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Le manque de services sociaux en Afrique

 
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Nyanbock



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MessagePosté le: Tue Sep 25, 2012 4:45 pm    Sujet du message: Le manque de services sociaux en Afrique Répondre en citant

Article intéressant sur le vieillissement de la population pris sur rfi, qui pointe avec justesse le manque de structure sociale, d'établissements pour nos 'vieux'...

http://www.rfi.fr/afrique/20120823-afrique-bientot-confrontee-vieillissement-selon-ined

L'Afrique bientôt confrontée à son vieillissement


Un habitant de Dakar brandissant sa carte d'électeur sénégalais, le 26 février 2012.
REUTERS/Joe Penney
Par RFI
En France, l’Institut national d’études démographiques (Ined) a publié une étude qui montre que le continent africain va devoir relever, dans les prochaines années, le défi du vieillissement. Malgré une population très jeune en Afrique, le nombre des personnes âgées de 60 ans devrait quadrupler d’ici 2050, en raison notamment de l’allongement de la durée de vie et la diminution de la fécondité. L’Afrique va devoir faire face aux questions sociales et aux questions de santé que posera ce vieillissement rapide.

Tout le continent est concerné par le vieillissement des populations mais des écarts existent entre chacun des pays. En Ouganda par exemple, la proportion des personnes âgées est minime mais la fréquence du manque des générations intermédiaires est élevée, du fait du sida mais aussi de la guerre qui a précédé l’épidémie.

Valérie Golaz, démographe à l’Ined, est accueillie en Ouganda par l’Institut de recherche pour le développement (IRD). « Le pays vient d’enchaîner vingt ans de guerre civile et vingt-cinq ans de sida, rappelle-t-elle. Il faut savoir que l’épidémie de sida a été très forte ici dans les années 1990, mais qu’elle n’est pas du tout terminée puisque la prévalence est encore plus ou moins en train de croître à l’heure actuelle. Alors, cela n’a rien à voir avec les pays d’Afrique australe où on est passé de 13% aux environs de 6 ou 7%, mais ça reste présent et il reste une partie des personnes qui ne sont pas traitées, qui ne sont pas déclarées en quelque sorte. Et du coup, les décès et les conséquences sociales de l’épidémie du sida sur les familles restent très prégnants. »

Et Valérie Golaz de continuer : « Dans pas mal de cas, il arrive qu’on trouve des personnes âgées qui, au sein d’une descendance large, n’ont plus que quelques éléments qui ne sont pas forcément ceux sur lesquels elles avaient misé en termes de scolarisation, d’éducation, d’accès à l’emploi. Et donc ce n’est pas forcément les personnes qui peuvent les aider aujourd’hui. »

Valérie Golaz
démographe à l’Ined
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Nyanbock



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MessagePosté le: Tue Sep 25, 2012 4:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
"il est grand temps de prendre conscience que les séquelles de la fuite des cerveaux en Afrique auront un jour plus de conséquences que l’esclavage et la colonization, car si l’Europe et l’Amerique sont connus pour le vieillessement de leur population, l’Afrique elle est entrain de vieillir dans toutes les façades (SIDA, famine, pauvrete, guerres, paludisme, epidemies, coups d’etats, corruptions, injustice, fuite des cerveaux…..) tous les maux sont a notre porte".

la question de double nationalité, réalité ou enjeu politique pour la diaspora? À qui ça profite réellement?

