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meb
Bérinaute Vétéran


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MessagePosté le: Fri Jan 23, 2009 7:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Présentation du programme économique et social (9)

II.H. Privatisation et renationalisation

Contrairement à ce que le FMI nous a seriné, les privatisations ne sont pas la panacée. Certaines privatisations ont marché, d’autres pas, et l’Etat a montré dans quelques cas qu’il était capable de gérer aussi bien que les investisseurs privés.
Avant tout il convient de savoir que les privatisations sont recommandées par les institutions libérales parce qu’on considère généralement d’une part que l’Etat n’est pas assez bon gestionnaire (lourdeurs administrative, sécurité de l’emploi qui n’incite pas à une optimisation des performances) et d’autre part que l’état en tant qu’acteur distord nécessairement la concurrence.
Les Etats quant à eux acceptent ces privatisations car ils subissent ces pressions et veulent se débarrasser de véritables gouffres financiers d’autre part.
Nous postulons que aucun acteur privé qui rachète une entreprise publique ne le fait dans l’optique de perdre de l’argent. Pour cela il prend des réformes pour rendre la structure plus efficace. Nous disons donc :

1) Nous créerons un organisme public qui agira comme un investisseur privé. Une espèce de SNI qui prendra des parts dans diverses sociétés et même rachètera les sociétés actuellement publiques.

2) Les salariés de ces entreprises n’auront plus la garantie de l’emploi, tout comme ceux du privé et seront jugés avec les mêmes grilles que les salariés du privé

3) la gestion de ces entreprises utilisera les outils les plus modernes de la gestion d’entreprise

de cette manière l’Etat dégagera des bénéfices, à la place de actionnaire privée qui aurait rachetée l’entreprise. Nous n’ignorons pas que cela pourrait entraîner des licenciements. a ceux qui me reprocheraient de renvoyer des Camerounais, je répondrais que nous ne pouvons pas tolérer des gouffres financiers sans réaction. RESPONSABILITE. Si donc l’état ne doit pas être celui qui prend des mesures, ce sera un privé. Résultat, les mêmes Camerounais seront au chômage, mais les bénéfices n’iront pas à l’Etat.
Comme vous le voyez, je ne crie pas à la renationalisation de toutes les compagnies, mais j’appelle à plus de discernement et en la croyance des capacités de l’Etat.

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MessagePosté le: Fri Jan 23, 2009 7:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant


Présentation du programme économique et social (10)


II.I. Logement

la politique du logement sera l’un des points principaux de notre politique. Quand nous parlons de logement, nous parlons de logements sociaux. En effet ce sont les revenus les plus modestes. En effet, ce sont ces personnes qui habitent dans des constructions totalement anarchiques. C’est cet état de fait qui fait que quand l’on décide de rendre un aspect esthétique à la ville, ça entraîne des casses et des familles se retrouvent à la rue. Il faut que les grandes cités retrouvent un aspect agréable à l’œil, mais il est indispensable que les familles ainsi déplacées habitent dans des logements dignes et décents. C’est pour cela que :

1) Nous construirons des logements à loyers modérés : Immeubles et pieds à terre. Selon les plans d’urbanisation des grandes cités, pour une meilleure harmonisation du paysage.
2) Ces logements seront attribués selon les revenus : Nous voyons ici l’importance de bien connaître les revenus des citoyens. Attribués selon les revenus signifient que les revenus doivent être suffisamment bas pour être prioritaire pour ces logements sociaux, mais suffisamment élevés pour s’acquitter régulièrement de son loyer.

3) Une part de ces logements sera réservée aux étudiants dans les villes étudiantes.

4) Les loyers de ces habitations seront étudiés pour être suffisamment bas pour que les couches les moins aisées y aient accès, mais suffisamment haut pour leur entretien et le remboursement de leur construction sur une échéance bien plus longue que la normale. En effet, dans le loyer d’une habitation, entre en compte la durée au bout de laquelle le propriétaire veut être remboursé. Nous triplerons cette durée pour ces logements, diminuant ainsi drastiquement les loyers.

