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afreaka
Bérinaute Vétéran


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MessagePosté le: Wed Dec 07, 2011 11:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

panafricain a écrit:
Mbindaman a écrit:

Il a présenté son projet à Micro$oft. Je ne serais surpris si dans quelque mois on voit apparaît du matériel similaire dans les hôpitaux occidentaux. À l'heure où nos diplômes sont dévalués, voici la preuve matérielle qu'ils ne sont pas en carton.


Mbinda Man, chaque année il existe des camerounais ayant school au cameroun qui entrent à Polytechnique, Centrale etc, mais ça ne veut pas dire que le niveau de formation au Cameroun est bon. Mon père donnait des cours à l Essec il y a quelques années, et me disait que le niveau moyen des étudiants était mauvais. J'ai fait un tour sur un campus universitaire à Dla il y a quelques années. J'ai vu les conditions dans lesquelles les étudiants suivaient les cours, c'était chaud.

Croire que chez nous les étudiants sont aussi bien formés qu'en Asie, aux Usa, ou en Occident, c'est se mettre le doigt dans l'oeil. ça ne signifie pas qu'il n'y a pas de bons étudiants chez nous mais le système n'est pas d'assez bonne qualité pour qu'en moyenne, l'étudiant camerounais de l'enseignement supérieur soit compétitif vis à vis d'étudiants asiatiques et autres. Il me semble que l'éducation constitue le premier poste du budget du cameroun chaque année, mais ça ne suffit pas...

+N
L'infrastructure est hyper importante dans l'education...
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brig
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MessagePosté le: Wed Dec 07, 2011 11:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

afreaka a écrit:
brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.

il y'a le classement des 100 tops universites en afrique, il y'a des polytechs dedans la seule camer c yaounde 1 , 89 eme je crois donc il ne faut pas prendre l'orgueil national pour des faits... L'un des facteurs de ce classement est justement la recherche.


je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....
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Haroun
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MessagePosté le: Wed Dec 07, 2011 11:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
afreaka a écrit:
brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.

il y'a le classement des 100 tops universites en afrique, il y'a des polytechs dedans la seule camer c yaounde 1 , 89 eme je crois donc il ne faut pas prendre l'orgueil national pour des faits... L'un des facteurs de ce classement est justement la recherche.


je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....


Toi tu te bases sur quoi pour dire que Polytech est une école de premier rang ? Quels sont tes critères à toi ?

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afreaka
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MessagePosté le: Wed Dec 07, 2011 11:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
afreaka a écrit:
Donc en fait il a reproduit ce qui se fait deja dans les hopitaux occidentaux et l'a integre a une tablette!??

Je suis comme mon fendeur, j'ai du mal a voir l'innovation Shocked


si je me rappelle, il a été nominé pour avoir un prix " d'innovation" étant en concurrence avec les étudiants des plus grandes écoles de ce monde. et il failli gagner .si je me fie au expert et au jury de ce concours, il s'agit bien d'une innovation. de nos jours en génie, les inventions partant de 0 n'existe quasiment plus. l'innovation est le résultat d'une opportunité d'idées.
ce petit a eu une idée de génie à laquelle aucun autre étudiant ou diplômés des grandes écoles de monde n'a eu. c'est un pur produit de poly de Ydé.

c'est quoi ce prix MONDIAL?? Shocked
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brig
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:04 am    Sujet du message: Répondre en citant

Haroun a écrit:
brig a écrit:
afreaka a écrit:
brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.

il y'a le classement des 100 tops universites en afrique, il y'a des polytechs dedans la seule camer c yaounde 1 , 89 eme je crois donc il ne faut pas prendre l'orgueil national pour des faits... L'un des facteurs de ce classement est justement la recherche.


je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....


Toi tu te bases sur quoi pour dire que Polytech est une école de premier rang ? Quels sont tes critères à toi ?

H.a.R. Cool

ne noie pas une école dans un classement universitaire.....si polytech est affilié à l'uni de ydé, elle ne pourra que ce trouvé à ce rang, vu la réputation de l'uni. je me base sur ce que j'ai lu une fois dans un jeune afrique....
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Haroun
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tu ne m'as pas répondu. Afreaka donne un classement, tu le réfutes. Je demande sur quoi toi tu te bases, sur quels critères ?

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EL OMBRE
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

...

Dernière édition par EL OMBRE le Sun Sep 16, 2012 9:33 pm; édité 1 fois
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brig
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:11 am    Sujet du message: Répondre en citant

afreaka a écrit:
brig a écrit:
afreaka a écrit:
Donc en fait il a reproduit ce qui se fait deja dans les hopitaux occidentaux et l'a integre a une tablette!??