Souvent, il y a des sujets politiques dans lesquels on se lance tout simplement pour provoquer des débats stériles en dilapidant nos verbes et souvent même notre énergie à la recherche d’une solution qui abrite nul autre par que dans notre conscience. On se refuse cette réalité, cette vérité en soi en essayant de faire croire au monde qu’on existe et qu’on s’interesse au développement de notre nation d’une façon ou d’une autre.
la question de double nationalité est devenue une question interessante et pertinante pour la diaspora depuis les remarques du premier minister Hama Amadou qui se pose des questions sur l’essence, l’ethique et la possibilité d’une telle loi au Niger. Depuis, la question de double nationalité est devenue sujet d’actualité sur plusieurs forums de la diaspora, et les questions se posent, à qui ça profite? Pourquoi ne pas tout simplement faire passer cette loi qui permettra aux nigériens de l’extérieur de profiter des deux opportunités?
En réalité, la politique étant tout simplement une école des débats, d’idées, d’échanges et de solutions, la vérité qu’elle contient est tres insignifiante comparée aux mensonges chantés au bas peuple. Dans cette question de double nationalité, le mensonge est double. Et par la diaspora qui en fait un problème et par les autorités qui refusent ou encore demandent un temps de réflexion profond sur la question.
Par essence, et par nature l’homme appartient à sa terre natale de ce fait nous sommes tous nigériens par amour pour la patrie. Il est inné en tout homme de sentir une appartenance, un amour, un profond rattachement aux racines et valeurs de sa terre natale. On peut détenir un passeport américain, français ou chinois lors d’un long séjour dans ces terres, mais en réalité du moment ou on obtient ce passeport, nos ambitions se multiplient entre deux nations différentes, c'est-à-dire de l’a ou on vient et là ou on réside (pays ou on est étranger avant l’obtention du passeport).
Pour beaucoup d’entre nous l’obtention d’un passeport étranger est importante tout simplement pour nous faciliter une intégration et obtenir les opportunités qu’offrent ces terres d’accueil (études, travail, renumerations…). Une fois ces opportunités acquis, cette terre d’accueil devient inconsciemment une maison permanente pour nous mêmes. On se refuse et masque tout simplement cette réalité en disant toujours que je suis là pour un temps et un but bien précis et je retournerai chez moi au pays bientôt.
En toute honnêteté, on finit par se sentir plus a l’aise dans cette terre d’accueil que dans notre pays natal. la preuve est qu'on s’integre,on cherche les papiers de ce pays a tous les coups, on travaille, on se marie, on fonde une famille, on fait venir meme nos parents amis et connaissances pour qu’eux aussi bénéficient des opportunités dont on pense jouir, on s’investit et on cherche un future meilleur pour nous meme et pour nos enfants, car théoriquement, nos enfants nees dans ces pays d’accueil sont en réalité chez eux, mais nous qui sommes leurs parents, on se sentira toujours étranger même après l’obtention d’un passeport a cause de ce rattachement inné que nous avons de cette premiere terre d’ou nous venons. Ainsi se sentiront aussi nos enfants nees a l’étranger une fois dans la terre natale de leurs parents, certes on leur fera croire et comprendre que notre terre natal est la leur aussi, mais en réalité, par essence, chez eux c’est bien là où ils sont nees et grandis.
Plus l’envie de rentrer aux pays nous ronge, le plus les opportunités de cette terre d’accueil nous hantent. Ainsi donc se presente le vrai problème d’intégration ou “la conscience du droit et du devoir”. Dois-je renter ou rester?
Lorsque la question est posée à chacun d’entre nous : “ tu rentres quand ?” la réponse est universelle et instantanée chez tous les étrangers d’un pays. “ ah oui, je rentre bientôt” nous allons tous répondre pareille. Mais en réalité c’est quand bientôt? Dix ans? vingt ans? trente ans? Ou juste des vas et viens entre ici et là-bas?
Finalement, la majorité d’entre nous finissons par rester à l’extérieur même après avoir acquis bagage intellectuel et matériel. Pour beaucoup, l’Afrique ou encore le pays d’origine devient systématiquement un cimetière c'est-à-dire nous acceptons seulement que notre cercueil retourne à la terre natale. Chacun veut mourir chez soi, mais nul ne veut vraiment vivre chez soi. Comme si nous avons cette chance de programmer notre mort. “I don't want To die here” comme disent les etrangers aux États-Unis. Théoriquement chacun veut rentrer chez soi, mais en réalité et en pratique c’est tout simplement nos corps qui finissent par atterrir en Afrique. Il faut attendre que la personne soit tres tres malade, fatiguee et vieille pour afin songer a rentrer chez soi, et comme on le dit “Mieux vaut mourir aupres des siens”. Très rare sont ceux qui rentrent au bercail avec leur force physique et intellectuelle, d’autres se sentent obliger de le faire par contrainte ou desespoir. En un mot on consacre notre vie a l'étranger et notre mort en Afrique.
Pour beaucoup d’entre nous qui font du débat de la double nationalité un sujet épineux, en réalité peu sont les Nigériens qui rentrent au pays pour servir la nation, malgré les multiples diplômes accumuler à l’étranger. Beaucoup d’entre nous aspirent à un poste politique ou à un gros salaire pour servir le pays. de ce fait très profondément la question qui doit etre posee n’est pas celle de la double nationalité, mais plutôt celle des opportunités que nous offre le pays.
Dans la diaspora nigérienne aux États-Unis dont j’appartiens se trouve un bon nombre d’enseignants, médecins, docteurs journalistes et fonctionnaires d'État…qui ont quitté le pays pas par manque de patriotisme ou nationalisme, mais tout simplement par manque d’opportunité au Niger. Le pays est en risque nous nous disons, alors il faut tout simplement sortir, quitter.
Très sincerement, même avec cette double nationalité, la majorité d’entre nous refuserons un retour au bercail, ils prefereront rester tenter et re-tenter encore “leur chance” malgré leurs diplômes alors que le pays a besoins d’eux. On peut se refuser cette triste réalité et faire semblant de défendre l’idée du vrai patriote derrière le rideau, par nos doleances et autre debats et justifications politiques mais au fond de nous-mêmes, nul où disons peu sont partant quand il s’agit de servir le pays avec un salaire de base. Telle est la realite de l’africain a l’etranger en general.