5) Ces logements ne seront pas tous construits au même endroit de manière à ne pas créer des ghettos. Les constructeurs auront pour consigne de favoriser la mixité.

6) Les appels d’offres seront confiés en priorité à des entrepreneurs camerounais, selon les règles édictées plus haut. En priorité mais pas nécessairement.

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MessagePosté le: Fri Jan 23, 2009 7:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Présentation du programme économique et social (11)

II.J. Bilan financier de toutes ces mesures

Ici, nous faisons le bilan financier de notre politique économique. Nous faisons beaucoup de remises fiscales aux entreprises notamment ou aux agriculteurs. Aucune de ces remises ne coûtera de l’argent à l’Etat. la remise des charges individuelles pour lutter contre le chômage ne coûtera rien, puisque le total des perceptions augmentera, le nombre de chômeurs diminuera et cela coûtera moins au système de santé que nous mettrons en place. la même chose pour les agriculteurs, ou pour l’aide à la création d’activité. Idem pour les réductions de droits de douanes pour les NTIC par exemple.
Par contre, ce qui aura un coût direct (compensé par les effets bénéfiques de toute nos mesures économiques) sera la construction des infrastructures routières hospitalières, scolaires, l’établissement du système de santé solidaire (voir programme de santé), la gestion de l’armée, l’aide initiale aux sports (voir programme des sports) et à la culture (voir programme de la culture).
Mais ce sont là des investissements indispensables qui concourront au Cameroun que nous voulons.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

Eliet a écrit:
Comment favoriserez vous la consommation?

Pour qu'une economie tourne,il faudrait inciter les gens a consommer soit en octroyant les credits a la consommation par exemple.

Au quel cas, comment inciterez vous les banques a octroyer ces credits? comment protegerez vous les banques qui se risqueraient a le faire quand on sait que les kmers sont des feymans?


Comme vous avez donc pu le voir dans mon programme économique, mon plan pour que l'économie tourne n'est pas uniquement centré sur la consommation, mais aussi sur l'investissement.
Toutes les mesures favorisant ,l'investissement l'attestent. Concernant la consommation, la lutte contre le chômage, la facilitation de l'iniative privée, le système de santé et d'attribution de logements sont autant de facteurs censés générer moins de dépenses directes pour les Camerounais, et donc plus d'argent pour consommer.

Je tiens aussi à rappeler que la solution que vous proposez (crédit de consommation) révèle de nombreux inconvénients
- On peut octroyer un crédit à quelqu'un, mais comment va t'il rembourser si il n'a a pas d'activités génératrices de revenus. la crise actuelle si j'ai bonne mémoire est en grande partie due à ça.
- L'état n'a a pas à intervenir dans le travail et l'appréciation des banques. Elles doivent être responsable de ce qu'elles font. (en rappelant néanmoins que pour les gros projets d'investissement, l'État pourra accompagner ces indispensables crédits)
- Une fois le crédit obtenu, que consommeront les citoyens si tous les produits sont importés?

Donc comme vous voyez, la clé pour moi est dans l'investissement, l'entrepreneuriat et le volet social.

Merci

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (1)

III.a. Corruption + contrôle des règles.


Nous l’avons dit précédemment, la corruption est l’un des plus grand fléau de la société. C’est aussi le cas sur le plan de la santé dans la mesure où elle distrait les fonds mobilisés pour l’amélioration globale du niveau de la santé, et augmente le coût de revient des traitements pour les usagers. Nous avons tous en exemple où l’on exige aux citoyens un surplus pour pourtant exécuter ce pour quoi l’on est payé.

1) Suivi des règles de lutte anti corruption
Les mesures que j’ai précédemment énoncées sur la lutte contre la corruption (plan sociétal) seront donc d’une acuité décisive ici.
Néanmoins dans le milieu hospitalier il convient en outre de s’assurer qu’un certain nombre de règles garantissant la santé des patients sont respectées.

