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BERI NOUVELLE: la CITE DU SAVOIR...

 
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Nji



Inscrit le: 15 May 2008
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MessagePosté le: Wed Aug 13, 2008 12:32 am    Sujet du message: BERI NOUVELLE: la CITE DU SAVOIR... Répondre en citant

Je n'ai pas pu trouver un autre titre. Que la Cité du Savoir Avec l'évolution de l'histoire, on pourra changer cela.

Bon, voici la première contribution à la bérinouvelle. Pas besoin de longs posts, une page word suffirait, mais les inspirés peuvent toujours en faire plus.

Pour les inscriptions, c'est ici: http://www.bonaberi.com/forum/viewtopic.php?t=863

Prière de ne pas quotter les messages ni de ne pas poster intempestivement lorsque ce n'est pas votre tour. Je compte sur votre bonne compréhension pour que cela puisse être respecté. LE webmaster pourrait nous apporter son concours le cas échéant.

Merci.

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Nji



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Messages: 15135
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MessagePosté le: Wed Aug 13, 2008 12:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

la Cité du Savoir...


Ça fait déjà une semaine que David a perdu le sommeil. Depuis que les résultats du baccalauréat sont lus dan l’après midi à la radio, il stresse. Il a commencé à rêver des moments où il attend son nom en vain à la radio, d’autres où il saute de joie parce qu’il vient d’être reçu à l’examen le plus prestigieux du village. Il faut dire que toute la famille compte sur lui. Il y a quelques années que son père retraité de la fonction publique n’est plus. Sa mère, devenue chef de famille alterne entre le champ en semaine et le marché le Samedi où elle vend le surplus de ses récoltes.
David a deux sœurs, Mélissa et Myriam. Ça fait deux ans que Mélissa s’est laissée du probatoire et a abandonné ses études. Elle a plus de temps pour se faire belle et s’occuper de ses deux enfants, Brenda et Dylan, nés de deux pères différents lorsque les hormones étaient en ébullition dans le corps de la jeune ado qui, à l’époque connaissait déjà tous les subterfuges pour tromper la vigilance des parents et se retrouver dans les soirées branchées de la ville. Elle était tombée enceinte à 16 ans et s’était juré qu’on ne l’y reprendrait plus. Seulement, Brenda avait à peine eu le temps de se tenir debout que Dylan était déjà en route. C’était plus fort qu’elle. Elle aimait la fête, elle adorait ça.
Myriam la petite dernière était le chouchou de la famille. Les petites attentions de son papa suscitaient la jalousie de la fratrie et les moqueries de la mère qui disait craindre pour son époux le jour où celle-ci serait en âge de se marier. Myriam est une élève brillante. Elle n’a pas connu les années où le salaire de papa n’était pas encore réduit de moitié. Elle héritait donc toutes les années des livres de ses ainés et avait développé une aptitude remarquable à la débrouille. Remarquable danseuse, elle assurait des chorégraphies pour les kermesses et mariages du village. Avec les Foxy Grirls, elle enchantait les villageois et scrutait les clips des chaines musicales pour tricher les nouveaux pas et costumes qu’elle réalisait avec le concours de sa sœur. Elle pouvait donc mériter le titre de yoyette du village, mais une yoyette qui tenait à réussir son BEPC l’année prochaine.
Voilà donc David qui se réveille en sursaut dans la nuit. Il commence à avoir l’habitude. Cette fois ci, il a rêvé qu’il avait mal rempli le questionnaire d’anglais. Hier, il avait dû reprendre toute l’épreuve des sciences pour s’assurer qu’il avait bel et bien traité le sujet comme il se devait. Tout ceci inquiétait sa maman qui ne cessait de le raisonner : « Vas te coucher, lui disait-elle. J’ai confiance en toi et tu devrais plutôt te reposer car tu joues un match important pour le championnat de vacances demain. » Avec le sourire, David s’exécutait et rentrait dans sa chambre sans toute fois trouver le sommeil. Heureusement qu’il sera enfin fixé demain. Il se prend à rêver à la vie loin du village, loin des soucis quotidiens, surtout loin des travaux champêtres du samedi qui le fatiguent.