D’autre part, le gain du dollar et l’opportunité d’emplois qu’offrent des pays comme les USA sont l’une des choses qui ont fini par gagner notre conscience, de ce fait impossible pour moi détenteur d’un Master ou un Bachelor en économie dans une université américaine de travailler pour un salaire de base au Niger. Il me sera preferable de gagner ma vie ici en tant que taximan, pompiste, agent de sécurité… que d’aller enseigner au Niger ou travailler dans une institution locale du pays afin de mettre en valeur mon savoir. Au fond telle est la triste réalité qui a gagne la conscience de la diaspora. On peut continuer à se faire une telle idée autant qu’on voudra, mais qu’on ne cree pas un problème de double nationalité alors qu’il n’existe pas où disons qu'il n'est pas de si grande importance pour la diaspora, il faut tous simplement en faire un debat politique peut être pour attirer les attentions.
Les mensonges perdureront, les débats s’enflammeront, la loi passera et l’histoire retiendra sans doute les noms et les actions de ces vaillants patriotes qui chantent double nationalité, double nationalité.
Avec ou sans cette double nationalité, il est grand temps de prendre conscience que les séquelles de la fuite des cerveaux en Afrique auront un jour plus de conséquences que l’esclavage et la colonization, car si l’Europe et l’Amerique sont connus pour le vieillessement de leur population, l’Afrique elle est entrain de vieillir dans toutes les façades (SIDA, famine, pauvrete, guerres, paludisme, epidemies, coups d’etats, corruptions, injustice, fuite des cerveaux…..) tous les maux sont a notre porte.
Alors, que cette question de double nationalité ne freine guere nos ambitions à vouloir servir notre nation à notre façon, etant sur place ou non, nous avons tous un devoir envers notre chere patrie le NIGER. Et comme l’a si bien dit le président américain Kennedy “ Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande-toi ce que tu peux faire pour ton pays”

commentaire de MAHAMANE DANSOUNSOU ZOUBAIR

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amatoyoshi
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MessagePosté le: Tue Sep 25, 2012 5:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

As-tu lu ce commentaire au préalable avant de le rapporter ?
Il est tout simplement à côté du sujet principal. Il s'agit de traiter du problème du vieillissement programmé de la population africaine et ce Mahamane Dansounsou Zoubair parle de fuite de cerveau, de double nationalité, des liens de la diaspora nigérienne avec leur pays, des devoirs de cette dernière. Bref hors sujet.

S'agissant du sujet du vieillissement de la population, il faut quand même prendre en compte le fait que le modèle social et familial en Afrique est très éloigné du modèle des pays occidentaux. Cet éditorialiste s'exprime comme s'il semble oublier cela. Pour l'instant en tout cas et si cela reste ainsi, il n'y a pas forcément à s'inquiéter du vieillissement de la population en termes de prise en charge. Et même d'un point de vue démographique, il n'y a pas vraiment à s'inquiéter car le renouvellement des générations est encore très bien assuré. la clé de la démographie africaine est bien sa jeunesse.