2) Respect des règles sanitaires

Nous mettrons tout en œuvre pour prévenir la rupture du suivi des règles sanitaires élémentaires. a titre d’exemple je pourrais citer se laver efficacement les mains entre chaque intervention, ne serait ce que pour la suture de simples plaies, utiliser des gants pour cela ; ou comme autre exemple, changer scrupuleusement de seringues pour chaque piqûre. Certains personnels hospitaliers ne le font pas pour réaliser des économies (on commande ce qu’il faut, mais on utilise moins qu’il n’en faut, la différence va dans la poche). Les moyens que nous utiliserons seront préventifs (communication au public et au personnel hospitalier), mais aussi répressifs. Là encore nous compterons sur le soutien de la population

3) Respect du cycle de vie des médicaments.
Il peut arriver que la date de péremption des médicaments soit passée. Les personnes chargées de les écouler se retrouvent alors bien embêtées, que ce soit les pharmaciens ou les personnels des hôpitaux. la tentation devient alors forte de continuer à les fourguer. C’est là une des sources majeures d’approvisionnement des vendeurs à la sauvette de médicaments au « gazon » par exemple. Ceci est dangereux pour la santé de nos concitoyens et ne peut donc pas durer. Là encore nous emploierons la double arme prévention répression. Et dans la répression, nous n’hésiterons pas à infiltrer les filières pour remonter aux sources d’approvisionnement de ces vendeurs.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:12 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (2)



III.B. Maillage par les infrastructures régionales

L’un des chantiers importants de mon premier mandat (rassurez vous je n’en prévois pas une infinité), sera la construction de suffisamment d’infrastructure pour que notre territoire soit entièrement maillé. Pour cela quelques règles simples seront employées.
1) Maillage du territoire en pôles
S’assurer que pour tous les 50.000 camerounais on retrouve un pôle hospitalier. C'est-à-dire un pôle avec tous les services de base (maternité, pédiatrie, traumatologie, urgences, médecine générale, dentisterie, etc.). Cette politique consommera bien évidemment des fonds. Et le but n’est pas de la rendre nécessairement rentable ou équilibrée financièrement. Le chiffre de 50 000 étant une moyenne nationale.

2) Décentralisation des pôles en région urbaine
En région urbaines, et puisque tous les soins ne nécessitent pas la grosse artillerie, nous encouragerons la décentralisation des pôles au moyen de dispensaires de proximité pouvant traiter les problèmes mineurs (a priori) et ne nécessitant pas forcément la présence d’un médecin. En cas de problèmes graves détectés, l’acheminement sera vers fait vers l’hôpital principal du pôle. Un système de transport efficace entre entités d’un même pôle sera assuré pour le déplacement des médecins, des infirmiers ou des patients les plus graves.

3) Décentralisation des pôles en région rurale
Les régions rurales reprendront le même système qu’en région urbaine. Cependant il faut ajouter que les régions rurales sont en général des agglomérations de petits villages séparés les uns des autres par quelques kilomètres, avec parfois des moyens de transport inexistant. Il convient donc d’introduire, dans un souci d’équité, en plus des simples dispensaires, des spécialités dans chaque point délocalisé. Le système de liaisons par transport entre les points sera ici primordial.

4) Sensibilisation des personnels en formation aux disparités selon les régions
Les jeunes en formation dans les écoles de médecine ou d’infirmières auront plusieurs stages à faire dont au moins un de trois mois dans des régions rurales ou moins développées (à faible IDH donc) pour qu’ils s’imprègnent du fait qu’ils auront aussi à travailler ailleurs qu’à Douala ou à Yaoundé. Cela ne sert en effet à rien de construire des centres de santé dans les villages et qu’aucun médecin ne veuille y travailler.