Je suis comme mon fendeur, j'ai du mal a voir l'innovation Shocked


si je me rappelle, il a été nominé pour avoir un prix " d'innovation" étant en concurrence avec les étudiants des plus grandes écoles de ce monde. et il failli gagner .si je me fie au expert et au jury de ce concours, il s'agit bien d'une innovation. de nos jours en génie, les inventions partant de 0 n'existe quasiment plus. l'innovation est le résultat d'une opportunité d'idées.
ce petit a eu une idée de génie à laquelle aucun autre étudiant ou diplômés des grandes écoles de monde n'a eu. c'est un pur produit de poly de Ydé.

c'est quoi ce prix MONDIAL?? Shocked


Reconnaissance
Le directeur technique de Microsoft Afrique centrale, Alain Sosso, a rendu visite à ce jeune inventeur à l’Ensp il y a quelques mois. Il confie que c’est un projet intéressant pour le Cameroun et l’Afrique. Il lui a prodigué quelques conseils pour améliorer son projet. « Il faut intégrer à Cardiopad une intelligence d’acquisition. Qu’elle soit analogique ou numérique. On doit pouvoir à terme se libérer de la contrainte d’un cardiologue », a-t-il conseillé. En clair, le système doit enregistrer systématiquement le diagnostic et les prescriptions faites par le cardiologue pour un type de fréquence X. de telle sorte que lorsque le Cardiopad détecte à nouveau les mêmes fréquences cardiaques X chez un autre patient, il puisse être à mesure de dire que pour ce type de données, le cardiologue Y avait fait tel diagnostic et prescrit tel médicament. Ce que Arthur Zang a noté. « Ce n’est pas impossible, rassure-t-il, nous avons les capacités de le faire et nous allons le faire. Pour l’instant, l’objectif c’est de résoudre le problème de distance et nous allons évoluer graduellement vers cela.»

Présenté à la compétition internationale Imagine Cup 2011 aux Etats-Unis, ce projet, explique Fatimatou Sow, responsable des relations publiques de Microsoft Afrique, a été retenu premier dans la catégorie Développement embarqué. la compétition réunissait les meilleures écoles des pays avancés en matière de technologie tels que la Corée du Nord, le Japon, l’Inde, la Chine ou encore les Etats-Unis. Mais, parce qu’il n’a pas eu de challengers dans cette catégorie en Afrique, il n’a pas été choisi pour la finale. Car il faut absolument un concours régional pour être sélectionné, explique Arthur Zang. En effet, les Africains engagés dans cette compétition avaient tous choisi la catégorie conception logicielle, moins compliquée que sa catégorie. 100 000 dollars étaient en jeu.

le reste de l'article ici:
http://www.quotidienlejour.com/double-page-/portraits/8125-genial-arthur-zang
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brig
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:13 am    Sujet du message: Répondre en citant

EL OMBRE a écrit:
brig a écrit:

je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....


Polytech est une école intégrée au sein d'une université: Université de Yde 1.

.

Ce n'est pas une "école isolée". la plupart des classements d'écoles prennent en compte la recherche. a mbeng, nombreuses sont les écoles de renom qui sont intégrées dans des universités: INP Grenoble; INP Toulouse, UTC...Les écoles isolées s'associent entre elles pour notamment partager des domaines de recherche "on dira, partager des labo, pas seulement des étudiants". C'est le sens du projet ParisTech qui à terme veut ressembler à des structures comme le M.I.T.


je sais et c'Est pour cela que j'ai demandé de faire attention à ces classement ce n'est pas toujours représentatif de ce genre d'école affiliée....
c'est affilié à l'uni de ydé , mais son fonctionnement et sa structure sont indépendants
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Haroun
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
EL OMBRE a écrit:
brig a écrit:

je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....


Polytech est une école intégrée au sein d'une université: Université de Yde 1.

.

Ce n'est pas une "école isolée". la plupart des classements d'écoles prennent en compte la recherche. a mbeng, nombreuses sont les écoles de renom qui sont intégrées dans des universités: INP Grenoble; INP Toulouse, UTC...Les écoles isolées s'associent entre elles pour notamment partager des domaines de recherche "on dira, partager des labo, pas seulement des étudiants". C'est le sens du projet ParisTech qui à terme veut ressembler à des structures comme le M.I.T.


je sais et c'Est pour cela que j'ai demandé de faire attention à ces classement ce n'est pas toujours représentatif de ce genre d'école affiliée....
c'est affilié à l'uni de ydé , mais son fonctionnement et sa structure sont indépendants


Brif, pour la dernière fois, donne moi tes éléments pour parler du niveau de Polytechnique.

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Haroun
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
afreaka a écrit:
brig a écrit:
afreaka a écrit:
Donc en fait il a reproduit ce qui se fait deja dans les hopitaux occidentaux et l'a integre a une tablette!??