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Nyanbock



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MessagePosté le: Tue Sep 25, 2012 5:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
cependant, contrairement à de nombreux pays développés, les nations africaines ne sont en général pas particulièrement bien équipées pour faire face à l'augmentation du nombre de personnes âgées.
Les principales préoccupations concernent les prestations de santé et les retraites.
Dans une grande partie de l'Afrique, les gouvernements dépensent beaucoup moins d’argent sur les soins de santé que dans la plupart des pays développés. En 2005, 48 des 54 pays africains ont consacré en moyenne moins de 26 dollars EU par habitant aux soins de santé. En revanche, les Africains ont tendance à régler directement leurs factures d'hôpital et de consultations médicales ; la même année, les ménages en Afrique ont dépensé plus de 58 dollars EU par habitant....


Citation:
En en Afrique, beaucoup de personnes âgées sont accablées par le fardeau de la garde des enfants, dont les parents ont été emportés par le VIH-Sida. Le rapport cite des statistiques de l'UNICEF selon lesquelles plus de 50 pour cent des orphelins en Afrique vivent avec leurs grands-parents, dont un grand nombre ont des revenus limités et précaires.


Citation:
ls ne sont pas nombreux les Africains âgés pouvant compter sur une pension de retraite, même modique. Le rapport indique : « Les régimes de retraite contributifs couvrent très peu de personnes, en raison du caractère informel de la plupart des emplois et des sources de revenus. la plupart des entreprises sont à prédominance rurale, et une grande partie de la population travaille en dehors de la sécurité qu’offre le secteur formel salarial. »
En outre, note le rapport, les gouvernements africains ont tendance à ne pas prêter une grande attention à la question du vieillissement de la population. L'attention a été détournée, dit-il, par d’autres problèmes démographiques plus urgents et plus pressants.
Ces problèmes comprennent la rapidité de la croissance démographique, se traduisant par un nombre élevé de jeunes et de chômage dans ces tranches d’âge, ainsi que les taux importants de mortalité infantile et maternelle, et la croissance de la population urbaine...


http://www.afdb.org/fr/news-and-events/article/more-and-more-africans-are-growing-old-but-face-uncertain-future-reports-afdb-8568/
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MessagePosté le: Tue Sep 25, 2012 5:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

amatoyoshi a écrit:
As-tu lu ce commentaire au préalable avant de le rapporter ?
Il est tout simplement à côté du sujet principal. Il s'agit de traiter du problème du vieillissement programmé de la population africaine et ce Mahamane Dansounsou Zoubair parle de fuite de cerveau, de double nationalité, des liens de la diaspora nigérienne avec leur pays, des devoirs de cette dernière. Bref hors sujet.

S'agissant du sujet du vieillissement de la population, il faut quand même prendre en compte le fait que le modèle social et familial en Afrique est très éloigné du modèle des pays occidentaux. Cet éditorialiste s'exprime comme s'il semble oublier cela. Pour l'instant en tout cas et si cela reste ainsi, il n'y a pas forcément à s'inquiéter du vieillissement de la population en termes de prise en charge. Et même d'un point de vue démographique, il n'y a pas vraiment à s'inquiéter car le renouvellement des générations est encore très bien assuré. la clé de la démographie africaine est bien sa jeunesse.

AS,
a.m.D.g.


C'est vrai qu'il va en vrille avec ses propos mais ce que je tire de la c'est que si tout le monde s'en va (fuite de cerveau...) qui va donc rester pour développer l'Afrique, pour mettre en place un système pour s'occuper des vieux, et il note avec raison que lorsque nous rentrons c'est souvent les 2 pieds devant, rare sont ceux qui retournent quand ils sont encore jeunes

Oui le modèle familial en Afrique est différent de celui de l'occident mais plus pour longtemps, déjà que l'on adopte de plus en plus la structure papa, maman et les enfants, et de moins en moins on consent a s'occuper de nos parents préférant les envoyer au village
maintenant pour rejoindre encore les propos du commentaire, l'Afrique fait face a de multiples fléaux qui déciment la jeune population en question, je regardais encore aujourd'hui les statisques sur l'espérance de vie en Afrique (56-60)ans, combien de parents enterrent leurs enfants? combien d'ainés voient leur cadets partir avant eux?

le problème demeure quand meme, il n'y a pas de structure sociale en Afrique pour les vieillards
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