5) fidélisation du personnel en régions rurales ou moins développées.
Pour donc conserver les médecins mutés dans ces régions, les salaires seront indexés sur l’IDH, ainsi, à compétences et expérience égales, un médecin sera plus payé à Yokadouma qu’à Douala. Les installations d’accueil de ces personnels seront bien sûr comprises dans les infrastructures des pôles hospitaliers. Nous parviendrons ainsi, nous le pensons à faire que les médecins respectent leur affectation, et prennent ainsi leur part activement au développement desdites régions.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:13 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (3)

III.C. Système de veille basée sur les régions

Ce maillage sera aussi la clé pour servir de veille sanitaire. Les épidémies d’Ebola, de tuberculose, de choléra (qui a encore frappé le Cameroun il y a quelques années) ont la fâcheuse propension à se propager. Pour con tenir les foyers, le maillage dont j’ai parlé plus haut sera primordial. Ainsi dès lors que sur le plan local, une maladie semblable sera détectée, la remontée de l’information se fera plus rapidement. Le chef du dispensaire contactera le pôle dont il dépend qui pourra recouper avec ses autres dispensaires puis faire remonter l’information au niveau régional, puis au niveau national. de ce fait les mesures de réaction seront plus rapides et mieux ciblées, de manière, non seulement à empêcher la propagation des maladies, mais aussi à sauver les vies des personnes déjà atteintes.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (4)

III.D. Passerelles pour recruter des médecins compétents expatriés.

Nous sommes sans ignorer la présence de nombreux Camerounais exerçant à l’étranger ou étrangers attirés par le Cameroun, face selon eux au manque de perspective dans leur pays. Nous voulons leur redonner ces perspectives en levant les barrières à leur motivation. Pour cela
1) suivi des étudiants
Les ambassades auront pour consigne de répertorier les étudiants en médecine, de manière à les sensibiliser à un retour, avec notamment pré embauche pour les plus motivés.

2) Aides à la création de cliniques.
Les expatriés, mais aussi les locaux qui créeront des cliniques auront une réduction fiscale dépendant des prix pratiqués et de l’IDH de la région. Plus les prix seront bas, plus y aura d’aides et moins l’IDH sera élevé, plus il y aura d’aide.

3) Encouragement à un engagement partiel.
Pour les médecins qui ne souhaitent pas s’établir de manière exclusive au Cameroun, mais qui souhaitent travailler ponctuellement au Cameroun pourront bénéficier de la domiciliation fiscale au Cameroun, de manière à payer globalement moins d’impôts que dans les autres pays où ils travaillent. Il suffira donc de vivre moins longtemps que ce qui est requis ailleurs (la moyenne est de 6 mois) au cours d’une année.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:16 am    Sujet du message: Répondre en citant


III. Santé (5)

III.E. Acquisition de compétences à partir des contrats de partenariats.


Dans la signature des contrats avec des puissances internationales, et ce quelque soit la nature des contrats, le Cameroun a vocation à demander des contre parties pour défendre au mieux les intérêts de la nation.

1) Evaluation des potentialités
Nous disons que nous évaluerons les spécialités des pays avec lesquelles nous discutons. Tel pays est célèbre pour l’organisation de son système de santé, tel autre pour la chirurgie cardiaque, tel autre pour la traumatologie, etc. Cette évaluation sera systématique dans les discussions

2) Appropriation des compétences
Une fois ces compétences identifiées, nous choisirons dans quelles mesures elles peuvent être intégrées à l’ensemble des contreparties que nous exigerons. Cela permettra d’amener progressivement notre système de santé aux standards internationaux, tout en tenant compte des spécificités locales.

