mais jusqu'à ce jour, aucun gendarme n'est passé,. J'en ai ras-le-bol de ce pays ou on les pauvres citoyens ne peuvent plus profiter de leur sommeil.

Y en a marre de ce pays où on ne peut plus voyager quand on veut.

Toujours dans ma famille, mes oncles et d'autres personnes se rendaient à l'ouest pour enterrer un voisin, le convoi a été victime de coupeurs de route vers 2heurs du matin, ceux ci ont même fouillé le mort pour rechercher de l'argent, ils ont dépouillé tous les occupants des voitures de leur portables et de leurs sous. Que font les gendarmes, les polociers et les militaires ?

ASSEZ ASSEZ ASSEZ ASSEZ ASSEZ ASSEZ BIYA MUST GO !!!
   français profiteur vous allez voir
Auteur : nous arrivons français vous allez voir
Date : 22/03/2009 01:33

http://www.camer.be/index1.php?art=5075
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