Je suis comme mon fendeur, j'ai du mal a voir l'innovation Shocked


si je me rappelle, il a été nominé pour avoir un prix " d'innovation" étant en concurrence avec les étudiants des plus grandes écoles de ce monde. et il failli gagner .si je me fie au expert et au jury de ce concours, il s'agit bien d'une innovation. de nos jours en génie, les inventions partant de 0 n'existe quasiment plus. l'innovation est le résultat d'une opportunité d'idées.
ce petit a eu une idée de génie à laquelle aucun autre étudiant ou diplômés des grandes écoles de monde n'a eu. c'est un pur produit de poly de Ydé.

c'est quoi ce prix MONDIAL?? Shocked


Reconnaissance
Le directeur technique de Microsoft Afrique centrale, Alain Sosso, a rendu visite à ce jeune inventeur à l’Ensp il y a quelques mois. Il confie que c’est un projet intéressant pour le Cameroun et l’Afrique. Il lui a prodigué quelques conseils pour améliorer son projet. « Il faut intégrer à Cardiopad une intelligence d’acquisition. Qu’elle soit analogique ou numérique. On doit pouvoir à terme se libérer de la contrainte d’un cardiologue », a-t-il conseillé. En clair, le système doit enregistrer systématiquement le diagnostic et les prescriptions faites par le cardiologue pour un type de fréquence X. de telle sorte que lorsque le Cardiopad détecte à nouveau les mêmes fréquences cardiaques X chez un autre patient, il puisse être à mesure de dire que pour ce type de données, le cardiologue Y avait fait tel diagnostic et prescrit tel médicament. Ce que Arthur Zang a noté. « Ce n’est pas impossible, rassure-t-il, nous avons les capacités de le faire et nous allons le faire. Pour l’instant, l’objectif c’est de résoudre le problème de distance et nous allons évoluer graduellement vers cela.»

Présenté à la compétition internationale Imagine Cup 2011 aux Etats-Unis, ce projet, explique Fatimatou Sow, responsable des relations publiques de Microsoft Afrique, a été retenu premier dans la catégorie Développement embarqué. la compétition réunissait les meilleures écoles des pays avancés en matière de technologie tels que la Corée du Nord, le Japon, l’Inde, la Chine ou encore les Etats-Unis. Mais, parce qu’il n’a pas eu de challengers dans cette catégorie en Afrique, il n’a pas été choisi pour la finale. Car il faut absolument un concours régional pour être sélectionné, explique Arthur Zang. En effet, les Africains engagés dans cette compétition avaient tous choisi la catégorie conception logicielle, moins compliquée que sa catégorie. 100 000 dollars étaient en jeu.

le reste de l'article ici:
http://www.quotidienlejour.com/double-page-/portraits/8125-genial-arthur-zang


Hmmmmm...

Plus flou il n'y a pas.

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afreaka
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
Haroun a écrit:
brig a écrit:
afreaka a écrit:
brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.

il y'a le classement des 100 tops universites en afrique, il y'a des polytechs dedans la seule camer c yaounde 1 , 89 eme je crois donc il ne faut pas prendre l'orgueil national pour des faits... L'un des facteurs de ce classement est justement la recherche.


je ne met pas en douce ce que tu dit. il faut faire attention avec ces classements. tu parle du classement universitaire. polytech est une école...
de plus il faut voir les critères dont on a tenu compte pour effectuer ce classement....


Toi tu te bases sur quoi pour dire que Polytech est une école de premier rang ? Quels sont tes critères à toi ?

H.a.R. Cool

ne noie pas une école dans un classement universitaire.....si polytech est affilié à l'uni de ydé, elle ne pourra que ce trouvé à ce rang, vu la réputation de l'uni. je me base sur ce que j'ai lu une fois dans un jeune afrique....

Si polytech est affiliee a Yaounde I et Yaounde I n'occupe pas un rang honorable, on doit donc conclure que logiquement Polytech n'est pas dans la creme des universites en afrique comme tu le pretend...
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Haroun
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'aurais tendance à être d'accord avec Afreaka. Une mauvaise école peut se retrouver affiliée avec un groupe de niveau plus élevé, mais l'inverse est plus difficilement concevable.

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afreaka
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 12:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Voici le classement:
http://www.webometrics.info/top100_continent.asp?cont=africa
Yaounde est 83eme!!!
voici un autre:
http://www.abroadeducation.com.np/learn-about/top-african-universities.html
et dans le second por que Bri ne nous parle pas d'ecole Ecole Superieure Privee D'ingenierie Et de Technologies en Tunisie est 50eme! aucune ecole ou universite camer n'y figure...
les deux classements sont courants...
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 1:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.

Si tu pouvais nous sortir un classement des écoles en Afrique, ce serait bien. Car connaissant le Cameroun, l'enseignement n'est pas bon.
Je me rappelle encore d'un de mes prof en Anglais qui avait dit à mes parents que l'anglais qu'on nous apprend au Cameroun, c'est du n'importe quoi.
C'est quand je suis arrivé en mbeng, que j'ai vu ce que c'est que l'anglais. Ce que j'avais appris au Cameroun était la blague.
a quoi ça sert d'apprendre des réactions chimiques, dessiner un montage d'estérification si on ne sait même pas à quoi ça ressemble ???
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panafricain



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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 1:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

brig a écrit:
@panafricain
si tu as l'occasion un jour, va faire un tour à polytech de ydé la prochaine fois et reviens nous dire si c'Est tant à craindre.... c'est encore une bonne école de génie en Afrique. ça n'a rien à avoir avec l'ESSEC ou U de Douala. même le CUSS n'est pas pire. on a vu des gens sortir de là et aller poursuivre leur spécialisation en suisse , France sans passer par une mise à niveau. je rejoins mbindaman sur ses propos. même certaines école privées de génie n'ont rien en envier à certaines écoles en France j'ai dans mon entourage au moins une personne qui est directement entré en master dans une grande école de France ou une autre personne qui s'est vue crédité quasiment tous ses cours lors son inscription ici en génie.