Les mesures énoncées sont bonnes, mais ne prennent en compte qu’un pan du problème, à savoir amener les infrastructures et les moyens de soigner les gens au mieux dans toute l’étendue du territoire. Mais une fois ces moyens à disposition, il reste bien évidemment à savoir comment les citoyens pourront s’offrir la santé, donc à voir dans quelle mesure nous pouvons réduire les coûts.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (6)

III.F. Système de remboursement selon les revenus


1) Nous mettrons en place un système de remboursement des frais médicaux (consultation, hospitalisation, etc…) pour les enfants et les personnes du troisième âge.

2) Les remboursements des soins engendrés pour les enfants se feront selon le revenu des parents. Nous rappelons que dans le programme économique, nous avons indiqué comment nous contrôlerons les revenus. Sera considéré comme enfant, toute personne en dessous de 15 ans, car c’est en dessous de cet âge que les individus sont le plus fragiles.

3) Le remboursement des personnes du troisième âge se fera en fonction de leurs revenus (retraites, activités professionnelles). Seront incluses dans ce troisième âge, toutes les personnes ayant atteint l’âge légal de la retraite.

4) Le remboursement dépendra du coût des soins : Plus il sera élevé, plus la part de l’état sera élevée.

5) la part remboursée ne sera jamais de 100%. Il est important que chacun participe pour avoir une idée du coût total et de l’effort de l’état.

6) Une partie du financement de ce système proviendra directement des impôts.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

III. Santé (7)

III.G. Réduction des coûts des médicaments

Un autre levier sur lequel nous devrons jouer est le prix des médicaments. Hélas il est parfois suffisamment élevé pour encourager les usagers à aller s’approvisionner au « gazon ». Nous proposons donc d’agir au niveau des pharmacies

1) introduire des médecins dans les pharmacies pour pouvoir faire des consultations rapides sur place, réduisant ainsi le coût total pour les patients, qui pour les cas pas trop graves pourront zapper l’étape hôpital, et ainsi dépenser un peu moins. Je me suis déjà exprimé sur les avantages qu’ils auront à se réunir ainsi.

2) Aider les pharmaciens à respecter les règles
Il faut savoir que les pharmaciens se plaignent actuellement du fait que les contrôles fiscaux sont faits sur de longues échéances, laissant ainsi la voie à de possibles erreurs, et donc à des sanctions beaucoup plus fortes en cas de redressement. Les contrôles seront donc systématiquement annualisés dans la profession, pour que en intégrant ce changement dans leur planification, ils puissent revoir


3) Médicaments génériques
Nous mettrons tout en œuvre pour la promotion des médicaments génériques, d’aussi bonne qualité et moins chers que les médicaments de grandes firmes. Promotion aussi bien au niveau des médecins prescripteurs, des pharmaciens que des patients.

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MessagePosté le: Mon Jan 26, 2009 11:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

à suivre, l'enseignement
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MessagePosté le: Fri Jan 30, 2009 5:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le programme sur l'enseignement est reporté à Lundi
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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Programme sur l'enseignement et l'éducation (1)

de même que la santé, l’enseignement est la base de ce qui pourra permettre aux citoyens de donner le meilleur d’eux-mêmes afin de mettre le Cameroun sur la voie du succès. Il convient donc d’identifier avec précision les problèmes présents et potentiels, et de proposer des solutions pour y remédier.
Tout d’abord nous sommes forcés de faire un constat quant au niveau de la qualité de l’éducation qui est transmise ET RECUE par les élèves et étudiants du Cameroun. Pour cela, il faut évidemment comparer avec les pays étrangers. Avant donc cette comparaison, il convient de dire que j’entends par éducation ce qu’un élève ayant accès à l’éducation et ayant compris et assimilé ce qu’on lui enseignait (ayant eu le bac par exemple ou passé en classe supérieure). On exclut donc de cette définition les élèves n’ayant pas accès à l’école ou n’ayant pas compris.
Passons donc à la comparaison. Je crois que personne n’a jamais entendu dire qu’un Gabonais ou un Tchadien ou un guinéen est venu faire le bac au Cameroun car c’est trop difficile dans son pays. Au contraire, ce sont les Camerounais qui vont dans ces pays en quête de facilité. de même, pour les Camerounais venant poursuivre leurs études que ce soit avant, juste après le bac ou en plein milieu du cycle universitaire en occident, le niveau théorique des disciplines n’a rien d’insurmontable (quand il n’est carrément pas trouvé plus aisé). Ces réflexions m’amènent donc à la conclusion qu’il faut amener l’éducation présente (avec quelques modifications que j’expliciterai) de manière efficace vers le maximum de personnes possibles dans l’étendue du territoire. C’est cet objectif qui guidera mes propositions, de même qu’une plus grande professionnalisation des parcours.