la demi heure que dure habituellement le journal radio lui a paru plus long que d’habitude. Il a dû se taper les reportages sur les installations des sous-préfets dans les arrondissements reculés du pays, les arrestations de braqueurs, les inondations et les incessants attentats en Palestine. la salle de séjour se remplit petit à petit. Les cousins, les coéquipiers de l’équipe de foot et surtout Haoua, sa belle petite amie qui est aussi sa plus grande fan. Ils se sont rencontrés au Lycée. Timide comme il est, elle a dû faire des efforts pour qu’il se décide enfin à l’inviter au vidéo club du village. Il faut dire que David est plus habille avec un joystick ou une balle de foot qu’avec les filles. Sa première fois, c’était dans une salle de classe, avec une fille plus grande qui avait dû faire tout à sa place…
Ça y est. Les dés sont jetés. la tension monte. David ne sent plus ses jambes. Son cœur bat la chamade. Il ne tient plus sur place. Il ne sait plus s’il doit rester assis ou debout. Il tient fermement la main de sa copine. Sa maman est sur le porche, son pagne noué autour de la taille, des légumes dans la main. Elle a dû faire une pause à la cuisine pour venir écouter la radio car le sous-centre de son fils est à l’honneur. Le journaliste commence à égrainer nonchalamment les noms des admis au bac. Il ne se rend pas compte, qu'à l’autre bout du pays, David, 18 ans dans trois mois et tout un village sont suspendus à ses lèvres.

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Soulrebelle
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MessagePosté le: Sat Aug 16, 2008 11:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ayoéééé!J'ai complètement zappé cette nouvelle!!!?? Embarassed Embarassed Embarassed Est-il possible d'avoir un sursis cher Nji??? Embarassed
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Diamond Princess



Inscrit le: 12 May 2008
Messages: 15971

MessagePosté le: Tue Aug 19, 2008 8:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Nji a écrit:
la Cité du Savoir...


Ça fait déjà une semaine que David a perdu le sommeil. Depuis que les résultats du baccalauréat sont lus dan l’après midi à la radio, il stresse. Il a commencé à rêver des moments où il attend son nom en vain à la radio, d’autres où il saute de joie parce qu’il vient d’être reçu à l’examen le plus prestigieux du village. Il faut dire que toute la famille compte sur lui. Il y a quelques années que son père retraité de la fonction publique n’est plus. Sa mère, devenue chef de famille alterne entre le champ en semaine et le marché le Samedi où elle vend le surplus de ses récoltes.
David a deux sœurs, Mélissa et Myriam. Ça fait deux ans que Mélissa s’est laissée du probatoire et a abandonné ses études. Elle a plus de temps pour se faire belle et s’occuper de ses deux enfants, Brenda et Dylan, nés de deux pères différents lorsque les hormones étaient en ébullition dans le corps de la jeune ado qui, à l’époque connaissait déjà tous les subterfuges pour tromper la vigilance des parents et se retrouver dans les soirées branchées de la ville. Elle était tombée enceinte à 16 ans et s’était juré qu’on ne l’y reprendrait plus. Seulement, Brenda avait à peine eu le temps de se tenir debout que Dylan était déjà en route. C’était plus fort qu’elle. Elle aimait la fête, elle adorait ça.
Myriam la petite dernière était le chouchou de la famille. Les petites attentions de son papa suscitaient la jalousie de la fratrie et les moqueries de la mère qui disait craindre pour son époux le jour où celle-ci serait en âge de se marier. Myriam est une élève brillante. Elle n’a pas connu les années où le salaire de papa n’était pas encore réduit de moitié. Elle héritait donc toutes les années des livres de ses ainés et avait développé une aptitude remarquable à la débrouille. Remarquable danseuse, elle assurait des chorégraphies pour les kermesses et mariages du village. Avec les Foxy Grirls, elle enchantait les villageois et scrutait les clips des chaines musicales pour tricher les nouveaux pas et costumes qu’elle réalisait avec le concours de sa sœur. Elle pouvait donc mériter le titre de yoyette du village, mais une yoyette qui tenait à réussir son BEPC l’année prochaine.
Voilà donc David qui se réveille en sursaut dans la nuit. Il commence à avoir l’habitude. Cette fois ci, il a rêvé qu’il avait mal rempli le questionnaire d’anglais. Hier, il avait dû reprendre toute l’épreuve des sciences pour s’assurer qu’il avait bel et bien traité le sujet comme il se devait. Tout ceci inquiétait sa maman qui ne cessait de le raisonner : « Vas te coucher, lui disait-elle. J’ai confiance en toi et tu devrais plutôt te reposer car tu joues un match important pour le championnat de vacances demain. » Avec le sourire, David s’exécutait et rentrait dans sa chambre sans toute fois trouver le sommeil. Heureusement qu’il sera enfin fixé demain. Il se prend à rêver à la vie loin du village, loin des soucis quotidiens, surtout loin des travaux champêtres du samedi qui le fatiguent.