J'ai dit dans mon post qu'il y avait de bons étudiants au cameroun et que tous les ans il y en qui entrent dans les meilleurs écoles étrangères. Seulement le système éducatif camerounais est déficient, et en moyenne les étudiants camerounais sont bons qu'ailleurs (Asie, Usa, Europe).

J'ai trouvé un article sur les écoles d'ingénieurs en France. Apparemment il y en a 200.

http://www.lemonde.fr/orientation-scolaire/article/2011/03/09/devenir-ingenieur-cinq-ans-de-formation-200-grandes-ecoles_1489852_1473696.html

Devenir ingénieur : cinq ans de formation, 200 grandes écoles
pour Le Monde.fr | 09.03.11 | 18h37

"Après le bac, j'ai choisi d'entrer dans une prépa classique, au lycée François-Ier du Havre, raconte Paul Vigreux, actuellement en première année du cycle ingénieur à l'Université de technologie de Troyes (UTT). Assez vite, j'ai réalisé qu'il n'y avait pas suffisamment d'ouverture sur le monde du travail et sur les applications pour que je sois suffisamment motivé pour tenir deux années sur ce mode. Mes bons résultats m'ont permis d'intégrer la seconde année de classe prépa intégrée de l'Insa de Rennes. Mais là, il n'y avait pas de contrôle continu, je n'arrivais pas à trouver mes marques. Et finalement, l'année suivante, j'ai repris une seconde année à l'UTT, où j'ai trouvé un juste milieu qui me convient mieux."

Pas évident pour un lycéen de faire son choix parmi les quelque 200 écoles d'ingénieurs françaises habilitées par la CTI (Commission des titres d'ingénieur), qui se caractérisent par leur diversité, en termes d'admission, de pédagogie et de spécialisation. Un bon tiers dépend des universités auxquelles elles sont rattachées, les autres sont sous la tutelle de différents autres ministères et, pour une petite part, privées.

PRÉPA : la VOIE ROYALE

la voie royale, celle qui donne accès aux écoles les plus prestigieuses comme Polytechnique, Centrale Paris, les Arts et Métiers ParisTech ou l'Ecole des ponts ParisTech, passe par les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE), qui se déroulent sur deux années. Si elle est encore majoritaire parmi les 700000 ingénieurs français, la proportion issue de classes préparatoires est en baisse constante: 52% en 2009, contre 53,4% en 2008.

Elles donnent accès à des concours communs à plusieurs écoles. Par exemple, les concours communs polytechniques qui permettent de postuler dans 33 écoles, le concours commun Mines Ponts qui regroupe, lui, 10 écoles ou encore le concours e3a rassemblant 64 établissements. "C'est du classement aux concours que dépend l'accès aux meilleurs établissements. Les élèves n'accèdent donc pas toujours à l'école qu'ils souhaitaient intégrer initialement", rappelle utilement Jean-Michel Nicolle, directeur de l'EPF, une école de la région parisienne, accessible elle dès le bac.

a TOUS LES NIVEAUX

Certains établissements comme le réseau des écoles nationales d'ingénieurs (ENI) de Brest, Metz ou Blois et les cinq instituts nationaux des sciences appliquées (Insa) recrutent directement après le bac. Si ces derniers ne sont pas encore aussi cotés que les écoles post-prépa les plus renommées, ils ne sont pas loin derrière. la formation y dure cinq ans, avec deux ans de classes préparatoires "intégrées".

la prépa intégrée, c'est ce qu'a également choisi Pierre Lecathelinais, 27 ans, diplômé de l'Ecole supérieure de chimie organique et minérale (Escom) de Compiègne, aujourd'hui ingénieur d'affaires chez Assystem: "Durant les deux premières années, les enseignements sont sensiblement identiques à celles que des prépas classiques, mais les cours sont davantage orientés vers les applications. J'ai aussi apprécié de faire un stage dès la première année, ce qui n'est pas le cas en prépa classique". Autre différence: le contrôle continu, qui valide une acquisition progressive des connaissances.

Certaines écoles recrutent à bac+1. Dans ce cas, la sélection est ouverte aux élèves ayant suivi une première année de classe préparatoire ou une première année de licence. Enfin, il est également possible d'entrer dans la plupart des écoles avec un diplôme de niveau bac+2, par exemple un BTS ou un DUT, mais aussi une licence ou une première année de master par le biais des admissions parallèles.