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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Programme sur l'enseignement et l'éducation (2)

IV.a. Infrastructures et accès à l’éducation (traditions empêchant les filles d’accéder à l’école)

1) maillage du territoire
Comme pour la santé, la priorité sera donnée à la construction d’infrastructures sur toute l’étendue du territoire de manière à apporter l’éducation à proximité des populations. Les gouvernements précédents ont il est vrai entrepris ce maillage, mais une infrastructure c’est à la fois sa création mais aussi et surtout son entretien. Nous n’avons qu’à voir le sort réservé aux écoles construites par la collaboration avec le Japon. L’école partout signifiera donc « ECOLE CONSTRUITE ET EN BON ETAT ». Ce point est surtout important pour

2) fidélisation du personnel :
Evidemment, et comme pour les propositions sur la santé, il conviendra, et c’est crucial dans les zones les plus défavorisées, rurales le plus souvent. Les salaires des personnels éducatifs seront donc indexés sur les IDH. En plus nous aiderons les communes à imaginer des solutions pour fidéliser les enseignants : logements, etc…

3) Levée des autres blocages sociétaux
Parmi les points qui empêchent l’accès à l’éducation, on rencontre aussi certains blocages sociétaux : a savoir le poids des traditions, empêchant notamment les filles d’accéder à l’école ou de poursuivre des études supérieures (obligation de mariages, etc…). Pour cela, l’école sera obligatoire jusqu’à 15 ans (le temps que les élèves accèdent à une maturité d’esprit) et donc le travail des enfants pendant les périodes scolaires sera tout simplement interdit (beaucoup de familles recueillent un enfant pour le faire travailler, les coutumes qui n’envoient pas les enfants à l’école les gardent pour travailler), le contraire étant sévèrement puni. Coutume ou pas, la loi sera appliquée (avec notamment beaucoup de sensibilisation). Pour les plus de 15 ans, nous rappelons que nous avons indiqué que nous lutterons contre les traditions castratrices, par de la sensibilisation, l’incitation et la répression en dernier recours.

4) Identification des différences privé/public

Nous constatons, principalement dans les grandes métropoles, la préférence pour les établissements privés. Celle-ci provient du fait que à tort ou à raison, des maux sont attribués au public, ce qui fait que le public (encore une fois dans les grandes métropoles surtout) est vécu comme le lieu où viennent ceux qui n’ont pas les moyens d’aller dans le privé de qualité. Que lui reproche-t-on à ce public comparativement au privé ? Le manque de moyens qui entraîne des classes surpeuplées et des installations insuffisantes, la non disponibilité des professeurs (années blanches vues) qui entraîne une incertitude sur l’apprentissage. Ceci étant valable à tous les niveaux (primaire, secondaire et supérieur). Les solutions à cela sont donc
- Une plus grande responsabilisation des professeurs sur leur présence. Ceci passe par des sanctions plus sévères et systématiques en cas d’absence injustifiées et par un dialogue social efficace permettant de prévenir les revendications importantes.
- Une augmentation des capacités actuelles des lycées et universités réduire le nombre d’élèves par classe et faciliter l’apprentissage. Ceci passe évidemment par le recrutement en conséquence d’enseignants. Nous sommes conscients du potentiel manque de place, surtout dans les grandes métropoles urbanisées, c’est pourquoi en cas de besoin, des annexes (un peu l’équivalent du dispensaire dans les pôles de santé).
Le privé devra bien sûr se conformer à la législation en cours en matière de méthode et de programmes. Et les établissements clandestins seront fermement combattus (comme nous sommes portés à croire que c'est le cas aujourd'hui)