la demi heure que dure habituellement le journal radio lui a paru plus long que d’habitude. Il a dû se taper les reportages sur les installations des sous-préfets dans les arrondissements reculés du pays, les arrestations de braqueurs, les inondations et les incessants attentats en Palestine. la salle de séjour se remplit petit à petit. Les cousins, les coéquipiers de l’équipe de foot et surtout Haoua, sa belle petite amie qui est aussi sa plus grande fan. Ils se sont rencontrés au Lycée. Timide comme il est, elle a dû faire des efforts pour qu’il se décide enfin à l’inviter au vidéo club du village. Il faut dire que David est plus habille avec un joystick ou une balle de foot qu’avec les filles. Sa première fois, c’était dans une salle de classe, avec une fille plus grande qui avait dû faire tout à sa place…
Ça y est. Les dés sont jetés. la tension monte. David ne sent plus ses jambes. Son cœur bat la chamade. Il ne tient plus sur place. Il ne sait plus s’il doit rester assis ou debout. Il tient fermement la main de sa copine. Sa maman est sur le porche, son pagne noué autour de la taille, des légumes dans la main. Elle a dû faire une pause à la cuisine pour venir écouter la radio car le sous-centre de son fils est à l’honneur. Le journaliste commence à égrainer nonchalamment les noms des admis au bac. Il ne se rend pas compte, qu'à l’autre bout du pays, David, 18 ans dans trois mois et tout un village sont suspendus à ses lèvres.



<<Radio>>
- Happy leBrun Joel

- Kakamou Nji

-Koimantapseu Martial


-Magamba Olivier

- Mantolo The Neo

- Ngo Kaba Marthy

- Nymorro Fidele

- Semengue Joelle

- Tcheutchouang Waddle

- Zoualeu David

-Zoualou David Jonathan Otzi

-Zouazua DiDDy

.....


Le Jeune David n'en croyait pas ses oreilles!

- Avez vous entendu? Zou-a-leu David! Zou-a-leu David! J'ai eu mon Bac,j'ai eu mon bac.

Ce fut la fete chez David. Tout le monde jubilait et la nouvelle ne tarda pas a faire le tour du village et ainsi, en un clin d'oeil fut organisée une grande fete en son honneur. Le concerné s'etait retiré dans un coin,ne realisant pas encore sa "veine". Il se repetait a lui meme : " je l'ai eu,je l'ai eu. Enfin toutes les portes me sont ouvertes! Les portes du succes! Merci mon Dieu,merci de m'avoir mené jusque la et j'espere que tu beniras mon parcours"

- David,joint toi a nous! tu crois que ce fut facile d'estorquer toutes ces bieres aux barmans du village Very Happy ? C'etait son Oncle DMX.
David se joint a la foule ,mais ne tarda pas a se retirer avec sa copine.