D'AUTRES CRITÈRES de CHOIX

Côté finances, à l'inverse des écoles de commerce, de nombreuses écoles d'ingénieurs sont publiques et sont donc, pour une part, financées par l'Etat. Les frais d'inscription, identiques à ceux des universités, avoisinent les 600 euros. En revanche, dans les établissements privés, l'éventail des tarifs est très large, jusqu'à 6000 euros par année d'études. Dans la plupart d'entre eux, il existe des dispositifs (bourses, aides) destinés à prendre en charge, au moins en partie, les frais de scolarité des étudiants les plus modestes. Et lorsqu'une partie des études se déroule à l'étranger, les étudiants peuvent aussi bénéficier d'aides, par exemple d'une bourse Erasmus.

la plus ou moins grande spécialisation des écoles est également à prendre en compte. Nombreuses sont en effet celles qui affichent leur caractère généraliste, tout en offrant une large palette d'options ou de dominantes dans des domaines spécifiques. "a l'Université de technologie de Troyes, si le cursus dure cinq ans en continu – il ne s'agit pas d'une prépa intégrée puis d'un cycle d'ingénieurs de trois ans –, on construit son parcours à la carte, en choisissant parmi de nombreuses UV qui façonnent un cursus d'ingénieur adapté à un projet professionnel. Il peut être complété par des cours dans des domaines autres que la technologie, comme le théâtre ou l'économie", explique Christian Lerminiaux, son président.

D'autres, au contraire, forment d'emblée des professionnels pour des secteurs d'activité particuliers. C'est le cas de l'école spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l'industrie (ESTP), de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (Isae) ou de l'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen). Des écoles qui s'adressent à ceux dont la vocation est déjà bien affirmée.

de PLUS EN PLUS INTERNATIONALES

Aussi diverses soient-elles, les écoles d'ingénieurs possèdent également de nombreux points communs. Le premier, et non le moindre, est la qualité de leur formation, reconnue par la Commission des titres d'ingénieur (CTI). Composé de professionnels de l'industrie, de représentants des associations d'ingénieurs et du monde académique, cet organisme veille au respect d'un cahier des charges très précis concernant les moyens matériels, la qualité de l'encadrement, les liens avec les entreprises, les compétences scientifiques et professionnelles des diplômés, l'ouverture internationale ou encore la démarche d'amélioration continue. Des experts auditent régulièrement les écoles avant de leur accorder une habilitation pour une durée maximale de six ans.

Autre caractéristique, l'internationalisation des parcours. Toutes les écoles affichent des partenariats avec des établissements étrangers, dans lesquels les étudiants peuvent ou doivent effectuer une partie de leur cursus. Les stages hors de nos frontières sont également encouragés. à Centrale Paris, par exemple, impossible d'obtenir le diplôme sans une expérience minimale de six mois à l'étranger. Idem par exemple à l'ENSEEITH de Toulouse, où une mobilité internationale d'au moins dix semaines est exigée. À l'école des Arts et Métiers-ParisTech, il est possible de passer un semestre ou une année dans l'une des 100 universités partenaires.

Certains établissements proposent même un double diplôme à l'issue de cette période à l'étranger. Une ouverture qui répond d'ailleurs aux attentes des employeurs. "L'accent mis sur l'international correspond à l'évolution de la plupart des entreprises, où les projets sont de plus en plus transnationaux et sur lesquelles travaillent des équipes multiculturelles", remarque Stéphane Dahan, directeur du développement des ressources humaines de la SSII (société de service et d'ingénierie informatique) Alten. "Cette ouverture s'illustre aussi par le développement de l'accueil de professeurs et d'étudiants étrangers", complète Julien Roitman, président du Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France (CNISF).

de PLUS EN PLUS PROFESSIONNALISANTES

Le souci de professionnaliser les étudiants est tout aussi partagé, d'où des stages qui ponctuent chaque année d'étude. Classiquement, la première année se conclut par un stage ouvrier, la seconde par un stage ingénieur et la dernière, par un stage de fin d'études de plusieurs mois. Accentuer les efforts en matière de recherche est encore une démarche commune. "Il est indispensable de maintenir l'effort dans ce domaine, note Marc Houalla, directeur de l'école nationale de l'aviation civile (Enac) de Toulouse. Ce sont les chercheurs qui indiquent les voies à suivre et permettent d'introduire de l'innovation dans les enseignements". Autre intérêt pour les écoles : les projets de recherche confiés par les entreprises constituent des sources de financement non négligeables. Sans oublier que les activités de recherche, en particulier les publications, constituent un des critères des classements internationaux.