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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Programme sur l'enseignement et l'éducation (3)


IV.B. Primaire

1) gratuité de l’école publique

la première mesure sera d’assurer la gratuité de l’école publique. Elle existe théoriquement, mais est empêchée par la corruption. Nous mettrons en place les règles que nous avons définies pour lutter contre la corruption (programme sociétal)

2) participation aux fournitures


Comme pour le système de santé et de logements sociaux, l’état, étant donné l’importance de la question fera un effort inversement proportionnel aux ressources des parents dans l’acquisition des fournitures des élèves du primaire (maternelle aussi) public.

3) fondamentaux

Nous n’avons pas pour vocation d’intervenir dans le programme éducatif (ayant en plus fait le constat qu’il était plutôt bon), mais nous affirmerons la vocation de l’école primaire de poser les bases des individus à travers l’éducation civique (important vu les réformes sociétales que nous proposons), les mathématiques et le calcul, les langues (orthographes et grammaire), l’initiation aux sciences et aux activités sportives.

4) passerelles entre les deux systèmes anglophone et francophone

Contrairement à certains qui voudraient fusionner les deux systèmes, je pense qu’il faut garder la spécificité camerounaise à la fois anglophone et francophone. Mais dans l’objectif de meilleure intégration qui est le notre, il est bon que les francophones fassent un peu plus d’anglais qu’actuellement et les anglais un peu plus de français. Le contenu des programmes devant être les mêmes pour les matières non littéraires (Sciences, Hist Géo, etc.). Nous devons aussi favoriser des passerelles entre les systèmes. Pour cela, des stages forcés (pour ceux qui veulent passer d’un système à l’autre) pendant les périodes de vacances scolaires seront obligatoires pour passer d’un système à l’autre, de manière à s’assurer que le niveau de langue requis est suffisant. Nous continuerons aussi l’initiative existante de lycées bilingues, par des lycées carrément anglophones en zone francophone et vice versa.

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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Programme sur l'enseignement et l'éducation (4)

IV.C. Secondaire

1) gratuité des lycées publics

la première mesure sera d’assurer la gratuité du lycée public. Elle existe théoriquement, mais est empêchée par la corruption. Nous mettrons en place les règles que nous avons définies pour lutter contre la corruption (programme sociétal)


2) orientation mieux faite

Comme nous l’avons dit dans notre intervention sur le chômage, l’une des clés de résorption est une meilleure orientation vers les filières porteuses. Et ceci dès le lycée avec une meilleure information des citoyens notamment.

3) Investissements dans les travaux pratiques (concrétisation de la théorie)

la grande différence qu’il ya entre notre enseignement, et l’enseignement occidental est l’absence de pratique. Ainsi on peut être bon en chimie organique (bonnes notes) sans avoir fait une réaction, ou en physique sans la moindre manip. Nous sommes conscients que nous ne pourrons certainement pas équiper tous les lycées, c’est pourquoi nous proposons deux choses : la création pour les moyennes agglomérations d’un centre de la pratique où les différents outils nécessaires (PCs, matériels de chimie, physique, biologie, etc…) seront disponibles. Plusieurs établissements dépendant de ce centre. Ces établissements mettront en accord leurs emplois du temps pour que leurs élèves s’y succèdent. Ainsi tout le monde aura une pratique minimale, surtout dans les matières scientifiques à moindre frais pour l’état. de plus pourront participer à leur financement, les PME désireuses de réaliser tel ou tel travail expérimental simple. Nous encouragerons aussi le secteur privé (diaspora, collèges) à investir dans ce genre de matériel au moyen d’avantages fiscaux.

