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Le cas des motos-taxis continue de poser des problèmes | |
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“ Quand on nous demande de libérer la chaussé et les trottoirs, on veut que nous
allons où ? L’espace pour les motos n’a pas été prévu quand on construisait la
ville de Douala ”. Ainsi s’exclamait un conducteur de moto taxi rencontré hier
au rond-point Deido. Garer sur une partie de la chaussée comme beaucoup de ses
collègues, il attendait un éventuel client. Violant ainsi le communiqué du
délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Douala, paru il y a
près de deux semaines dans une édition du quotidien national Cameroon tribune,
demandant aux usagers de libérer la chaussée et les trottoirs. Ce même
communiqué qui figure sur les banderoles affichées sur les différents axes
routiers partant du rond point Deido, pour desservir la capitale économique du Cameroun
est comme resté lettre morte. Car, rien n’a changé dans ce carrefour. Comme
d’habitude, les conducteurs de moto restent stationnés par groupe et réduisent
la chaussée. | |
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Une
situation qui ne satisfait pas les conducteurs de moto. “L’espace que la communauté
urbaine a réservé pour nous là n’est pas bon. Parce qu’il ne peut pas contenir
tous les conducteurs de moto. En plus, tous nous ne pouvons pas garer là-bas
parce que, comme les taxis, les destinations ne sont pas les mêmes”. affirme un
conducteur de moto qui a requis l’anonymat. “ Une moto qui va à Akwa ne peut
stationner là où on charge Bonaberi ou ange Rafaèl et Ndokoti ”. précise-t-il. Source : La Nouvelle Expression | |
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