Autre marque de professionnalisation des cursus, les écoles d'ingénieurs s'engagent dans l'apprentissage depuis une dizaine d'années. Pionnières, les formations dites "ingénieurs en partenariat" (FIP) sont une soixantaine et recrutent principalement, sur entretien ou concours, des titulaires de BTS, DUT, voire licence (plus rarement des bacheliers). Timide au début, le mouvement s'est amplifié rapidement, puisque, aujourd'hui, 12% des ingénieurs de moins de 30 ans sont passés par cette voie. "C'est un choix qui n'est pas seulement financier. Il me semblait plus motivant d'acquérir des compétences que je pourrais mettre immédiatement en œuvre en entreprise", raconte Charline Platel, 23 ans, étudiante à l'école supérieure d'ingénierie et travaux de la construction (ESITC).

Dans ce domaine, les établissements ont chacun leur approche: les apprentis ne se voient pas toujours remettre le même diplôme que ceux de la filière classique. "L'apprentissage induit une spécialisation, explique Alain Jeneveau, responsable du bureau formation de la CTI. Ce qui explique que certaines préfèrent décerner un diplôme spécifique la mentionnant."

QUE VALENT LES ÉCOLES SANS LABEL?

Epitech, Supinfo, Ipsa, Epsi, Insia, In'Tech Info … un certain nombre d'écoles, notamment en informatique, ont bien des caractéristiques d'écoles d'ingénieurs mais n'en sont pas, faute d'habilitation par la Commission des titres d'ingénieur (CTI). de ce fait, elles ne sont pas autorisées à délivrer le "titre d'ingénieur diplômé". Quelles sont les raisons de cette absence d'habilitation? Certaines d'entre elles, comme Supinfo et l'Institut supérieur d'informatique appliquée (Insia), assurent ne pas rechercher cette reconnaissance. D'autres, au contraire, souhaitent rejoindre le cercle des formations estampillées CTI mais ne satisfont pas aux critères requis, qu'il s'agisse de la sélectivité des étudiants, du nombre d'enseignants permanents ou de la qualité des moyens pédagogiques. Souvent, le label leur est refusé parce qu'elles se concentrent sur l'employabilité à court terme de leurs élèves, ou que leurs enseignements sont trop spécialisés.

Pour autant, certains de ces établissements sont appréciés des entreprises et offrent des débouchés intéressants. "la pédagogie de l'Epitech est différente de celle des écoles d'ingénieurs “classiques”. Nous ne partons pas des principes mais de la pratique. Le projet est à la source de l'apprentissage ", commente ainsi Fabrice Bardèche, vice-président exécutif du groupe Ionis, dont fait partie aussi bien l'Epitech que des écoles d'ingénieurs estampillées CTI, telles l'Epita ou l'ESME Sudria. Et rien n'empêche les employeurs de recruter leurs diplômés à des postes d'ingénieur. Dans tous les cas, avant de s'inscrire, mieux vaut se pencher sérieusement sur le contenu de la formation, la durée des stages, la qualité des partenariats internationaux ou encore l'insertion professionnelle des anciens.

TOUJOURS UNE BONNE INTÉGRATION SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL

S'ils restent les enfants gâtés du marché de l'emploi, les ingénieurs ne sont pas épargnés par la crise, dont les effets sont ressentis fortement dans certains secteurs de l'industrie: en 2009, 48000 ingénieurs ont été recrutés, contre 72000 l'année précédente. "En 2008, 56% des débutants avaient trouvé un poste avant même l'obtention de leur diplôme, constate Julien Roitman. En 2009, ils n'étaient plus que 43%. Et plus de six mois après leur sortie de l'école, il y en avait encore 18% qui cherchaient toujours un employeur, alors que, l'année précédente, ils n'étaient que 10% dans cette situation". Mais la situation est contrastée: dans certains secteurs, par exemple le nucléaire, la pénurie se fait toujours ressentir.

Côté secteur d'activité, les jeunes ingénieurs ont toujours l'embarras du choix: si les SSII embauchent près de 15% d'entre eux, les opportunités sont aussi du côté du bâtiment et des travaux publics, de l'énergie, des transports (automobile, aéronautique et spatial, ferroviaire), des télécommunications et même de la finance et des assurances. D'une année à l'autre, il n'y a pas de changement en ce qui concerne les premiers emplois occupés: 84% des jeunes diplômés font leurs premières armes dans des fonctions techniques. Près de la moitié d'entre eux débutent dans des fonctions liées aux études, à la recherche et à la conception. Et ils sont 22% dans la production ou dans les fonctions connexes (maintenance, gestion de la production, achats, etc.). Une première étape avant d'évoluer vers le management ou l'expertise, les deux grandes filières s'offrant aux ingénieurs.

"Les ingénieurs? Ils représentent 70% de nos recrutements, commente Ève Royer, responsable des ressources humaines d'Assystem, groupe spécialisé dans l'ingénierie et l'innovation. Intervenant dans l'aéronautique et le spatial, l'énergie et le nucléaire ou l'automobile, nous apprécions autant les profils généralistes, dont les compétences sont transversales et polyvalentes, que ceux qui sont plus spécialisés et qui développent une expertise dans un domaine particulier. Mais, si le diplôme garde évidemment son importance, au moment de l'entretien de recrutement, c'est la personnalité et la motivation qui font la différence."