- Haoua: David,maintenant que tu as eu ton Bac,quels sont tes projets?

- David ( tout reveur) : je vais aller en ville Haoua,je vais tenter mon succes loin du village. Je sais que je serai un grand homme,ainsi je pourrai subvenir a tout les besoins de ma famille et ceux de mon village. Et apres ( regardant Haoua dans les yeux),on pourra se marier.

- Haoua Embarassed : Se marier? Quand tu iras en ville la,tu trouveras les filles plus sexys et plus belles. de quoi me releguer aux oubliettes.

- David : Laughing , c'est quoi ces conneries? il ya que toi que j'aime Haoua. Aucune femme,je te dis bien Au-Cu-Ne ne prendra ta place dans mon coeur. retiens-le!

- Haoua Embarassed

-David : Arrete ca Haoua, les Africains ne rougissent pas Very Happy. Promets moi de rester sage pendant mon abscence
- Haoua : Ekié, je vais devenir bete avec qui? Bien sur que je serai sage!
- David Smile: Cool then
Ce qui devait arriver,arriva. Ils partagerent des moments de sensualités intenses et dans le lontain,on entendait plus que le Son du balafon et les cris joyeux lancés par les Villageois.

Des jours passerent, chacun avait repris ses activités. la maman de David saignait du sang afin de pouvoir collecter assez de fonds,pour que son Fils puisse aller a la rencontre de son Destin.
Alors vint le Jour J. Tout le village etait réuni pour accompagner leur Fils,leur Liberateur,leur Espoir et Leur Amour. Le Car se preparait a demarrer lorsque vint Mbombo Salsa

- Hein Mon Fils,l'interpéla t'elle. Voici quelques Mitoumbas et les bobolos,faut pas que tu maigrisse la bas hein.On dit qu'en ville,il n'y a pas de nourriture Mad. Et que les femmes qui y vivent ne savent que se limer les ongles et mettre du Vernis; Va en paix mon Fils!

- David : Merci Mbombo ,Merci Beaucoup. Aurevoir tout le Monde et a bientot! ( se tournant vers sa mere). Merci maman,merci pour tout et je te promets que tu ne le regrettera pas et s'il te plait,prends bien soin de ma future femme Haoua.
Sur ce ,il monta dans le car qui demarra avec un Vrombissement digne des " maké-Mazou"