4) Enseignement plus libre de l’histoire de la colonisation et de la décolonisation

Nous avons dit que nous n’interviendrons pas sur les programmes, mais il sera important de lever les blocages qui ont empêché un réel apprentissage de l’histoire du Cameroun (Colonisation mais aussi et surtout décolonisation). D’une manière générale, les enseignants de ce genre de matières auront une plus grande liberté dans le choix des programmes.

5) pratique de l’anglais en zone francophone plus intensive (passerelles entre les deux systèmes)

de même qu’au primaire, les passerelles entre les deux systèmes seront encouragés, avec notamment au l’encouragement pour les lycéens à passer au moins un trimestre dans un lycée anglophone. Les élèves du privé devront aussi le faire, en plus de la conformité au système (à savoir plus d’anglais dans les programmes en zone francophone) s’ils veulent avoir la certification des deux systèmes.

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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Programme sur l'enseignement et l'éducation (5)


IV.D. Supérieur

1) Adéquation des formations au marché de l’emploi

Comme détaillé dans les propositions sur le chômage, il conviendra de réaliser cela pour avoir des filières plus performantes et professionnalisantes. Nous rappelons que le nombre d’étudiants par filière sera alors limité en fonction des débouchés de la filière.

2) Encouragement de la pratique.

Comme pour le secondaire, ceci sera encouragé, notamment avec au sein de chaque université un centre de la pratique (qui pourra d’ailleurs servir aux lycées de l’environnement).

3) Encouragement de la recherche

Dans la politique industrielle, nous avons souligné l’effort pour l’innovation que nous entreprendrons. Cela, ainsi que les deux précédentes mesures devraient permettre à nos universités de disposer de plus de ressources pour une recherche efficace et productrice. Les collaborations avec les grandes universités mondiales seront aussi encouragées, notamment au niveau de la signature d’accords internationaux (comme pour la santé).

4) Raffermissement des contacts avec l’entreprise

Les contacts entre le monde de l’enseignement supérieur et l’entreprise seront encouragés. Les étudiants auront donc plus de stages à effectuer, et les entrepreneurs siègeront plus volontiers dans les CA des universités pour notamment donner leur avis sur les méthodes et les contenus des enseignements.


5) Ouverture du mécénat.


Le mécénat, comme source de financement des universités, sera encouragé. Il pourra être par l’octroi de bourses aux meilleurs d’un établissement (comme Papa Eto’o l’a fait récemment) ou par le financement (ou la participation au financement) d’une discipline, ou encore la participation à la construction d’infrastructures.

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MessagePosté le: Mon Feb 02, 2009 2:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

a suivre les institutions et la gestion de l'état
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MessagePosté le: Thu Feb 05, 2009 11:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis ravi de voir que le ministre des finances camerounais a lu mes propositions économiques et annonce un virement de cap. Nous avons là un soutien de poids.

Citation:

Ce programme économique réclamé depuis plusieurs années par les opérateurs économiques, devrait, a indiqué le ministre des Finances, prendre en compte les besoins les plus cruciaux du pays. Selon les commentaires effectués hier autour de ce projet par Essimi Menyé, l'on peut subodorer qu'il aura pour socle l'augmentation des productions agricoles et industrielles du pays. "Depuis la dévaluation du francs Cfa en 1994, de combien de tonnes a-t-on augmenté la production de cacao au Cameroun? la pauvreté s'est aggravée parce que la population augmente pendant que la production stagne. Il faut encourager les jeunes à suivre des formations techniques. Il faut que les doigts des Camerounais soient comme ceux des Chinois. Les investisseurs vont en Chine parce que les ouvriers chinois sont formés. Ils sont aujourd'hui à une croissance économique de 8%. Avant ils étaient à 11%", s'est laissé allé Essimi Menyé.

http://www.quotidienmutations.info/fevrier/1233789708.php
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