Cet article est issus du hors série du Monde " Le Guide des grandes écoles " que vous pouvez acheter sur la boutique en ligne du Monde (9,90 euros)

Jean-Marc Engelhard
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MessagePosté le: Thu Dec 08, 2011 6:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

@Afreaka et Ifunanya

Je crois qu'I'll faut mettre un peu d'eau dans votre vin parceque vous avez presque verses dans des generalisations exagerees concernant le sponsor des etrangers aux USA. Ce qui n'est pas tres objectif.

Comme a dit foxy ceux qui font ou ont fait dans le domaine des sciences, techonologie, ingenierie et maths ne sont pas tres restreint, et ont plus d'opportunites.

la demande pour des gens specialises dans ces domaines continue d'etre elevee. Le seul vrai frein a cet acceleration est le mauvais etat de l'economie. Ca ne veut pas necessairement dire qu'ils sont tous sponsorises, mais le pourcentage n'est pas aussi maigre que le 1% d'Afreaka.
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Elan D'Anjou De PimPim



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MessagePosté le: Sat Dec 10, 2011 5:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

FF a écrit:
Dans un monde franco-français,
voici le cursus des présidents

IIIe république
Paul Doumer (du 13 juin 1931 au 7 mai 1932) est reçu au baccalauréat ès-sciences. Il entre dans l'enseignement comme répétiteur et obtient une licence de mathématiques en 1877 et une licence en droit en 1878.

Donc il est Juriste mbom ! Ca confirme ce que je dis !


Citation:
VIe république,
Vincent Auriol (du 16 janvier 1947 au 16 janvier 1954) passe avec succès le baccalauréat de lettres classiques en 1902.

Oui, sauf que ce que tu oublies de dire c'est qu'il est aussi licencié en droit en 1905, puis docteur en droit, il a exercé la profession d'avocat à Toulouse. Donc il est juriste mbom, Ca confirme ce que je dis !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Auriol


Citation:
René Coty (du 16 janvier 1954 au 8 janvier 1959) obtient un double baccalauréat en sciences et en lettres en 1899, avec la mention bien. En 1902, il obtient une licence en droit et une licence en lettres et philosophie à l'université de Caen.

Donc il est juriste mbom ! Ca confirme ce que je dis !

Citation:
Ve république,
Georges Pompidou (du 20 juin 1969 au 2 avril 1974) obtient son baccalauréat à Albi, puis il rejoint Paris où il effectue ses classes préparatoires au Lycée Louis-Le-Grand. Il est ensuite reçu à l'École Normale Supérieure en 1931, puis il sera reçu premier à l'agrégation de lettres en 1934.

Donc c'est un littéraire mbom ! Ca confirme ce que je dis !


Citation:
François Mitterrand (du 21 mai 1981 au 17 mai 1995) obtient son baccalauréat en 1934 et décide de faire des études de droit à la Faculté de Droit de Paris.

Donc il est juriste mbom, ca confirme ce que je dis !

Citation:
Nicolas Sarkozy (depuis le 16 mai 2007) obtient un Bac B en 1973.

Oui, sauf que ce que tu oublies d'ajouter c'est qu'il obtient une maîtrise de droit privé en 1978. Deux ans plus tard, au terme de ses études universitaires, il décroche un certificat d'aptitude à la profession d'avocat. Donc il est juriste ! Ca confirme ce que je dis !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Sarkozy

Citation:
a chacun de faire sa propre analyse. On peut quand même difficilement dire qu'ils ont tous eu un bac littéraire.

Je ne me suis pas focalisé ni arrêté sur le bac, j'ai dis que les dirigeants, sont le plus souvent des littéraires, et qui plus est juristes. Les exemples que tu as cités vont plus tôt dans mon sens, puisqu'ils confirment ce que j'ai dis.

Si tu as un Bac D, et que tu va étudier le droit et que tu obtiens une maitrise, pour ensuite devenir avocat. Je suis désolé tu es juriste (donc littéraire), et non pas scientifique.

Citation:
Ce qu'il en ressort juste est que ce sont des politiques qui pour certains ont touché à tout pour parfaire leur connaissance.

Ce qu'il en ressort est que dans leur écrasante majorité ils étaient juristes, donc littéraires. Exactement ce que j'ai dis tantôt !

http://www.bonaberi.com/forum/viewtopic.php?p=348756#348756



Dutty Yeah ! Wink
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Elan D'Anjou De PimPim



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MessagePosté le: Sun Dec 18, 2011 9:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant




1 mois et demi plus tard...






Chcercher l'erreur...