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Nji



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MessagePosté le: Tue Sep 02, 2008 3:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ça fait à peine deux heures que David a quitté son village qu’il as déjà envie d’y retourner. Il est se sent déjà loin de sa famille, loin de tout le monde et de toutes ces choses simples qui commence à lui manquer. Il revoit les yeux pleins de larmes de sa maman qui lui disait au revoir à la gare, la salive humide de sa grand-mère qui lui touchait les mains lorsqu’elle lui faisait les bénédictions à la maison, les larmes chaudes de Haoua qui perlaient sur son visage avant de se verser sur sa poitrine à peine poilue… il regrettait déjà de laisser sa maman et ses sœurs seules au village, sans protection. Il se souvint du jour où il dû faire des adieux prématurés à son père sur son lit d’hôpital et ne put s’empêcher d’écraser une larme. de nostalgie, de désespoir, d’amertume, de joie d’avoir réussi… un peu de tout cela à la fois.
David était un enfant courageux. Il a dû devenir un homme assez vite à la mort de son père. Participer entant qu’héritier aux palabres, donner la main de ses cousines à peine sorties de l’adolescence à des hommes à peines connus, tranché comme un grand les affaires familiales et paradé devant le roi avec les atours de son feu père. Il est apprécié de tout le monde au village. Sa simplicité, son intelligence et son ardeur au travail faisait de lui le modèle que les oncles présentaient à leur progéniture. Il se sentait villageois, de toute son âme, peut être excepté lorsqu’il fallait labourer dur la terre des champs.
Il est 16 heures lorsque David arrive en ville. Son cousin l’attend à la gare. Après les résultats du bac, son oncle Tagni avait accepté de l’héberger pendant les deux derniers mois de vacances, le temps qu’il l’aide à sa boutique du marché central. Tagni est un commerçant prospère qui a fait fortune dans le marché du détail des produits de consommation courante. Sa boutique, celle de l’homme le plus moins cher n’était pas plus qu’un container transformé qui servait de lieu d’achalandage. C’est dans ces quelques mètres carrés qu’il fait fortune. il est inscrit comme tous les ressortissants de son village dans toutes les tontines. Elles lui permettent d’agrandir son buisines, de se lancer dans le textile, la boucherie, les taxis. Samba est touche à tout et lance aussi les cousins du village qu’il envoie « tacler » tous les jours. Qui avec un sac de riz dans une brouette, qui couvert de sang à la boucherie, qui criant à tue tête au rayon des sauveteurs, qui dans un taxi rassemblant la recette du soir. Avec Tagni, l’argent restait en famille. C’était le parrain de tous et tranchait les querelles des enfants en ville. Respecté, il est aussi très dur en affaires. Il faut dire qu’il a gravi tous les échelons et ne compte pas épargner ses proches de cette peine. Chez lui, David économisera un peu d’argent de poche pour l’année. la pension a été réunie par maman et les oncles du village ont pu réunir une somme assez remarquable. Pour le reste, il devra se débrouiller. Cela ne lui fait pas peur. Il est enfin décidé à prendre le taureau par les cornes.
Son cousin Samba a tout du citadin. Chaussures griffés, montre de marque, coiffure toujours nette, il a le même âge que David et va lui aussi à l’Université cette année. Samba engage la conversation et demande poliment comment vont les gens du village. a vrai dire, cela ne l’intéresse point. Il n’aime pas trop le village, ni les villageois qu’il trouve justement villageois. Il les trouve djouksa et même ses parents viennent de là, il n’a vraiment pas grand-chose en commun avec eux.
David serre l’une de ses tantes dans les bras. Magni, sa marraine sourit en le voyant. Elle lance des youyous et comme à son habitude lui dit comment il avait grandi. Magni et la mère de David se connaissent depuis des années. Elles ont fait le lycée ensemble et c’est d’ailleurs à travers cette relation qu’elle est devenue la première épouse de Tagni. David lui remet la lettre écrite par Teki, sa mère. Il lui remet aussi les mets de pistache et d’arachide spécialement concoctés par la grand-mère pour son fils. Sa cousine Aicha récupère le poulet qu’elle emmène à la cuisine.
Tagni est encore au marché. David est fatigué, et ne demande qu’à se coucher après le coup de fil au village pour dire à maman qu’il est bien arrivé.
Demain, David sera au marché central pour son premier jour de "tacle".

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MessagePosté le: Wed Oct 22, 2008 5:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai l'impression egalement de decouvrir cette nouvelle. Je ne l'avais jamais vu(lue) auparavant.
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MessagePosté le: Wed Oct 22, 2008 6:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bess a écrit:
J'ai l'impression egalement de decouvrir cette nouvelle. Je ne l'avais jamais vu(lue) auparavant.

On va bien s'amuser alors.
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MessagePosté le: Wed Oct 22, 2008 6:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Nji a écrit:
Bess a écrit:
J'ai l'impression egalement de decouvrir cette nouvelle. Je ne l'avais jamais vu(lue) auparavant.

On va bien s'amuser alors.
Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad
Oui Nji,on va bien s'amuser. ca va seulement me faire troop reflechir ce qui ne me deplait pas forcement,mais ne me plait pas beaucoup non plus.
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Mell
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MessagePosté le: Mon Sep 07, 2009 1:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

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