Dutty Yeah !
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Waddle



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MessagePosté le: Thu Jan 05, 2012 12:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ca va commencer à coûter cher d'être un immigré en France...

http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/societe/education/221141718/taxe-diplomes-etrangers-letre-et-gueant

Citation:
Taxe sur les diplômés étrangers : l'Être et le Guéant

Malgré la promesse de Claude Guéant de réviser sa Circulaire du 31 mai, le Gouvernement vient d'inscrire dans le budget 2012 une nouvelle taxe sur les diplômés étrangers...


En psychiatrie, on appellerait ça une névrose obsessionnelle. Après la circulaire du 31 mai 2011 relative à la maîtrise de l’immigration professionnelle, dite « Circulaire Guéant », bras armé d’une politique du chiffre en matière d’immigration légale, après le décret du 6 septembre 2011 (pris pour l'application de la loi du 16 juin 2011 relative à l'immigration, l'intégration et la nationalité et relatif aux titres de séjour) qui augmente de 30% les ressources exigées pour obtenir un titre de séjour étudiant, le Gouvernement a créé dans la loi de finances pour 2012, promulguée hier, une nouvelle taxe sur les diplômés étrangers devenant salariés…

Gratuit jusqu’en décembre 2008, le renouvellement d’un titre de séjour étudiant est actuellement soumis à une taxe comprise entre 55 et 70 euros après un an. a partir du 1er janvier, les diplômés étrangers devenant salariés, verront le tarif du premier titre de séjour passer de 85 à 349 euros, dès la demande. Une contribution de 110 euros ne sera pas remboursée, même en cas de refus.

Alors qu’une politique intelligente d’attractivité universitaire supposerait d’investir ou au moins d’inciter les meilleures étudiants étrangers à venir étudier et travailler en France, c’est exactement le contraire qui se passe.

Depuis la décision de Nicolas Sarkozy d’octroyer la gratuité de l’enseignement aux Français expatriés, les frais de scolarité des lycées français à l’étranger ont explosé pour les élèves étrangers. Pour venir étudier en France, il leur faut ensuite, depuis septembre 2011, justifier de 615 euros minimum de ressources mensuelles pour obtenir un titre de séjour étudiant.

Une fois diplômé, le matraquage continue : s’il arrive à obtenir auprès des directions régionales de l’emploi son changement de statut, l’étudiant devenu salarié devra demander à son employeur de verser une taxe, réévaluée par la circulaire du 11 mars 2011 (relative aux taxes liées à l’immigration et à l’acquisition de la nationalité) à 50 % de la rémunération brute mensuelle, dans la limite de 2,5 fois le SMIC la première année, et de 160 euros les années suivantes.

Ces taxes servent-elles à financer les universités, la recherche, les instituts culturels français ? Sont-elles affectées au désendettement ? Non, elles servent à payer les factures de l’Office français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII), une agence publique dirigée par Arno Klarsfeld, ancien avocat brillant, reconverti dans le sarkozysme primaire, qui a succédé en 2011 à Dominique Paillé, ancien porte-parole adjoint de l’UMP, reconverti dans l’écriture de romans d’anticipation. Et l’OFII sait habilement dépenser cette manne financière : sa dotation lui sert en bonne partie à payer les aides au retour volontaire de migrants roumains, puis à acheter sur place des troupeaux de moutons à ces paysans sans terre – une politique totalement inefficace, condamnée par le Conseil de l’Europe…

Pour des raisons électoralistes et idéologiques, le Gouvernement était prêt à sacrifier une génération entière d’étudiants étrangers - avant la mobilisation du Collectif du 31 mai, relayée par les syndicats d’étudiants, de salariés, le patronat, les universités, les Grandes écoles, les lycées français à l’étranger, les associations de défense des étrangers, les associations de défense des droits de l’Homme, les chercheurs, les intellectuels, les partis politiques, etc.

Malgré le revirement récent le mal est fait et l’image de la France à l’étranger est déjà écornée. Cela se traduit déjà par les chiffres de pré-inscription d’étudiants étrangers dans l’enseignement supérieur en France. a moins d’un coup de barre fort dans la direction opposée, cet effet risque d’être durable.

Les revendications du Collectif du 31 mai sont simples : un retrait immédiat de la circulaire et l’association systématique de toutes les parties prenantes à la définition de nouvelles règles. a terme, il faudra prévoir une autorisation provisoire de séjour automatique d’un an à la fin des études, afin de laisser le temps à l’étudiant de trouver un travail ou de créer son entreprise en France. Un titre de séjour de cinq ans renouvelable pour les étudiants qui deviennent salariés pourrait ensuite être créé.

de plus, la simplification et la dématérialisation de toutes les démarches administratives pour les étudiants étrangers est indispensable. Il n’est pas admissible que des étudiants en période de partiels dorment la nuit devant les préfectures pour pouvoir déposer leurs dossiers. Il faudra ensuite supprimer les taxes servant à financer des administrations dont la seule raison d’être est de percevoir ces taxes.

Voici pour 2012 des propositions clés en main pour facilement diminuer les dépenses de l'Etat, stimuler la croissance et faire de nouveau rayonner la France à l’étranger. Aux candidats républicains de s’en saisir.

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